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Corpus "All CDGFr 3.4 GS Corpora"

A merge of all gold standard corpora of CDGFr version 3.4: CDGFr development, Germinal (Zola), Voyage au bout de la nuit (Céline), L'étranger (Camus), L'échappé (Le Clézio), L'enfance de l'Univers dévoilée (Puget) and Le procès des 42 (Nantes Passion).

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À bord de l'avion il y avait dix passagers.
A ce carrefour entre ce qui avait été et ce qui était à venir, j'avais peu de temps pour songer à l'avenir.
À ce compte-là, moi, je passerais ma vie à l'hôpital.
À ce décompte macabre viendront s'ajouter les fusillades de 13 autres militants communistes le 20 août, portant à 50 le nombre de résistants communistes exécutés en 1943.
À ce décompte viendront s'ajouter les fusillades.
À ce moment je l'ai interrompu : « Ah ! Vous n'êtes pas d'ici ? »
À ce moment le concierge m'a dit : « C'est un chancre qu'elle a. »
À ce moment, le concierge est entré derrière mon dos.
À ces cinq départs, trois autres sont susceptibles de s'ajouter.
À ces départs s'ajoutent trois autres.
À ces départs s'en sont ajoutés trois autres.
À ces départs, l'administration en ajoute deux autres.
À ces départs, trois autres peuvent s'ajouter.
À ces départs, trois autres se sont ajoutés.
À ces départs, trois autres s'ajoutent.
À ces départs-là s'ajoutent trois autres.
À ces départs-là, trois autres peuvent s'ajouter.
À ces départs-là, trois autres s'ajoutent.
A cette époque, l'Univers ne ressemble à rien de ce qu'il est aujourd'hui.
A cette heure, ils se levaient pour aller au travail : pour moi c'était toujours l'heure la plus difficile.
A cette moisson déjà bien fournie, il faut ajouter quelques surprises.
A côté de lui, en tâtant, Tayar trouve les morceaux de pain, les peaux d'orange humides.
À côté d'elle, il y avait l'ordonnateur, petit homme aux habits ridicules, et un vieillard à l'allure empruntée.
A coups de talons, Tayar fait rouler les cailloux pointus, il creuse un peu la pierraille.
À eux et à nous-mêmes de voir cela.
À la hauteur du nez, le bandeau était plat.
À la Libération, malgré leur sacrifice, la mémoire des « 42 » est supplantée par celle des 50 otages.
A la longue, j'ai fini par deviner que quelques-uns d'entre les vieillards suçaient l'intérieur de leur joues et laissaient échapper ces clappements bizarres.
A la porte d'un petit bâtiment, le directeur m'a quitté : « Je vous laisse, monsieur Meursault. Je suis à votre disposition dans mon bureau. En principe, l'enterrement est fixé à dix heures du matin. Nous avons pensé que vous pourrez ainsi veiller la disparue. Un dernier mot : votre mère a, paraît-il, exprimé souvent à ses compagnons le désir d'être enterrée religieusement. J'ai pris sur moi de faire le nécessaire. Mais je voulais vous en informer. »
A la tête de la colonne de soldats, il y a un grand chien.
À lui-même de voir cela.
A l'aube, l'humidité ruisselle sur le visage de Tayar.
A l'est, du côté d'où il vient, il y a une tache qui grandit dans le ciel, une lueur pâle et jaune qui fait apparaître l'horizon, les roches aiguës, les branches des arbres nains.
A l'Institut tantrique de Gynto, près de Dharamsala, dans le nord de l'Inde, deux cents à trois cents personnes attendent patiemment, les unes derrière les autres, sous un piquant soleil printanier.
À mes enfants, je leur permets tout.
À mourir si jeune, elle ne s'attendait pas.
À mourir, elle ne s'attendait pas.
A Paris on reste avec le mort trois, quatre jours quelquefois.
À partir de ce moment, tout est allé très vite.
À peine le notaire se fut-il retiré,que Robert courut à la chambre de son épouse.
A présent c'était le silence de tous ces gens qui m'était pénible.
À qui est la faute ?
À qui la faute ?
À quoi bon travailler la nuit ?
À quoi ça peut servir ?
À quoi ça peut servir, de se lever matin.
À son tour, de son bras tendu, il désignait dans la nuit le village dont le jeune homme avait deviné les toitures.
À table !
À table, les enfants !
À titre de rappel : nos chers bambins sont toujours dans le noir, sans salle d'attente chauffée, sans toilettes et sans lumière.
À travers les lignes de cyprès qui menaient aux collines près du ciel, cette terre rousse et verte, ces maisons rares et bien dessinées, je comprenais maman.
À un moment donné, nous sommes passés sur une partie de la route qui avait été récemment refaite.
À un moment, il a observé : « Voilà déjà le curé de Marengo. Il est en avance. »
À un moment, il m'a dit : « Vous savez, les amis de Madame votre mère vont venir la veiller aussi. C'est la coutume. Il faut que j'aille chercher des chaises et du café noir. »
À vous de voir comment faire.
À vous de voir !
À vous !
À Yakouba on confia la garde du troupeau.
Adam a donné à Eve un kilo de pommes.
Adam a eu besoin de trois pommes.
Adam a eu besoin que de trois pommes.
Adam aide Eve à nager.
Adam aime Eve.
Adam demande à Ève une pomme.
Adam en a cinq ou six rouges.
Adam en a eu besoin de trois.
Adam en a eu besoin que de trois.
Adam en a eu besoin.
Adam est de loin le moins bon.
Adam est le moins bon parmi les élèves de ce groupe.
Adam est le moins bon.
Adam est le plus assidu des élèves.
Adam est moins bon élève qu'Ève.
Adam est moins bon qu'Ève.
Adam hésite entre deux choix.
Adam hésite entre les pommes et les poires.
Adam l'aime.
Adam ne donne à Ève pas que les pommes.
Adam ne donne à Ève pas que les pommes.
Adam ne donne à Ève plus qu'une pomme.
Adam ne donne aucune pomme à Ève.
Adam ne donne les pommes qu'à Ève.
Adam ne donne pas assez de pommes à Ève.
Adam ne donne pas de pommes à Ève.
Adam ne fait pas ça.
Adam ne fait que ça.
Adam ne les donne qu'à Ève.
Adam ne xxx jamais ces yyy à personne.
Adam n'a donné à Ève plus qu'une pomme.
Adam n'a eu besoin que de trois pommes.
Adam n'a jamais donné à Eve plus d'un kilo de pommes.
Adam n'a jamais donné à Eve plus d'une pomme.
Adam n'a jamais fait ça.
Adam n'en a eu besoin que de trois petites.
Adam n'en a eu besoin que de trois.
Adam se justifie de son erreur par la fatigue.
Adam va bientôt xxx ces yyy à Zzz.
Adam va y aller bientôt.
Adam va y xxx bientôt.
Adam va y xxx bientôt.
Adam y est revenu, tandis qu'il nous a dit le contraire.
Adam, Noé et Serpent aiment Ève.
Adam, Noé et Serpent aiment Ève.
Adam, parle-lui-en !
Adam, parle-lui-en.
Aimez-vous les uns les autres.
Aimez-vous les uns les autres.
Ainsi, je pourrai veiller et je rentrerai demain soir.
Ainsi, le problème est exposé à la curiosité du fisc, de nos concurrents, et de nos clients.
Ainsi, pourquoi le public bat-il des main ?
Alain, cette lettre a été écrite pour lui aussi.
Allez, au lit !
Allez, ouste !
Allez-vous-en !
Alors il fallait se rhabiller, enfiler la tunique de laine qui collait à la peau mouillée.
Alors il ne voit pas les hommes qui avancent sur le chemin, entre les murs de pierre sèche.
Alors on a marché longtemps.
Alors on parle à petits coups, et là aussi la musique des mots semble venir de l'intérieur, paisible, familière.
Alors Tayar se réveillait à son tour, sans savoir pourquoi, peut-être simplement parce que son frère le regardait en silence, et que ça faisait comme un doigt appuyé sur sa poitrine.
Alors, devant lui, un peu en contrebas, il voit une tache plus sombre, celle que font des broussailles aux feuilles encore vertes, aux branches noires.
Alors, en courtes phrases, l'haleine coupée, tous deux continuèrent à se plaindre.
Alors, ils mettent leur chapeaux hauts de forme et puis, ils nous en mettent un bon coup de la gueule comme ça : « Bandes de charognes, c'est la guerre ! qu'ils font. On va les aborder, les saligauds qui sont sur la patrie n° 2, et on va leur faire sauter la caisse ! Allez ! Allez ! Y a de tout ce qu'il faut à bord ! Tous en choeur ! Gueulez voir d'abord un bon coup et que ça tremble : « Vive la Patrie n° 1 ! » Qu'on vous entende de loin ! Celui qui gueulera le plus fort, il aura la médaille et la dragée du bon Jesus ! Nom de Dieu ! Et puis ceux qui ne voudront pas crever sur mer, ils pourront toujours aller crever sur terre où c'est fait bien plus vite encore qu'ici ! »
Alors, lui aussi il donne à manger au feu, des brindilles, des herbes sèches, des racines encore couvertes de terre rouge, tout ce qui lui tombe sous la main.
Alors, l'homme reconnut une fosse.
Alors, malgré la nuit qui cache encore la moitié des choses, il trouve l'abri qu'il cherche, l'épaule d'un roc usé par le vent, et les branches maigres d'un arbuste recourbé.
Alors, on remarque encore qu'il n'y a personne dans les rues, à cause de la chaleur ; pas de voitures, rien.
Alors, tortillant sa moustache blanche, il a déclaré sans me regarder : « Je comprends. »
Alors, vous êtes restés là comme cela, tous les deux tous seuls ?
Alors, Yakouba croisa le regard du lion.
Amélie s'était persuadé qu'il n'aurait pas avant longtemps l'occasion de se représenter à elle.
Amélie s'était persuadée qu'il n'aurait pas avant longtemps l'occasion de se représenter à elle.
Amuse-toi bien, Ophélie.
Après avoir déjeuné, il est sorti.
Après de nombreux tests, le programme ne passe toujours pas.
Après la tragédie des 50 otages, Nantes paie à nouveau le prix fort à l'Occupation.
Après l'enterrement, au contraire, ce sera une affaire classée et tout aura revêtu une allure plus officielle.
Après l'ombre de la cellule, les couloirs humides et puants, où l'air vibre sourdement dans la lueur des barres de néon,Tayar aime cette dureté.
Après un assez long moment, il m'a renseigné sans me regarder : « Elle était très liée avec madame votre mère. Elle dit que c'était sa seule amie ici et que maintenant elle n'a plus personne. »
Après, la conversation est revenue sur le Président Poincaré qui s'en allait inaugurer, justement ce matin-là, une exposition de petits chiens ; et puis, de fil en aiguille, sur Le Temps où c'était écrit.
Aristote n'a fait que dire la même chose, avec d'autres mots.
Arrêtés par l'appareil répressif de Vichy et livrés à l'occupant en août 1942, ils sont jugés pour des actes de résistance qui vont du sabotage à l'exécution du responsable du personnel de l'usine des Batignolles, un collaborationniste.
Arrêtez de me faire perdre mon temps.
Arthur, un étudiant, un carabin lui aussi, un camarade.
Assis sur des clous même à tirer tout nous autres !
Attendre des heures, et puis soudain, s'armer de courage et se lancer pour combattre.
Au bout de quelques mois, elle aurait pleuré si on l'avait retirée de l'asile.
Au bout d'un moment, il m'a regardé et il m'a demandé : « Pourquoi ? » mais sans reproche, comme s'il s'informait.
Au coeur de l'Afrique, dans un petit village, on prépare un grand festin.
Au commencement était le Verbe, et le Verbe était tourné vers Dieu, et le Verbe était Dieu.
Au commencement était le Verbe.
Au fond de la doline, à l'abri du vent, il ne voit que les bords du cratère découpant le ciel clair.
Au fond de la doline, il n'y a pas de bruit.
Au fond, il voit la borie, pareille à un igloo de pierre.
Au fur et à mesure qu'il approche de la falaise rocheuse, son instinct l'avertit qu'il y a de l'eau, quelque part, au sommet.
Au lieu de se diriger vers les bâtiments, il se risqua enfin à gravir le terri sur lequel brûlaient les trois feux de houille, dans des corbeilles de fonte, pour éclairer et réchauffer la besogne.
Au loin, il y a les hautes montagnes, grises déjà, irréelles.
Au petit matin, Yakouba ramassa sa lance, jeta un dernier regard sur le lion épuisé et prit le chemin du retour.
Au tournant il nous avait rejoints.
Au village, les hommes, son père, tous l'attendaient.
Au voleur !
Aucun bateau ne peut plus y entrer.
Aucun bateau ne peut plus y entrer.
Aucun point n'a pas d'étiquette associée.
Aucune ombre d'arbre ne tachait le ciel, le pavé se déroulait avec la rectitude d'une jetée, au milieu de l'embrun aveuglant des ténèbres.
Aujourd'hui Gilles a donné presque deux fois plus de bonnes réponses qu'hier.
Aujourd'hui Gilles a donné presque deux fois plus de bonnes réponses qu'hier.
Aujourd'hui maman est morte.
Aujourd'hui, le soleil débordant qui faisait tressaillir le paysage le rendait inhumain et déprimant.
Aujourd'hui, les banques attaquées plus que jamais : toute l'économie française stagne.
Aussi généreux soit-il, ce n'est pas suffisant.
Aussi invraisemblable que cela paraisse, elle a déjà quatre-vingts ans.
Autour de moi c'était toujours la même campagne lumineuse gorgée de soleil.
Autour d'elle, les quatre hommes.
Autrefois, dans les cachettes du mont Chelia, son frère rapportait des branchages, des lichens pareils à des cheveux, et il s'accroupissait sur ses talons pour faire le feu.
Au-dessus de la voiture, le chapeau du cocher, en cuir bouilli, semblait avoir été pétri dans cette boue noire.
Au-dessus de lui, les étoiles sont vivantes d'une vie intense, éclatante, elles entrecroisent dans la nuit leurs musiques stridentes, pareilles aux appels des insectes.
Au-dessus des collines qui séparent Marengo de la mer, le ciel était plein de rougeurs.
Au-dessus, le ciel est clair, aveuglant.
Avant de quitter la doline, il a bu à nouveau quelques gorgées à l'abreuvoir.
Avant de quitter le bureau pour aller déjeuner, je me suis lavé les mains.
Avant elle en avait beaucoup.
Avec à la clé quelques surprises.
Avec à la clé quelques surprises.
Avec à la clé quelques surprises.
Avec effort, il défait le noeud de ses bras autour de son corps, il étend ses jambes.
Avec hâte, il cherche parmi les pierres, jusqu'à ce qu'il trouve une grande pierre triangulaire.
Avec la guerre froide et l'affrontement local entre gaullistes et communistes, un conflit mémoriel se cristallise.
Avec peine, il escalade la paroi rocheuse, et les cailloux qui s'éboulent font un bruit qui résonne dans tout le paysage de pierre.
Avec peine, il extirpe le petit couteau au manche de plastique de sa poche, et il le tend au garçon : «Écoute, je n'ai plus d'argent, mais je te donne le couteau. Apporte-moi à manger, j'ai très faim. Il y a plusieurs jours que je n'ai pas mangé.»
Avec peine, il se remet debout, il avance à nouveau sur le plateau calcaire.
Ayez du coeur pour qu'ils en aient un.
Ayez du coeur pour qu'ils en aient un.
Bernard et Sarah ne se connaissaient pas encore.
Besoin de main forte peut provoquer une crise politique d'envergure.
Bien fiers alors d'avoir fait sonner ces vérités utiles, on est demeuré là assis, ravis à regarder les dames du café.
Bien qu'il n'y ait personne, Tayar fait attention à ne pas laisser de traces, à ne pas briser les branches des arbustes, à ne pas déplacer les petits cailloux sur la terre sèche.
Bien sûr, jamais personne n'a su le découvrir, ni même ne l'a cherché.
Bien sûr, jamais personne n'a su le découvrir, ni peut-être même ne l'a cherché.
Bien sûr, jamais personne n'a su le découvrir.
Bien sûr, jamais personne n'a su le découvrir.
Bien sûr, jamais personne n'a su le découvrir.
Bien sûr, jamais personne n'a su le découvrir.
Blanche, légère, elle bondissait sur les cailloux lisses, elle descendait vers la vallée, au milieu des touffes d'euphorbe et des acacias maigres.
Boire est plus simple que travailler.
Bonjour Ophélie, le voilà ton petit corpus personnel.
Bonjour répondit le vieux.
Bonnemort ouvrit tout grands les deux bras.
Bruit du coeur, bruit des portes, bruit des coups.
Bruit du coeur, bruit des portes, bruit des coups.
Brusquement, à un coude du chemin, les feux reparurent près de lui, sans qu'il comprît davantage comment ils brûlaient si haut dans le ciel mort, pareils à des lunes fumeuses.
Ça a débuté comme ça.
Ca aurait-il pu être une erreur ?
Ça commence à bien faire !
Ça fait belle lurette qu'il n'écrit rien.
Ça fait belle lurette qu'on ne l'a pas vu traîner dans le coin.
Ça m'a un peu froissé qu'il prenne la chose ainsi, mais ça m'a pas arrêté.
Ça non !
Ça n'a fait que commencer !
Ça n'a fait que commencer.
Ca peut-il vous plaire ?
Ça sonne comme ceci : pan! pan-pan!
Ça sonne : pan! pan-pan!
Ça s'appelle pléonasme.
Ça s'est fait exactement ainsi.
Ça va être livré d'ici trois jours.
Ça va prendre deux - trois minutes.
Ça va prendre deux - trois minutes.
Ça va, moi.
Casse-toi, mon vieux !
Casse-toi, pauvre con !
Casse-toi, pauvre con !
Ce cartier compte cent à deux cents propriétés.
Ce cartier compte de cent à deux cents propriétés.
Ce cartier compte de cinq à six cents propriétés.
Ce cartier compte de 100 à 200 propriétés.
Ce cartier compte 100 à 200 propriétés.
Ce dernier, en effet, n'en disait pas si long d'habitude.
Ce devoir n'a pas été fait par cette fille ni d'ailleurs par Claudine.
Ce devoir n'a pas été fait par cette fille ni, d'ailleurs, par Claudine.
Ce devoir n'a pas été fait par cette fille.
Ce doit être la variante locale de la file indienne : au bout du rang, tout le monde est soumis à la foule des officiers de la sécurité dépêchés par les pouvoirs publiques indiens.
Ce faisant, les petites imperfections initiales, les moindres fluctuations primordiales se retrouvent propulsées et imprimées dans l'image du fond diffus, formant les vaguelettes repérées par les instruments.
Ce groupe livre les maisons traditionnelles en bois massif en kit.
Ce groupe livre les maisons traditionnelles en bois massif en kit.
Ce livre est à moi.
Ce livre est l'histoire de son accomplissement.
Ce livre est une grammaire; la grammaire, code illustré d'exemples, indique les règles du langage.
Ce livre est une grammaire; la grammaire, code illustré d'exemples, indique les règles du langage.
Ce mec a appris des gros mots aux enfants.
Ce ne fut que lorsque retentit la cloche que je parvins à sortir.
Ce ne sont pas les fabriques qui manquent.
Ce n'est ni avec notre cerveau, ni avec notre coeur, mais avec notre plexus solaire, que nous les éprouvons.
Ce n'est ni avec notre cerveau, ni avec notre coeur, que nous les éprouvons, mais avec notre plexus solaire.
Ce n'est pas le bruit de l'eau qu'il entend, Aazi.
Ce n'est pas parce qu'elle se plaint qu'elle a raison.
Ce n'est pas une fille en habits blancs.
Ce n'est peut-être pas la faute de l'empereur; mais pourquoi va-t-il se battre en Amérique?
Ce problème étant très important, je me suis appliqué à en trouver des solutions.
Ce problème étant très important, je me suis appliqué à en trouver des solutions.
Ce process est un éléphant de par sa longueur.
Ce qui a été est ce qui sera.
Ce qui me frappait dans leur visages, c'est que je ne voyais pas leurs yeux, mais seulement une lueur sans éclat au milieu d'un nid de rides.
Ce qui nous représente qu'il y en a beaucoup, excite en nous l'espérance.
Ce qui nous représente qu'il y en a peu, excite la crainte, dont la jalousie est une espèce.
Ce qu'il cherche, c'est que tout soit en ordre.
Ce sont des flics qui ont dû lui trouver cette chambre, dans un hôtel moche des alentours de la gare, parce qu'ils pensent aussi qu'il va chercher à se venger, ils ont tendu leur piège.
Ce sont en fait 45 résistants communistes, dont deux femmes, qui sont traduits devant le tribunal militaire allemand.
Ce sont en fait 45 résistants communistes, dont deux femmes, qui sont traduits devant le tribunal militaire allemand.
Ce sont les soldats qui viennent du poste de Lambessa, qui patrouillent à la recherche de fugitifs.
Ce truc, Adam, restons-en là.
Ce truc, restons-en là, Adam.
Ce verre, il en boit une bonne moitié d'un coup.
Cela arrivera plus tôt que tu ne peux t'imaginer.
Cela aurait-il pu être une erreur ?
Cela devient pénible.
Cela dure si longtemps qu'il ne sait plus très bien ce qui s'est passé, avant.
Cela est possible quand on le veut.
Cela faisait de nombreuses années que je n'étais pas allé à l'école.
Cela faisait de nombreuses années que je n'étais pas allé à l'école.
Cela fait un bail que je ne t'ai pas vu.
Cela fait un silence terrible, un silence que rien ne peut rompre, qui entre dans le corps, et glace le coeur.
Cela m'est plus facile qu'à d'autres.
Cela m'est plus facile qu'à d'autres.
Cela ne peut s'expliquer que par le passé social du théâtre.
Cela ne veut rien dire.
Cela nous a laissé tout le temps nécessaire pour y jeter un oeil.
Cela peut-il vous plaire ?
Cela promet quelques discussions agitées.
Cela ressemble à trois heures par page.
Cela revient en lui, le vide, le purifie comme la faim et la soif.
Cela s'efface, enfin, et aussi le bruit des barres de néon qui grésillent, les grincements des grilles, et le terrible bruit des portes qui résonnent toujours trois fois, comme ceci : pan! pan-pan!
Celle-ci est bien meilleure que celui-là.
Celle-là est bien meilleure que celle-ci.
Celui qui est dans l'enfer permanent ne meurt jamais.
Celui qui gueulera le plus fort, il aura la médaille et la dragée du bon Jesus !
Celui qui pense n'avoir plus rien à perdre agit comme un kamikaze.
Celui-ci est 100 euros plus cher que l'autre.
Certains se sont écrié que c'était un scandale.
Certains se sont écriés que c'était un scandale.
Ces capsules sont indiquées pour atténuer les troubles dûs à l'artériosclérose tels perte de mémoire, manque de concentration, fatigue, lassitude et diminution des performances.
Ces cerises sont sucrées comme du miel.
Ces images sont montées de manière à ce qu'on passe pour des cons.
Ces images sont montées de manière à nous faire passer pour des cons.
Ces lieux sont plus étranges les uns que les autres.
Ces livres se sont bien vendus.
Ces petites vagues deviendront grandes et donneront naissance aux étoiles, galaxies, amas de galaxies ...
Ces soldats se sont faits prisonniers.
Ces très xxx yyy se sont zzz du pauvre vvv qui s'est vite sauvé.
Cet accident s'est produit le 12 Octobre 1978 à 10 heures trente du matin.
Cet accident s'est produit mi-Octobre 1978, ils sont partis deux jours plus tard.
Cet accident s'est produit mi-Octobre 1978.
Cet Univers est également plat comme une gigantesque crêpe, alors que les estimations précédentes laissaient entrevoir la possibilité d'une légère courbure.
Cette année il remporte deux victoires de plus que l'année dernière.
Cette brève mais vivace discussion m'avait fatigué.
Cette catégorie est trop large, c'est devenu un véritable fourre-tout.
Cette dernière, en déchirant l'espace avec une telle violence, a créé des ondes de matière qui s'impriment aussi dans le fond diffus.
Cette femme lui semble très belle.
Cette femme semble très belle à Swann.
Cette fois, il n'amenait que trois berlines.
Cette fosse, tassée au fond d'un creux, avec ses constructions trapues de briques, dressant sa cheminée comme une corne menaçante, lui semblait avoir un air mauvais de bête goulue, accroupie là pour manger le monde.
Cette hâte, cette course, c'est à cause de tout cela sans doute, ajouté aux cahots, à l'odeur d'essence, à la réverbération de la route et du ciel, que je me suis assoupi.
Cette lecture n'est pas fondée linguistiquement (même si l'itération séquentielle n'est pas fréquente).
Cette nuit, il y a autre chose en elles, comme si elles portaient un message inconnu.
Cette permission, il se l'est accordée.
Cette phase, aux détails encore flous, correspond à une formidable dilatation de l'espace.
Cette présence dans mon dos me gênait.
Cette référence m'aide à mieux comprendre la conjugaison des verbes.
Cette rose me semble odorante.
Cette rose, je la trouve bien odorante.
Cette thématique s'inscrit dans le cadre de la sémantique formelle.
Cette version, est-elle convenable ?
Cette viande coûte vingt euros le kilo.
Cette vieille incommode leur avait fait des visages de cendre.
Ceux qui ne voudront pas crever sur mer, ils pourront toujours aller crever sur terre où c'est fait bien plus vite encore qu'ici.
Ceux qui s'amusent seront punis !
Ceux-ci sautent d'électron en électron sans pouvoir s'extraire de la mélasse bouillonnante.
Ceux-ci, les batteries de cent cheminées plantées obliquement, alignaient des rampes de flammes rouges ; tandis que les deux tours, plus à gauche, brûlaient toutes bleus en plain ciel, comme des torches géantes.
Chaque année il y a un concours.
Chaque fois qu'il s'arrête, il s'assoit sur ses talons, comme autrefois, dans les pentes du mont Chelia.
Chaque fois qu'il s'arrête, il s'assoit sur ses talons, comme autrefois, dans les pentes du mont Chelia.
Charles reprit les phrases tâchant de se les rappeler, d'en compléter le sens.
Charles reprit les phrases tâchant de se les rappeler.
Chérie, t'en a eus combien avant moi ?
Chéri, t'en a eues combien avant moi ?
Chez tous elle s'était plu à éveiller l'amour.
Chez tous elle s'était plue à éveiller l'amour.
Cinq d'entre eux sont jugés également, aux côtés de 40 Nantais et Rezéens.
Cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors à des charpentes.
Cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois noircis alignaient vaguement des profils de tréteaux gigantesques.
Cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors, à des charpentes.
Cinq sur dix ont eu le bac.
Combien de cartes a-t-il ?
Combien en a-t-il ?
Combien en a-t-il ?
Combien en faudra-t-il pour que ça cesse ?
Combien y en a-t-il de bons.
Combien y en a-t-il ?
Comme autrefois, ses narines se dilatent pour capter l'odeur de l'eau.
Comme dans le cas des langages réguliers, l'existence de langages qui ne sont pas hors-contexte ne nous surprend guère : l'ensemble des langages hors-contexte est dénombrable alors que celui de tous les langages ne l'est pas.
Comme il était occupé, j'ai attendu un peu.
Comme il n'a pas bu depuis la veille, l'urine est sombre, puante.
Comme il se sentait valide, il s'était proposé pour cette place de concierge.
Comme je ne comprenais pas, j'ai regardé l'infirmière et j'ai vu qu'elle portait sous les yeux un bandeau qui faisait le tour de la tête.
Comme je n'avais pas de chapeau, je m'éventais avec mon mouchoir.
Comme j'aime beaucoup le café au lait, j'ai accepté et il est revenu un moment après avec un plateau.
Comme la nuit d'avant, il les reconnaît.
Comme l'attaquant tenait encore à jouer, il refusa et examina d'autres possibilités : « Le Mans, Valence, Sedan et un quatrième club dont je dois taire le nom, me faisaient des offres intéressantes ».
Comme moi et comme toi.
Comme tout un chacun, il aimait dormir.
Comme un lac de sang.
Comme une musique, qui entre jusqu'au fond de lui et le trouble.
Comment en es-tu sûr ?
Comment en être sûr ?
Comment ne pas en être sûr ?
Comment ne pas vous en être débarrassé avant ?
Comment n'y ai-je pas pensé !
Comment peux-tu ne pas croire qu'il a souffert pour toi?
Comment savoir que l'on s'est trompé?
Comment s'y serait-elle prise ?
Comment trouver du travail en étant enceinte ?
Comment trouver du travail étant enceinte ?
Comment veux-tu que je le sache !
Comment vous y êtes-vous prise ?
Croyez-vous qu'il faille, pour être agronome, avoir soi-même labouré la terre ou engraissé des volailles ?
Cuisinez-en deux omelettes.
Cuisinez-en une douzaine pour moi et autant pour elle.
Cuisinez-en une douzaine pour moi et autant pour elle.
Cuisinez-en une douzaine pour moi.
Cuisinez-en-moi deux douzaines.
Cuisinez-en-moi deux omelettes.
Cuisinez-en-moi deux.
Cuisinez-m'en deux omelettes.
C'est à ce moment que je me suis aperçu que Pérez claudiquait légèrement.
C'est à ce moment que je me suis aperçu qu'ils étaient tous assis en face de moi à dodeliner de la tête, autour du concierge.
C'est à ce moment que les amis de maman sont entrés.
C'est à lui que tout cela appartient.
C'est à moi et à vous-mêmes de voir !
C'est à moi !
C'est à peu près à cette époque que le bétail ne fut plus jamais attaqué par les lions.
C'est à vous de me le dire.
C'est à vous de savoir ça !
C'est alors qu'il m'avait appris qu'il avait vécu à Paris et qu'il avait du mal à l'oublier.
C'est arrivé il y a de ça vingt huit ans.
C'est arrivé il y a de ça 28 ans.
C'est arrivé il y a longtemps.
C'est Arthur Ganate qui m'a fait parler.
C'est au fond d'une vallée, non loin des ruines de Timgad.
C'est avec joie que je l'ai appris.
C'est bon pour la santé.
C'est bon, dit Paul.
C'est ça encore qui est plus infect que tout le reste, leur travail.
C'est ça la France et puis c'est ça les Français.
C'est ce qui se passe à Wall Street.
C'est celle-là, celle qu'il a entendu nommer autrefois, la «pierre de la faim».
C'est comme cela qu'il faisait autrefois, avec son frère et son oncle Raïs, quand ils devaient dormir au-dehors en hiver.
C'est comme si le casino jouait contre vous en connaissant vos cartes ?
C'est des étudiants qu'il est venu.
C'est difficile à comprendre.
C'est donc aussi une partie invisible de l'histoire que révèle ce cliché.
C'est elle que Tayar veut suivre, comme une route qui le conduit au paysage de pierre qu'il connaît bien, la vallée ouverte dans la montagne et qui va jusqu'au bout du monde.
C'est elle que Tayar veut suivre, comme une route qu'il connaît bien, la vallée ouverte dans la montagne et qui va jusqu'au bout du monde.
C'est facile d'écosser les petits pois.
C'est fait bien plus vite encore qu'ici.
C'est finalement comme s'approcher d'une boîte de nuit bien insonorisée et ouvrir la porte : soudain un bruit assourdit les tympans.
C'est ici que tu peux expérimenter avec tes analyses.
C'est la corvée pour personne.
C'est la faute à personne.
C'est la faute à qui ?
C'est là que Tayar se dirige, en titubant.
C'est le bruit des pas de son oncle qu'il attend, peut-être, ou le bruit de sa voix, un peu rauque et étouffée, quand il l'appelle en arrivant : "Aazi ... Aazi!"
C'est le bruit des pas de son oncle qu'il attend, peut-être, ou le bruit de sa voix, un peu rauque et étouffée, quand il l'appelle en arrivant : «Aazi ... Aazi!»
C'est le deuxième plus longue fleuve d'Europe.
C'est le même que de l'autre côté de la mer, le même.
C'est le même que de l'autre côté de la mer, le même; des roches, des buissons d'épines, des crevasses, des éboulis.
C'est le philosophe français Bernard-Henri Levy (photo) qui a lui-même expliqué à la presse ses multiples voyages pour encourager les Libyens à se défaire de Kadhafi.
C'est le piège d'un soldat.
C'est le troisième procès du genre en France contre les résistants communistes après ceux, en 1942, de la Maison de la chimie et du Palais-Bourbon, à Paris.
C'est lui qui doit avoir commis ce crime.
C'est lui qui nous possède !
C'est nul de sa part.
C'est OK, a dit le ministre.
C'est par ici qu'il est rentré.
C'est parce que nous vivons dans l'express, que la vie, aussi longue qu'elle soit, n'est que instant, qu'il nous faut agir de notre mieux et tant qu'il en est temps.
C'est parce que nous vivons dans l'express, que la vie, aussi longue qu'elle soit, n'est que instant, qu'il nous faut agir de notre mieux et tant qu'il en est temps.
C'est parce que nous vivons dans l'express, que la vie, aussi longue qu'elle soit, n'est que instant.
C'est parce qu'il n'a rien bu ni mangé depuis longtemps.
C'est pas une vie ...
C'est pour toi et moi.
C'est pour toi et pour moi.
C'est quand c'est pas tarabiscoté.
C'est quand la cloche retentit que je sors.
C'est que la peur ne vient pas des hommes : elle existe toute seule, elle naît de la grande montagne, des pierres blanches, des buissons dont les feuilles tremblent dans le vent, du ciel vide où il y a toujours du soleil.
C'est quelqu'un d'autre que moi.
C'est quelqu'un d'autre que moi.
C'est quelqu'un d'autre.
C'est quelqu'un d'autre.
C'est quelqu'un d'autre.
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore.
C'est sa soeur Horriya, et il aime bien son nom toujours, parce qu'il veut dire : liberté.
C'est son oncle Raïs qui le lui a dit la première fois, mais il le savait déjà, comme si c'était quelque chose qu'il avait appris le jour de sa naissance.
C'est surtout par elle qu'il a commencé à devenir influencé.
C'est surtout par elle qu'il a commencé à devenir influencé.
C'est toi, ou moi !
C'est toujours notre philosophe qui a promis à Monsieur Sarkozy que la guerre n'aurait pas duré plus de 3 jours.
C'est toujours notre philosophe qui a promis à Monsieur Sarkozy que la guerre n'aurait pas duré plus de 3 jours.
C'est tout à recommencer.
C'est très amicalement qu'Alain nous a reçu.
C'est un endroit qu'il n'a jamais quitté, en vérité.
C'est un enfant de douze ou treize ans, fort, avec la peau très brune, et des cheveux noirs emmêlés par le vent.
C'est un enfant maigre, au visage grave, aux yeux sombres cachés par l'ombre des orbites.
C'est un frôlement qui m'a réveillé.
C'est un gaillard, l'air fort malgré les apparences.
C'est un gaillard, l'air fort malgré ses membres menus.
C'est un jour à oublier.
C'est un jour à oublier.
C'est un petit couteau avec un manche en plastique et une lame fine et aiguë, et quand il l'a pris, Tayar a pensé à Mariem.
C'est un petit vieux, avec la Légion d'honneur.
C'est un peu pour cela que dans la dernière année je n'y suis presque plus allé.
C'est un signe qu'on voit quand on ferme les yeux, une marque terrible.
C'est un signe qu'on voit quand on ferme les yeux, une marque terrible.
C'est un vent âpre et desséchant qui souffle avec force, venu du fond de l'atmosphère.
C'est un vide qui oppresse ses tympans, qui serre la tête.
C'est une bouche sombre, ouverte à la surface des rochers.
C'est une immense ouverture dans la montagne, où vibre une lumière qui semble ne jamais devoir finir.
C'est xxx.
C'étaient des cailles du désert, furtives et insaisissables comme des mouches.
C'était à la maison, et seulement là, que ma mère préparait du chocolat chaud.
C'était après le déjeuner.
C'était donnant-donnant.
C'était d'une tristesse d'incendie, il n'y avait d'autres levers d'astres, à l'horizon menaçant, que ces feux nocturnes des pays de la houille et du fer.
C'était et pour Adam, et pour Ève.
C'était la première lettre de ce genre que j'ai eue à écrire.
C'était la réussite de l'enquête qui en dépendait.
C'était l'un d'eux.
C'était peut-être hier.
C'était plutôt à lui de me présenter ses condoléances.
C'était pour le moins stupide.
C'était pour moi une question de vie ou de mort.
C'était un jour à ne pas oublier.
C'était un jour à ne pas oublier.
C'était un jour à pas oublier.
C'était une belle journée qui se préparait.
C'était une conférence fourre-tout.
C'était une masse lourde, un tas écrasé de constructions, d'où se dressait la silhouette d'une cheminée d'usine; de rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées, cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois noircis alignaient vaguement des profils de tréteaux gigantesques; et, de cette apparition fantastique, noyée de nuit et de fumée, une seule voix montait, la respiration grosse et longue d'un échappement de vapeur, qu'on ne voyait point.
C'était une masse lourde, un tas écrasé de constructions.
C'était une masse, d'où se dressait la silhouette d'une cheminée ; de rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées, cinq lanternes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois alignaient des profils de tréteaux ; et, de cette apparition noyée de fumée, une seule voix montait, la respiration longue d'un échappement de vapeur.
C'était une masse, d'où se dressait la silhouette d'une cheminée ; de rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées, cinq lanternes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois alignaient des profils de tréteaux ; et, de cette apparition noyée de fumée, une seule voix montait, la respiration longue d'un échappement de vapeur.
C'était une masse, d'où se dressait la silhouette d'une cheminée ; de rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées, cinq lanternes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois alignaient des profils de tréteaux ; et, de cette apparition noyée de fumée, une seule voix montait, la respiration longue d'un échappement de vapeur.
C'était une masse, d'où se dressait la silhouette d'une cheminée.
C'était une période féconde en idées nouvelles.
C'était une pierre qui avait un secret, un esprit, quand on la rencontrait sur son chemin.
C'était une salle très claire, blanchie à la chaux et recouverte d'une verrière.
C'était une sorte de lézards très répandue par ici.
C'était une sorte de lézards très répandus par ici.
C'était une vaste entreprise d'épuration analogue à celle que j'ai vu fonctionner en Espagne.
C'était une vaste entreprise d'épuration analogue à celle que j'ai vue fonctionner en Espagne.
C'était une vieille maison avec les portes qui grinçaient et le toit qui coulait.
C'était vrai.
Dans cet article, on considère que la notion de répétable représente des répétitions consécutives.
Dans la petite morgue, il m'a appris qu'il était entré à l'asile comme indigent.
Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves.
Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un homme suivait seul la grande route, de Marchiennes à Montsu, dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves.
Dans le cas de Planck, en guise d'ondes sonores, les chercheurs ont affaire à du rayonnement micro-onde (à des fréquences 15 à 500 fois plus élevées que celles des téléphones mobiles en 3 G), qu'ils convertissent en température.
Dans le cas de Planck, en guise d'ondes sonores, les chercheurs ont affaire à du rayonnement micro-onde (à des fréquences 15 à 500 fois plus élevées que celles des téléphones mobiles en 3 G), qu'ils convertissent en température.
Dans le fond, il y a une borie en ruine et un abreuvoir plein d'eau.
Dans les premiers jours où elle était à l'asile, elle pleurait souvent.
Dans l'escalier il m'a demandé : « Tu veux partir ? Tu veux vraiment ça ? »
Dans l'escalier il m'a demandé : « Tu veux partir ? Tu veux vraiment ça ? »
Dans l'escalier il m'a expliqué : « Nous l'avons transportée dans notre petite morgue. Pour ne pas impressionner les autres. Chaque fois qu'un pensionnaire meurt, les autres sont nerveux pendant deux ou trois jours. Et ça rend le service difficile. »
Dans sa voix, il n'y a plus de peur, seulement de l'inquiétude.
Dans son viseur, Vincennes, ville détenue par le centriste Laurent Lafon, ou plus encore la commune voisine de Montreuil, dirigée par l'écologiste Dominique Voynet.
Dans un creux de terrain, il s'accroupit pour uriner.
Dans un murmure, la voix de son oncle dit, peut-être, « Ne bouge pas, Aazi, ne parle pas ...»
De ce que je sache, Ève n'a plus de pommes.
De ce qu'il m'a caché, il ne reste plus grand chose.
De ces dix, combien y en a-t-il de bons.
De dire est plus facile que de faire.
De grosses larmes d'énervement et de peine ruisselaient sur ses joues.
De la poche de son anorak, il tire un morceau de pain, une orange et un couteau.
De lui faire couper les cheveux était son rêve depuis longtemps.
De l'autre côté, il y a la pente abrupte qui mène à Calern, à droite les sommets chaotiques du Cheiron, à gauche, au fond du vallon, les fermes de Saint-Lambert, à peine visibles dans l'ombre couleur de fumée qui emplit les creux.
De l'avoir été était facile pour lui.
De l'avoir été lui était facile.
De l'avoir été, était facile pour lui.
De l'avoir été, lui était facile.
De partout à la ronde on entend le tam-tam.
De quoi il avait l'air ?
De quoi non seulement mieux décrire l'histoire qui conduit de l'enfance à l'adulte qu'il est devenu aujourd'hui.
De quoi on s'mêle au nord de l'Afrique.
De rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées.
De temps en temps seulement, j'entendais un bruit singulier et je ne pouvais comprendre ce qu'il était.
De toute façon peut-être que le bois était trop humide, à l'intérieur de la borie, et peut-être qu'il ne sait plus comment on fait du feu.
De toute façon, on est toujours un peu fautif.
De toutes les passions violentes, celle qui sied le moins mal aux femmes, c'est l'amour.
Demain tu toucheras ta paie.
Demain, moi, je ne peux pas passer.
Denis apprend à Lucas à parler le Français.
Denis fait manger une pomme à Lucas.
Denis le fait manger à Lucas en chantant.
Denis le lui fait donner.
Denis le lui fait manger en chantant.
Denis le lui fait manger.
Depuis où viennent-ils ?
Depuis où viennent-ils ?
Depuis quand la connaissez-vous ?
Depuis une heure, il avançait ainsi, lorsque sur la gauche, à deux kilomètres de Montsou, il aperçut des feux rouges, trois brasiers brûlant au plein air, et comme suspendus.
Derrière, le directeur, moi-même et, fermant la marche, l'infirmière déléguée et M. Pérez.
Des analyses subtiles ont tenu compte des déviations imposées par des structures gigantesques comme les amas de galaxies sur la trajectoire du rayonnement durant ces milliards d'années.
Dès cette semaine il sera publié sur le site.
Des coups de trique seulement, des misères, des bobards et puis des vacheries encore.
Dès le lendemain du procès, un premier groupe de neuf résistants est passé par les armes au champ de tir du Bêle.
Dès lors personne ne l'a vu.
Dès lors, le public devra observer le maximum de retenue.
Dès octobre 1944, la municipalité baptise l'artère centrale aménagée sur l'ancien lit de l'Erdre cours des « 50 Otages ».
Dès que tu l'auras fait, appelle-moi.
Dès que tu t'en vas, tu me manques.
Désolée de vous avoir pressé.
Deux d'entre eux, au centre, supportaient une bière recouverte de son couvercle.
Deux frelons bourdonnaient contre la verrière.
Deux heures plus tard la place s'est vidée.
Deuxième surprise, "le modèle standard simple qui décrit l'Univers et son évolution reproduit bien tout ce qu'on observe", ajoute François Bouchet.
Devant la porte, il y avait la voiture.
Devant la porte, il y avait une dame que je ne connaissais pas : « M. Meursault », a dit le directeur.
Devant le bâtiment, il y avait le curé et deux enfants de choeur.
Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il n'avait la sensation de l'immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nues.
Devant lui, il ne voyait pas le sol noir, et il n'avait la sensation de l'immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nuées.
Devant moi, il n'y avait pas une ombre et chaque objet , chaque angle, toutes les courbes se dessinaient avec une pureté blessante pour les yeux.
Dis-le moi lorsque je te tiens.
Dis-le moi lorsque je te tiens.
Dis-lui de ne donner la pomme qu'à Ève.
Dis-lui de ne pas la lui donner.
Dis-lui de ne pas lui donner à peu près trois kilos de pommes.
Dis-lui de ne pas lui donner moins de pommes que de poires.
Dis-lui de ne pas lui donner moins de pommes que de poires.
Dis-lui de ne pas lui donner moins de pommes.
Dis-lui de ne pas lui donner moins de pommes.
Dis-lui de ne pas lui donner plus d'une pomme.
Dis-lui de ne plus donner les pommes à Ève.
Dis-moi de quoi avait-il l'air.
Dis-moi de quoi il avait l'air.
Dis-moi sur qui faut-il le braquer ?
Dites-moi ce que vous voulez.
Donne la main à ton père.
Donne-en plus.
Donne-la-lui vite !
Donne-leur autant de pommes que de poires.
Donne-lui en un autre.
Donne-lui en un peu moins.
Donne-lui la main.
Donne-lui la plus neuve de tes robes.
Donne-lui-en la plus neuve.
Donne-lui-en la plus neuve.
Donne-lui-en les trois meilleurs.
Donne-lui-en trois.
Donne-lui-en un peu moins.
Donne-lui-en un peu moins.
Donne-moi ça !
Donne-moi une autre pomme.
Donne-m'en d'autres.
Donne-m'en trois autres.
Donne-m'en une autre.
Doucement ta vie t'a mis malheureux.
Doucement ta vie t'as mis K.-O. .
Douze sur vingt ont eu leur bac.
Du côté du scénario, on trouve une histoire également relativement classique.
Du fond de la doline, Tayar le regarde avec des yeux brûlants de fièvre.
Du point de vue de l'apprentissage, nous sommes à même de faire sauter le verrou.
Du point de vue financier, l'association fonctionne essentiellement grâce à l'aide d'une subvention attribuée par le siège basé à Valenciennes ainsi qu'une cotisation de 17 euros par an et par adhérents.
Du reste, comme son cheval qui demeurait immobile sur les pieds, sans paraître souffrir du vent, il semblait en pierre, il n'avait l'air de se douter ni du froid, ni des bourrasques sifflant à ses oreilles.
Du travail pour un machineur, non, non...
D'abord, ce n'est pas lui qui l'a dit le premier.
D'abord, il hésita, pris de crainte ; puis, il ne put résister au besoin douloureux de se chauffer un instant les mains.
D'abord, vous me lâchez.
D'après des experts qui s'en seraient voulu d'estimer la fortune, elle revient à 100 millions de dollars.
D'avoir dormi au fond de la doline lui a fait du bien.
D'avoir fermé les yeux, la pièce m'a paru encore plus éclatante de blancheur.
D'entendre son bruit le rafraîchit, lui rend un peu de ses forces.
D'ici à ce qu'il refuse, il n'y a pas loin.
D'ici qu'il refuse, il n'y a pas loin.
D'où l'aspect granuleux du cliché, équivalent aux vagues à la surface d'un océan.
D'où son nom de fond diffus cosmique ou rayonnement fossile.
D'où viennent-ils?
D'un seul coup, le garçon s'en va, il s'éloigne de la doline sans se retourner.
Eh bien, si tel est le cas, qu'y puis-je?
Elle a aussi tout fait pour l'être.
Elle a aussi tout fait pour l'être.
Elle a de la pêche.
Elle a déjà quatre vingt ans, aussi invraisemblable que cela paraisse.
Elle a fait cinquante plongées en tout.
Elle a fini par épouser un mec dont le père était en prison.
Elle a fini par l'épouser.
Elle a fini par l'épouser.
Elle a incliné sans un sourire son visage osseux et long.
Elle a semblé belle à nous tous.
Elle a tout fait pour le lui sembler et pour te le sembler aussi.
Elle a voulu le moins cher.
Elle aide l'enfant à s'asseoir, elle soutient sa nuque tandis qu'il boit le lait aigre.
Elle aura son café sans sucre.
Elle avait compris depuis longtemps que la finesse ne faisait pas partie de ses qualités premières.
Elle avait deux heures de tennis et trois heures de natation par semaine.
Elle avait raison.
Elle avait si bonne mémoire qu'elle jouait sans notes.
Elle avait une voix singulière qui n'allait pas avec son visage, une voix mélodieuse et tremblante.
Elle boit de la limonade plus que de l'eau.
Elle boit de la limonade plus que de l'eau.
Elle boit plus de limonade que d'eau.
Elle braque ses yeux sur moi.
Elle brille comme un sou.
Elle dit quelques mots, de sa voix tranquille, mais son visage est triste.
Elle en avait deux heures par semaine.
Elle en boit plus que de l'eau.
Elle est comme neuve.
Elle est dans chaque pierre blanche, dans chaque touffe d'euphorbe, dans chaque buisson d'épines, elle est dans le lit de l'oued où progressent comme des fourmis les soldats sombres.
Elle est dans les collines lointaines, couleur d'ombre violette, elle est dans le ciel sans fin, pareille à un oiseau de proie qui rôde.
Elle est même totalement opaque, car nul grain de lumière ou photon ne peut en sortir.
Elle est prête à tout.
Elle est quasi-neuve.
Elle est très fâchée avec moi.
Elle est un peu plus petite que celle-là.
Elle était au second rang, cachée par une de ses compagnes, et je la voyais mal.
Elle était meublée de chaises et de chevalets en forme de X.
Elle la lui a donnée.
Elle le lui a semblée aussi.
Elle le lui semble.
Elle leva la tête et éclata d'un rire fou.
Elle lui donne du pain par petits morceaux, comme à un bébé.
Elle lui donne moins de pommes que de poires.
Elle lui donne moins de pommes que de poires.
Elle luttait pour ses droits contre tout le monde.
Elle l'a été par ta faute.
Elle l'a été par votre faute.
Elle mange les bonbons comme le pain.
Elle mange les bonbons comme le pain.
Elle mange les bonbons comme le pain.
Elle me le semble aussi.
Elle me le semble.
Elle montre l'Univers le plus jeune qu'il soit possible d'observer, tel qu'il était à ses tout débuts, 380000 ans seulement après sa création - elle dévoile un rayonnement qui a voyagé jusqu'à nous depuis la nuit des temps.
Elle m'a dit que oui.
Elle m'a dit que oui.
Elle m'a dit qu'elle viendrait et qu'elle me comprenait.
Elle m'a dit qu'elle viendrait.
Elle m'a dit : « Si on va doucement, on risque une isolation. Mais si on va trop vite, on est en transpiration et dans l'église on attrape un chaud et froid. »
Elle m'a marché sur le pied.
Elle ne m'écrit plus depuis belle lurette.
Elle ne m'écrit plus il y a belle lurette.
Elle ne se cache pas.
Elle ne s'est pas sentie mourir.
Elle nous a semblé belle.
Elle nous l'a semblée.
Elle n'a jamais donné à Adam plus d'une pomme.
Elle n'a peur de personne.
Elle n'avait besoin que de trois pièces d'échange.
Elle n'avait que deux pièces.
Elle pleurait à petits cris, régulièrement : il me semblait qu'elle ne s'arrêterait jamais.
Elle prononce bien : « maman » et aussi « mamie ».
Elle prononce bien « maman » et « mamie ».
Elle reniflait beaucoup.
Elle ressemble trait pour trait à ma tante.
Elle sait maintenant qu'il s'est échappé, on a dû le lui dire.
Elle se doute de la chose.
Elle se l'est fait voler.
Elle se l'est faite voler.
Elle s'agenouille à côté de Tayar, elle touche son front avec sa main fraîche, et tout de suite la brûlure du soleil s'atténue, comme si un nuage passait.
Elle s'arrête devant Tayar, elle écarte encore son voile, et dans le creux de son bras droit, il y a un pain noir et une outre de lait aigre.
Elle s'assit contre un arbre en jouissant du froid humide qui la pénétrait, en aspirant l'odeur du terreau, des champignons et des feuilles pourries.
Elle s'assit contre un arbre jouissant du froid humide qui la pénétrait, aspirant l'odeur du terreau, des champignons et des feuilles pourries.
Elle s'assit contre un arbre jouissant du froid humide qui la pénétrait.
Elle s'en est parfaitement passée hier.
Elle s'en est persuadé depuis.
Elle s'est accordé un peu de repos.
Elle s'est arrêtée brusquement, d'un coup prise de crainte.
Elle s'est assise, sur la descente de lit, entre les jambes de Vincent.
Elle s'est blessée au doigt.
Elle s'est déplu dans ce lieu.
Elle s'est fait couper les cheveux ; ils étaient trop longs.
Elle s'est fait couper les cheveux.
Elle s'est laissée aller.
Elle s'est persuadé que la gloire de la femme est de s'élever au-dessus des sens.
Elle s'est persuadée que la gloire de la femme est de s'élever au-dessus des sens.
Elle s'est plu à vous contredire.
Elle s'est regardée dans le miroir.
Elle s'est senti piquer par un moustique.
Elle s'est tue enfin.
Elle s'était jouée de lui.
Elle s'était laissé murer dans ce tombeau.
Elle s'était persuadée qu'il lui était arrivé quelque chose.
Elle s'était tant plu dans la solitude du musée du roi René.
Elle tenait par la main Pépé et Jean la suivait.
Elle va lui donner plus de pommes.
Elle veut le meilleur du stock.
Elle veut le meilleur pain parmi ces deux.
Elle veut le meilleur sur le stock.
Elle veut le meilleur.
Elle veut l'absolument meilleur vélo du stock.
Elle vient à lui, il la voit dans l'air trouble du soir.
Elle vient à Nantes le jeudi sept avril tôt au matin par avion.
Elle vient à Nantes par avion jeudi prochain à dix heures trente cinq du matin, ensuite elle va au labo et on va manger ensemble vers midi pas loin du campus dans un petit restaurant.
Elle vient à Nantes par avion le prochain jeudi à dix heures trente cinq du matin, ensuite elle va au labo et on va manger ensemble vers midi pas loin du campus dans un petit restaurant.
Elle vient à sa rencontre, enveloppée dans son voile noir.
Elles étaient à peine visibles dans l'ombre couleur de fumée.
Elles étaient larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nuées.
Elles jaillissent des pierres tranchantes, du ciel, des arbustes.
Elles le sont.
Elles représentent un suprême potentiel, conjuguées à mon intellect.
Elles se sont plaintes de leur mémoire.
Elles se sont repenties de leurs fautes.
Elles se sont ri de tous ces projets.
Elles se sont souvenu de nos promesses.
Elles se sont souvenues de nos promesses.
Elles sont xxx.
Elles s'étalaient, se rejoignaient et formaient un vernis d'eau sur ce visage détruit.
En avoir marre est la méthode de tous les syndicalistes.
En bas du terri, un silence s'était fait, les moulineurs n'ébranlaient plus les tréteaux d'un roulement prolongé.
En bas, dans le ravin brûlé, court l'eau légère de l'oued.
En ce qui concerne le temps à prévoir : cela ressemble à trois heures par page.
En ce qui te concerne, il était plutôt content.
En ce qui te concerne, il était plutôt content.
En débarrassant le pavillon de mes parents avant la vente, j'ai trouvé une petite pile de cartes postales datant des années 1930 à 1980.
En débarrassant le pavillon de mes parents avant la vente, j'ai trouvé une petite pile de cartes postales.
En effet, on est surpris par le peu de moyens avec lesquels le public fait connaître ses sentiments.
En fait, j'aimerais éviter de repasser par Grenoble entre la mission à Nantes et la mission à Chicago.
En fait, le principe des dépendances optionnelles répétables n'est pas précis sur l'ordre des subordonnés.
En haut sur le pont, au frais, il y a les maîtres et qui s'en font pas, avec des belles femmes roses et gonflées de parfums sur les genoux.
En haut, sur le plateau, ils cherchaient un nouveau creux pour dormir, à l'abri d'un arbre sec, ou sous le pan coupé d'un vieux rocher usé par le vent.
En janvier 1943, ce sont en fait 45 résistants communistes qui sont jugés à Nantes par un tribunal militaire allemand.
En janvier 1943, ce sont en fait 45 résistants communistes qui sont jugés à Nantes par un tribunal militaire allemand.
En janvier 1943, ce sont en fait 45 résistants communistes qui sont jugés à Nantes par un tribunal militaire allemand.
En même temps, il s'essuyait la crâne avec un mouchoir qu'il tenait dans sa main gauche, la main droite soulevant le bord de sa casquette.
En outre, ce "bruit" ne varie pratiquement pas : quel que soit l'endroit vers lequel pointent les détecteurs, la même température est mesurée, équivalente à quelque 270 ° C.
En outre, cerise sur le gâteau, les chercheurs ont découvert quels objets massifs les photons fossiles ont rencontrés sur leur trajet jusqu'à nous.
En particulier, ces analyses valident l'hypothèse qu'un phénomène incroyablement spectaculaire a bien eu lieu juste après le Big Bang et bien avant 380000 ans : l'inflation.
En principe, les pensionnaires ne devaient pas assister aux enterrements.
En principe, l'enterrement est fixé à dix heures du matin.
En quelques bonds, le garçon est descendu jusqu'à lui, au fond de la doline.
En quittant les terrains en 2001, j'ai tout oublié.
En quittant les terrains en 2006, j'avais envie de profiter de la vie.
En rampant sur le ventre, Tayar essaie de remonter la pente de la doline.
En rampant, Tayar est remonté jusqu'au bord de la doline, non loin de la borie.
En rangeant je suis tombée sur "Les mémoires d'une jeune fille rangée" que tu m'avais prêté.
En réalité, des murmures sont audibles, un million de fois plus faibles que le bruit dominant.
En somme, je n'avais pas à m'excuser.
En sortant, et à mon grand étonnement, ils m'ont tous serré la main - comme si cette nuit où nous n'avions pas échangé un mot avait accru notre intimité.
En tant que très importants, ces problèmes nécessitent des solutions immédiates.
En tout, il a bu deux verres et demi de vodka.
En 2001, les banques réalisaient la moitié de leurs profits avec les activités bancaires qui ont fait Wall Street ; six ans plus tard, en 2007, les banques font 80 % de leurs profits avec le trading pour leur propre compte.
Encore faut-il que l'on s'entende sur la notion de sincérité !
Encore plus loin, la route de la lumière le guide jusqu'à la maison de boue, au bord de l'oued.
Enfin elle renonce à mentir.
Enfin, il cracha, et son crachat, sur le sol empourpré, laissa une tache noire.
Enfin, les chercheurs confirment qu'il existe bien une anomalie non encore expliquée par le modèle standard, ni même par aucun autre actuellement.
Enfin, les vins rouges bordelais sont excellents.
Enfin, nous nous réconciliâmes avec Arthur pour finir, tout à fait.
Ensuite il m'a dit qu'il assisterait à l'enterrement et je l'ai remercié.
Ensuite, il a beaucoup bavardé.
Ensuite, il en boit deux verres encore.
Ensuite, il en boit deux verres encore.
Ensuite, il s'est tu.
Ensuite, je ne sais plus.
Essayons d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple.
Est-ce bien utile ?
Est-ce parce qu'un sentiment très vif provoque des mouvements désordonnés ?
Est-ce qu'il rêve?
Est-ce qu'ils ont peur, eux-aussi?
Est-il content ?
Est-il normal que la banque puisse parier pour son compte propre ?
Es-tu sûr au fond de toi d'avoir raison?
Et ainsi nous en gagnons encore plus.
Et aussi parce que cela me prenait mon dimanche - sans compter l'effort pour aller à l'autobus, prendre des tickets et faire deux heures de route.
Et c'est à partir de ce moment qu'ont commencé les choses dont je n'ai jamais aimé parler.
Et c'est à partir de ce moment qu'ont commencé les choses dont je n'ai jamais aimé parler.
Et de ces variations de densité de matière naîtront les grains de poussière, les étoiles.
Et derrière nous, les conversations reprenaient.
Et d'ailleurs le jour où la patrie me demandera de verser mon sang pour elle, elle me trouvera moi bien sûr, et pas fainéant, prêt à le donner.
Et d'un coup il apparaît à la première place.
Et Ève, et Adam, et Serpent étaient là.
Et je lui récite alors : Un Dieu qui compte les minutes et les sous, un Dieu désespéré, sensuel et grognon comme un cochon. Un cochon avec des ailes en or qui retombe partout, le ventre en l'air, prêt aux caresses, c'est lui, c'est notre maître. Embrassons-nous !
Et je sentais le sommeil me gagner.
Et j'ai remarqué que le public ne se manifeste que par des applaudissements.
Et la poulie gémit comme gémit une vieille girouette quand le vent a longtemps dormi.
Et la preuve la meilleure, c'est que j'ai composé une manière de prière vengeresse et sociale dont tu va me dire tout de suite des nouvelles : Les ailes en Or ! C'est le titre !...
Et le vent qui passait au-dessus d'elles apportait ici une odeur de sel.
Et leur insignifiance, si elle le rassurait, lui faisait pourtant de la peine comme une trahison.
Et plus il y a d'eau, et mieux c'est.
Et pourtant, au bout d'un instant il se disait qu'Odette devait le trouver bien ennuyeux, pour que ce fussent là les plaisirs qu'elle préférait à sa compagnie.
Et puis il s'est mis à y en avoir moins des patriotes...
Et puis il y a longtemps qu'il n'a plus parlé, et les mots sont desséchés dans sa gorge.
Et puis il y a longtemps qu'il n'a plus parlé, et les mots sont desséchés dans sa gorge.
Et puis plus du tout d'encouragements, plus un seul, sur la route.
Et puis, j'étais ému aussi parce que le garçon m'avait un peu traité de sordide à cause du pourboire.
Et puis, le voilà parti à m'engueuler.
Et quand je me suis réveillé, j'étais tassé contre un militaire qui m'a souri et qui m'a demandé si je venais de loin.
Et qu'est-ce qu'on en a ?
Et surtout, pour faire une bonne visite, il fallait être matinal.
Et toi, mon vieux, tu vas me le payer !
Et toi, petite Ève, est-ce que tu t'en vas ?
Et toi, petite Ève, est-ce que tu t-en vas ?
Et une belle de race ! qu'il insistait lui, et même que c'est la plus belle race du monde, et bien cocu qui s'en dédit !
Et voilà qu'on se remet à se serrer le ventre.
Et vous êtes restés là comme ça tous les deux pendant une semaine ?
Étant donné la récurrence de ce sujet, l'annonce officielle de cette suite dans les prochains mois est assez probable.
Étienne le regardait, regardait le sol qu'il tachait de la sorte.
Étienne racontait ses courses inutiles depuis une semaine ; il fallait donc crever de faim ? bientôt les routes seraient pleines de mendiants.
Étienne retrouvait chaque partie de la fosse, le hangar, la tourelle, la pompe.
Étienne retrouvait chaque partie de la fosse, le hangar, la tourelle, la pompe.
Étienne retrouvait chaque partie de la fosse, le hangar, la tourelle, la pompe.
Étienne, qui s'oubliait devant le brasier à chauffer ses pauvres mains saignantes, regardait, retrouvait chaque partie de la fosse, le hangar goudronné du criblage, le beffroi du puits, la vaste chambre de la machine d'extraction, la tourelle carrée de la pompe d'épuisement.
Étienne, qui s'oubliait devant le brasier à chauffer ses pauvres mains saignantes, regardait, retrouvait chaque partie de la fosse.
Et, de cette apparition fantastique, noyée de nuit et de fumée, une seule voix montait.
Et, de sa main tendue de nouveau, il désigna dans les ténèbres des points invisibles, à mesure qu'il les nommait.
Et, là-haut, le vent redoublait, une bise glaciale, dont les grandes haleines régulières passaient comme des coups de faux.
Et, là-haut, le vent redoublait, une bise glaciale, dont les grandes haleines régulières passaient comme des coups de faux.
Et, les yeux errants, il s'efforçait de percer les ombres, tourmenté du désir et de la peur de voir.
Et, les yeux errants, il s'efforçait de percer les ombres.
Eugénie Smirnoff s'était commandé un chapeau.
Eugénie Smirnoff s'était commandée un chapeau.
Ève donne une pomme à Adam.
Ève est bien meilleure élève qu'Adam.
Ève est bien meilleure qu'Adam.
Ève ne donne les pommes ni à Adam, ni à qui que ce soit.
Ève n'a jamais donné à Adam plus d'une pomme.
Ève n'a ni jaunes, ni rouges.
Ève n'offre les pommes qu'à Adam.
Ève offre les pommes seulement à Adam.
Eve s'est fâchée contre Adam à force de lui prendre sa pomme.
Ève s'est fait avoir par le Serpent.
Ève, Adam, ou bien Serpent étaient là.
Ève, Adam, ou bien Serpent étaient là.
Ève, il faut que tu t'en ailles !
Ève, il faut que tu t'en ailles.
Ève, il faut que tu t-en ailles !
Ève, il faut que tu t-en ailles.
Ève, ne t'en vas pas !
Ève, ne t-en vas pas !
Ève, paraît il, viendra ce soir.
Ève, paraît-il, viendra ce soir.
Ève, tu sais, elle m'a trahi.
Ève, vas-t'en !
Ève, vas-t-en !
Fabriquez-en d'autres pour moi.
Fabriquez-en d'autres.
Fabriquez-m'en d'autres du même genre.
Fabriquez-m'en d'autres.
Fabriquez-m'en encore d'autres du même genre.
Fabriquez-m'en encore d'autres.
Fais-toi couper les cheveux ; ils sont trop longs.
Faites de beaux rêves.
Faites en sorte d'arriver avant lui.
Fallait voir ça, il y a trois ou quatre ans !
Fébrilement, il regroupe quelques bouts de bois, des brindilles, des feuilles, pour faire du feu.
Finalement, il en boit encore deux tiers de verre.
Finalement, il en boit encore deux tiers de verre.
Fleur Pellerin voit loin.
François était plus généreux que les autres.
Fumer est dangereux !
Glissant sur le ventre comme un saurien, Tayar remonte lentement la pente du cratère.
Hannon était si fatigué, si désespéré - la perte des éléphants surtout l'accablait -, qu'il demanda, pour en finir, du poison à Demonades.
Hé bien, fabriquez-en encore d'autres.
Hé oh, au boulot, les Français !
Hier Pierre était volé à la gare.
Hormis l'hiver, il ne pleut pas.
Horriya essuie sa bouche avec son voile, sans rien dire, et il boit à nouveau.
Ici on n'a pas le temps, on ne s'est pas fait à l'idée que déjà il faut courir derrière le corbillard.
Ici, cela s'efface, dans le soleil doux du matin, en haut du plateau calcaire, sous le regard brillant de l'enfant à genoux à côté de lui.
Ici, le directeur a souri.
Ici, malgré le soleil, Tayar sent le froid de l'espace, le vent.
Il a acheté le tableau le plus avant-gardiste qui soit.
Il a ajouté : « Vous savez, elle avait des amis, des gens de son âge. Elle pouvait partager avec eux des intérêts qui sont d'un autre temps. Vous êtes jeune et elle devait s'ennuyer avec vous. »
Il a beaucoup de cartes.
Il a bégayé un peu : « On l'a couverte, mais je dois dévisser la bière pour que vous puissiez la voir. »
Il a bégayé un peu : « On l'a couverte, mais je dois dévisser la bière pour que vous puissiez la voir. »
Il a bu deux bouteilles de bière.
Il a bu deux fois plus de bières qu'Alain.
Il a bu deux verres de vodka.
Il a consulté un dossier et m'a dit : « Madame Meursault est entrée ici il y a trois ans. Vous étiez son seul soutien. »
Il a de la pêche.
Il a dit au revoir.
Il a dit qu'il fallait l'attendre, sans bouger.
Il a dit qu'il irait jusqu'à Lambessa, en passant par les ruines de Timgad, pour prendre des vivres et de l'argent, pour savoir les messages qu'on avait laissés pour lui, aussi.
Il a du pain sur la planche.
Il a écarté de la pile les autres livres.
Il a été flashé à 180 kilomètres à l'heure.
Il a été procédé à une action.
Il a extrait la balle avec une pince.
Il a fabriqué un appeau avec un petit bout de sureau, et il chante le bruit de l'eau pour attirer ceux qu'il veut tuer.
Il a laissé l'outre en peau de chèvre dans les rochers, et la besace, pour pouvoir marcher plus vite.
Il a laissé son sac et son outre en peau de chèvre, pour pouvoir marcher plus vite.
Il a l'habitude de mentir, de sorte que cette fois-ci personne n'a voulu le croire.
Il a l'habitude de mentir, de sorte que cette fois-ci personne n'a voulu le croire.
Il a marché toute la nuit, ne s'arrêtant qu'une fois, dans un café de routiers au bord de la nationale, juste le temps de boire une tasse de café âcre qui lui a brûlé la gorge.
Il a ordonné dans le téléphone en baissant la voix : « Figeac, dites aux hommes qu'ils peuvent aller. »
Il a perdu son oncle, il y a quelques mois.
Il a pris le téléphone en main et il m'a interpellé : « Les employés des pompes funèbres sont là depuis un moment. Je vais leur demander de venir fermer la bière. Voulez-vous auparavant voir votre mère une dernière fois ? »
Il a remporté dix victoires de suite.
Il a répété en montrant le ciel : « Ça tape. »
Il a repris encore à travers champs et comme cela plusieurs fois.
Il a résisté à toutes les tempêtes.
Il a réveillé les autres et le concierge a dit qu'ils devraient partir.
Il a tout ôté.
Il a une telle force que rien ne l'arrête.
Il aimait les fleurs blanches, que ce soient les marguerites ou les roses.
Il aperçoit l'autre versant, là où le chemin des chèvres descend en zigzag à travers les éboulis et les broussailles, jusqu'au lit de l'oued.
Il apprend à Paul à lire.
Il apprend la grammaire à Paul.
Il avait agi par avarice.
Il avait besoin de trois pièces.
Il avait de beaux yeux, bleu clair, et un teint un peu rouge.
Il avait du bois, il en a fait une belle statue et ensuite il en a fabriqué d'autres, moins belles.
Il avait dû courir.
Il avait dû passer le dimanche caché sous les bois d'un chantier de charronage, dont le surveillant venait de l'expulser à deux heures de la nuit.
Il avait du talent à revendre.
Il avait les jambes raides par des rhumatismes.
Il avait les jambes raidies par des rhumatismes.
Il avait l'air fort malgré ses membres menus.
Il avait peur de la foule.
Il avait soixante-quatre ans et il était parisien.
Il avait un feutre mou à la calotte ronde et aux ailes larges (il l'a ôté quand la bière a passé la porte), un costume dont le pantalon tire-bouchonnait sur les souliers et un noeud d'étoffe noire trop petit pour sa chemise à grand col blanc.
Il avait un visage plus sombre, presque noir.
Il avait une voix calme - pas douce - et les gens le suivaient là où il les entraînait.
Il avait vu tant de tentatives de changement dans sa vie qu'il n'y croyait plus.
Il avance à quatre pattes, comme un chien, la tête rejetée en arrière, pour voir le ciel plein d'étoiles.
Il avance au hasard sur l'étendue des pierres blanches et noires, sous le ciel jaune pâle.
Il bandait ses muscles, tel une bête qui va sauter.
Il boit dans cette tasse plus que dans l'autre.
Il boit de plus en plus de la bière.
Il boit deux fois plus de bières qu'Alain.
Il boit deux fois plus de bières qu'Alain.
Il boit moins d'eau qu'avant.
Il boit moins qu'avant.
Il boit quelques bouteilles d'eau.
Il boitait tandis que son cheval repartait tout seul.
Il boitait, ses jambes raides par des rhumatismes; tandis que son cheval repartait tout seul.
Il boitait, ses jambes raides par des rhumatismes; tandis que son cheval repartait tout seul.
Il boit, d'un coup, une bonne moitié de verre de vodka.
Il cherchait à recueillir la phrase ou l'harmonie - il ne savait lui-même - qui passait.
Il cherchait un vélo de course de taille moyenne, à trente vitesses, avec un cadre en aluminium.
Il cherche des yeux un coin de terre, un abri, pour dormir.
Il collectionne toutes sortes d'insectes.
Il commençait à peser sur la terre et la chaleur augmentait rapidement.
Il commence à devenir influencé par sa femme.
Il connaît bien ce paysage, sans y être jamais venu.
Il construit ainsi partiellement sa mémoire de « partie des fusillés », morts pour leurs idées et non pas en combattant et en commettant des attentats, comme c'est le cas des « 42 ».
Il court et il danse autour du feu, il lui parle comme si c'était une bête vraiment, il crie de temps en temps de drôles de cris gutturaux : «Naoh! Narr! ».
Il crachait dans un grand mouchoir à carreaux et chacun de ses crachats était comme un arrachement.
Il cracha, il repartit derrière son cheval somnolent, après l'avoir attelé aux berlines vides.
Il crie de temps en temps de drôles de cris gutturaux : "Naoh! Narr! ".
Il déçoit Dora qui s'était formée, elle aussi, une image merveilleuse de l'époux absent.
Il déçoit Dora qui s'était formé, elle aussi, une image merveilleuse de l'époux absent.
Il devait avoir 21 ans, l'air fort malgré ses membres menus.
Il devait avoir 21 ans, très brun, joli homme, l'air fort malgré ses membres menus.
Il devait avoir 21 ans, très brun, joli homme.
Il devait avoir 21 ans, très brun, joli homme.
Il devait avoir 21 ans.
Il disait doucement, comme un murmure : «Aazi», et ensemble ils couraient, pieds nus, ils dévalaient les pentes de la montagne jusqu'à l'oued où les brebis avaient déjà choisi leur place d'ombre pour la journée de soleil.
Il dit seulement : «Vous êtes blessé?»
Il dit : Nous l'avons fait.
Il dit : " Nous l'avons fait ".
Il dit : " Nous l'avons fait ".
Il dit : « Nous l'avons fait ».
Il dit, faiblement, «Aazi ... » et il rit un peu, sans bruit, et sa main s'élève pour prendre la main du garçon.
Il doit aller loin, avant la nuit, sur les pentes du mont Chelia, jusqu'à la grotte où l'attendent son frère et sa soeur Horriya.
Il doit s'asseoir, accroché aux rochers, le coeur battant très fort.
Il donne à manger au feu des brindilles.
Il dort longtemps comme cela, sans bouger, respirant lentement.
Il écoute tant qu'il peut, guettant le moindre bruit.
Il en a bu deux fois plus qu'Alain.
Il en a bu deux tiers de verre et demi.
Il en a bu deux tiers de verre.
Il en a bu une demi-bouteille.
Il en a bu une pleine et une à moitié vide.
Il en a été ainsi.
Il en a eu ceux qui partaient.
Il en a eu fort besoin avant.
Il en a eu qui partaient.
Il en a eu très peur.
Il en a fabriqué des tuiles avec de l'argile.
Il en a fabriqué des tuiles avec de l'argile.
Il en a fabriqué d'autres.
Il en a fabriqué d'autres.
Il en a lu plusieurs.
Il en a remporté dix d'affilée.
Il en a remporté encore cinq.
Il en avait beaucoup plus que d'habitude.
Il en avait besoin.
Il en boit moins qu'avant.
Il en boit quelques bouteilles.
Il en boit quelques verres de plus que d'habitude.
Il en boit une bonne moitié de verre.
Il en boit une bonne moitié de verre.
il en donne un autre.
Il en donne un autre.
Il en est ainsi.
Il en est fier.
Il en est le plus assidu.
Il en est sûr.
Il en remporte deux de plus que l'année dernière.
Il en sait bien d'autres très drôles.
Il en sait bien d'autres très drôles.
Il essaie de prendre un morceau de pain, mais ses doigts n'ont pas de force, et le pain roule dans l'herbe à côté de lui.
Il essaie de prendre un morceau de pain, mais ses doigts n'ont pas de force, et le pain roule dans l'herbe à côté de lui.
Il est avec son oncle Raïs, sur la montagne du Chélia, du côté du soleil couchant.
Il est beaucoup plus dangereux que tu n'imagines.
Il est beaucoup plus dangereux que tu n'imagines.
Il est brun rouge, couleur de feu aussi, et ses cheveux bouclés ont des reflets de cuivre.
Il est complètement fou, bon sang !
Il est complètement fou, bon sang !
Il est des secrets qu'on ne verra jamais dévoilés.
Il est deux fois plus grand qu'elle.
Il est en train de partir.
Il est entré ; je l'ai suivi.
Il est facile à boire.
Il est facile à boire.
Il est heureux, d'un bonheur si intense, qu'il ne peut plus bouger, ni parler.
Il est inutile de s'en plaindre.
Il est inutile de s'en plaindre.
Il est là, couché comme autrefois, à plat ventre dans la pierraille, retenant son souffle.
Il est le meilleur parmi ces xxx.
Il est magnifique, ce sapin!
Il est ouvert au public et les journalistes sont invités à le couvrir.
Il est passé plusieurs fois à côté d'elle sans jamais la voir.
Il est passé plusieurs fois à côté d'elle.
Il est passé plusieurs fois à côté d'elle.
Il est pieds nus dans des chaussures de basket sans lacets.
Il est pieds nus sur les pierres aiguës, et ses cheveux bougent dans le vent, noirs et brillants comme l'herbe.
Il est plus dangereux que tu n'imagines.
Il est plus dangereux que tu n'imagines.
Il est plus facile de dire que de faire.
Il est plus simple de boire que de travailler.
Il est revenu deux - trois heures plus tard.
Il est seul, dans la grande montagne.
Il est sorti, est revenu, a disposé des chaises.
Il est vêtu d'un anorak de skieur un peu grand pour lui.
Il était chaleureusement accueilli par la reine mère.
Il était flashé à 180 kilomètres à l'heure.
Il était généreux plus que d'habitude.
Il était petit, le cou énorme, les mollets et les talons en dehors, avec de longs bras dont les mains carrées tombaient à ses genoux.
Il était repère pour elle.
Il était repère pour elle.
Il était vêtu d'un manteau jaune et coiffé d'une casquette.
Il était volé par sa voisine.
Il évoquait cette question avec chacun de nous, en tête à tête.
Il examine Tayar avec curiosité.
Il faisait doux, le café m'avait réchauffé et par la porte ouverte entrait une odeur de nuit et de fleurs.
Il faisait très chaud.
Il fait beau.
Il fait celui qui n'a pas peur, les mains dans les poches, mais il est prêt à bondir en arrière à la moindre alerte.
Il fait quelques pas, s'accroupit pour uriner.
Il fallait le laisser courir.
Il fallait le laisser le dire.
Il fallait que le visage de l'inconnu lui convînt et qu'il fût pris d'une de ces démangeaisons de confidences, qui font parfois causer les vieilles gens tout seuls, à haute voix.
Il faudra attendre soixante ans pour réhabiliter la mémoire des « 42 ».
Il faut apporter la preuve de son courage et seul affronter le lion.
Il faut avant tout avoir l'esprit logique, une bonne vision dans l'espace ainsi qu'une bonne dextérité avec les doigts.
Il faut avoir soi-même labouré la terre.
Il faut cependant avoir l'oeil du spécialiste pour reconnaître un Univers en formation sur l'image prise par la collaboration de Planck, forte de plus de deux cents personnes.
Il faut être heureux, rien que pour donner l'exemple.
Il faut faire la lumière sur cette sale affaire.
Il faut laisser à Paul de l'argent.
Il faut les faire fabriquer.
Il faut les faire faire mieux.
Il faut les faire faire mieux.
Il faut les soigneusement choisir, planter et arroser.
Il faut leur en donner une solution.
Il faut l'avertir du vol .
Il faut l'avertir qu'il y a eu un vol.
Il faut l'en avertir.
Il faut m'en avertir.
Il faut m'en donner une solution.
Il faut que tu fasses manger le rôti à Lucas.
Il faut que tu le fasses manger à Lucas.
Il faut que tu le fasses manger.
Il faut que tu le fasses manger.
Il faut que tu le lui fasses manger.
Il faut que tu lui laisses le livre.
Il faut que tu t'en ailles, Ève !
Il faut que tu t'en ailles, Ève.
Il faut que tu t-en ailles, Ève !
Il faut que tu t-en ailles, Ève.
Il faut qu'il atteigne le bord de la falaise avant que le soleil n'ait touché les montagnes, ou bien il sera trop tard.
Il faut se taire, il faut être muet comme les pierres de la montagne, silencieux comme les lièvres.
Il faut soigneusement les choisir, les planter et les arroser.
Il faut soigneusement les choisir, planter et arroser.
Il ferme les yeux, aveuglé.
Il ferme les yeux, aveuglé.
Il fit environ deux cent pas.
Il fournit aussi les données pour que d'autres s'en emparent et les confrontent à d'autres théories ou aux autres expériences.
Il fusillait du regard quiconque franchissait les limites de son intimité.
Il fût pris d'une de ces démangeaisons de confidences.
Il fût pris d'une de ces démangeaisons de confidences.
Il fut repris de honte : à quoi bon ? il n'y aurait pas de travail.
Il fut repris de honte : à quoi bon ?
Il grelotte de froid.
Il hésite, parce que cela ressemble à un tombeau de magicien.
Il jette aux flammes de grosses branches de chêne vert qui éclatent en faisant des nuées d'étincelles dans la nuit.
Il la leur fait apprendre.
Il laisse tomber la pierre sur le sol, à côté de lui.
Il le connaît bien, il le reconnaît.
Il le voit distinctement, qui tire sur sa laisse, attaché à la main du soldat.
Il le voit qui pleure.
Il les pose à côté de Tayar, sans rien dire.
Il leur fait apprendre cette méthode.
Il lui apprend à lire.
Il lui apprend la grammaire.
Il lui dit «Viens, viens!» avec la main.
Il lui donna trois heures de leçons par semaine.
Il lui en donne.
Il lui faut de telles pommes.
Il lui faut des pommes.
Il lui faut pas plus d'une pomme par jour.
Il l'aide à apprendre la grammaire.
Il l'aide à nager.
Il l'aide à nager.
Il l'aime si fort qu'elle en a peur.
Il l'aime si fort.
Il l'appelle en arrivant : "Aazi, Aazi!".
Il l'est toujours.
Il l'est toujours.
Il marchait avec beaucoup de dignité, sans un geste inutile.
Il marchait d'un pas allongé, grelottant sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon de velours.
Il me faut cette table.
Il me la faut.
Il me l'a prise.
Il me manque un maillon.
Il me montre deux lettres qu'il a écrites.
Il me montre deux lettres qu'il a écrites.
Il me prend pour un con.
Il me raconte des histoires : comme quoi Serpent aime Ève.
Il me semblait que c'était toi qui vivais dans la plus grande confusion.
Il me semblait que c'était toi qui vivais dans la plus grande confusion.
Il me semblait que c'était toi qui vivais dans la plus grande confusion.
Il me semblait que c'était toi qui vivais la vraie vie, pas nous.
Il me semblait que le convoi marchait un peu plus vite.
Il me traite comme un con.
Il me traite comme un con.
Il me traite de con.
Il met la main dans la poche de son pantalon, et il sent du bout des doigts le petit couteau à cran d'arrêt que Frank lui a donné, avant qu'il commence sa cavale.
Il m'a appelé « mon fils » et m'a dit quelques mots.
Il m'a averti que moi et lui serions seuls, avec l'infirmière de service.
Il m'a dit que ce n'était pas possible.
Il m'a dit que non.
Il m'a dit que souvent ma mère et M. Pérez allaient se promener le soir jusqu'au village, accompagnés d'une infirmière.
Il m'a dit : « Vous comprenez, c'est un sentiment un peu puéril. Mais lui et votre mère ne se quittaient guère. À l'asile, on les plaisantait, on disait à Pérez : « C'est votre fiancée. » Lui riait. Ça leur faisait plaisir. Et le fait est que la mort de Mme Meursault l'a beaucoup affecté. Je n'ai pas cru devoir lui refuser l'autorisation. Mais sur le conseil du médecin visiteur, je lui ai interdit la veillée d'hier. »
Il m'a dit : « Vous ne voulez pas ? »
Il m'a donné une chaise et lui-même s'est assis un peu en arrière de moi.
Il m'a écouté en fumant et en hochant la tête, puis il m'a demandé de la relire.
Il m'a fait signer un certain nombre de pièces.
Il m'a invité à me rendre au réfectoire pour dîner.
Il m'a offert alors d'apporter une tasse de café au lait.
Il m'a offert un des plus beaux des cadeaux.
Il m'a prévenu qu'il faudrait au moins trois quarts d'heure de marche pour aller à l'église qui est au village même.
Il m'a regardé de ses yeux clairs.
Il m'a renseigné : « Elle était liée avec votre mère. Elle dit que c'était son amie et qu'elle n'a plus personne. »
Il m'a xxx un des plus yyy des zzz.
Il m'attendait pendant une heure.
Il m'avait dit qu'il fallait l'enterrer très vite, parce que dans la plaine il faisait chaud, surtout dans ce pays.
Il m'en reste peu.
Il m'en reste peu.
Il m'en reste une très facile.
Il m'en reste une très facile.
Il m'en reste un.
Il m'en reste un.
Il m'est rien.
Il ne fait plus aucun effort.
Il ne fallait pas le laisser le dire.
Il ne faut pas briser un rêve, même s'il vous semble un peu fou.
Il ne faut pas faire faire statue à Pierre.
Il ne faut pas laisser faire statue à Pierre.
Il ne faut pas le laisser le lui faire.
Il ne faut pas le lui laisser faire.
Il ne faut pas manquer à de telles grâces.
Il ne faut pas prendre les mesures non réglementées.
Il ne faut pas que tu t'en ailles, Ève !
Il ne faut pas que tu t'en ailles, Ève.
Il ne faut pas que tu t-en ailles, Ève !
Il ne faut pas que tu t-en ailles, Ève.
Il ne la voit pas, il ne l'entend pas, mais il la sent avec l'intérieur de son corps, comme un souvenir.
Il ne lui faut pas plus d'une pomme par jour.
Il ne l'a donné ni à Adam, ni à Ève.
Il ne parle pas, il regarde Tayar seulement, et la lumière de son regard lui donne des forces comme un aliment.
Il ne reste pas grand chose de ce qu'il a économisé.
Il ne reste pas grand chose de ce qu'il a économisé.
Il ne reste pas grand chose de ses économies.
Il ne reste plus grand chose de ce qu'il m'a caché.
Il ne reste plus grand chose de ce qu'il m'a caché.
Il ne reste plus que le ciel immense et vide, la lumière, le bruit du vent.
Il ne sait même plus pourquoi il est venu ici, quand il fuyait la grande ville dont il connaît chaque rue.
Il ne sait plus ce qu'il doit faire, où aller.
Il ne sait plus où aller.
Il ne s'est jamais pris pour plus qu'il n'est.
Il ne s'y est pas encore inscrit.
Il nous en a demandé deux fois.
Il nous en a eu parlé avant.
Il nous en a parlé avant.
Il nous faut prendre confiance en l'autre.
Il nous reste encore deux semaines d'ici à la date limite.
Il nous reste encore deux semaines d'ici à la date limite.
Il nous reste encore deux semaines d'ici la date limite.
Il n'a aucune chance.
Il n'a fait aucun effort.
Il n'a guère envie que certains de leurs problèmes ne soient ainsi exposés au public.
Il n'a jamais été malade de sa vie.
Il n'a pas répondu.
Il n'a plus aucune chance, lui.
Il n'a plus aucune chance.
Il n'a plus besoin de rien.
Il n'a plus de force.
Il n'a plus jamais fait ça.
Il n'avait besoin que de trois pièces sur quatre.
Il n'avait besoin que de trois pièces.
Il n'en a eu besoin que de trois.
Il n'en a plus besoin.
Il n'en avait besoin que de trois.
Il n'en avait plus besoin.
Il n'en est rien pour les « 42 », tous résistants communistes FTP.
Il n'en reste pas grand chose.
Il n'est point de secrets que le temps ne révèle.
Il n'est point de secrets que le temps ne révèle.
Il n'est point de secrets que le temps ne révèle.
Il n'est qu'à les regarder s'attendre, s'éprendre l'un de l'autre par le truchement de l'instrument et de la partition pour s'en convaincre.
Il n'y a pas à dire.
Il n'y a pas de bruit, sauf le souffle du vent dans ses oreilles, le crissement du sable qui s'effrite.
Il n'y a pas de bruit.
Il n'y a pas de chants d'oiseaux ici, ni de bruits d'insectes, rien pour saluer le jour qui arrive.
Il n'y a pas de chants d'oiseaux ici, ni de bruits d'insectes.
Il n'y a pas de nuages.
Il n'y a pas de travail ici?
Il n'y a pas d'amour heureux.
Il n'y a pas d'oiseau qui plane, il n'y a pas d'ombre, ni de peur.
Il n'y a pas d'ombres, pas même un bosquet de plantes ni une crevasse.
Il n'y a plus aucun bateau qui passe.
Il n'y a plus que les bruits des choses, à peine, les pierres qui craquent, les arbustes qui sifflent dans le vent.
Il n'y a plus qu'à manger.
Il n'y a plus rien d'autre, plus personne d'autre au monde.
Il n'y a que le bruit des vagues, du vent, et le froid.
Il n'y aurait pas de travail.
Il n'y avait pas d'issue.
Il ôte tout.
Il oublie tout, à présent, la cellule aux murs tachés, l'odeur de moisi et d'urine, les bruits de pas qui résonnent dans les longs corridors, au-dessus de sa tête, et sous son lit, partout, les bruits durs des talons qui ne cessent pas de marcher dans les corridors.
Il ouvre les yeux, il voit la silhouette du garçon immobile, ses cheveux éclairés par le soleil comme de l'herbe.
Il parlait de la pratique consciencieuse, non du culte snob, de l'art.
Il parle avec effort, à cause de la pierre de la faim qui appuie sur son diaphragme.
Il parle avec effort, à cause de la pierre de la faim qui appuie sur son diaphragme.
Il parle en courtes phrases.
Il part à tout jamais.
Il part à tout jamais.
Il pense encore à la route de lumière qu'il a aperçue, tout à l'heure, celle que lui a montrée le jeune garçon qui lui ressemble.
Il pense encore à la route de lumière qu'il a aperçue, tout à l'heure, celle que lui a montrée le jeune garçon qui lui ressemble.
Il pense un bref instant à Mariem, il voit son visage, son corps, ses jambes qui marchent, ses cheveux jaunes qui brillent.
Il peut seulement regarder, de toutes ses forces, s'enivrer de la vue du feu.
Il pleuvait des coups.
Il pleuvait des coups.
Il porte la tunique de laine qui flotte quand il fait du vent.
Il porte les mêmes habits, la longue tunique de laine effilochée autour du cou, qui flotte sur son corps maigre et dessine la forme de ses jambes.
Il porte les mêmes habits, la longue tunique de laine effilochée autour du cou, qui flotte sur son corps maigre et dessine la forme de ses jambes.
Il porte les mêmes habits, la tunique de laine qui flotte quand il fait du vent.
Il pousse comme avant.
Il pousse mieux qu'avant.
Il pousse moins bien qu'avant.
Il pousse si fort que ça peut se casser.
Il quitte la route, et il commence à marcher parmi les broussailles, sur les pierres qui s'éboulent.
Il rampe sur le sol, et l'odeur des excréments des moutons se mêle à l'odeur des herbes, à la senteur de la fumée qui vient des fermes au creux des vallées.
Il rampe sur le sol, et l'odeur des excréments des moutons se mêle à l'odeur des herbes, à la senteur de la fumée qui vient des fermes au creux des vallées.
Il redescend dans la rue pour manger.
Il regarde autour de lui.
Il regarde la plaine de rochers qui s'étend jusqu'aux montagnes âpres.
Il regarde Tayar, sans bouger, les mains dans les poches.
Il relativise aussi bien dans le bien que dans le mal.
Il répétait que ce n'était pas un "vague chiffon" - ainsi nommait-il la prothèse - qui allait l'aider.
Il respire lentement, en faisant de grands efforts.
Il reste là à le regarder, en penchant un peu son corps de côté, et tout à coup Tayar a très peur du silence, il veut retenir l'enfant auprès de lui.
Il retrouve leur place, leur dessin, jusqu'aux plus petites qui palpitent à peine, tout près de la terre.
Il risque d'être venu des gens.
Il sait à qui on peut laisser faire les dégâts, et à qui on ne le peut absolument pas.
Il sait à qui on peut laisser faire les dégâts.
Il sait bien d'autres anecdotes.
Il sait faire faire mal aux gens.
Il sait faire mal aux gens.
Il sait leur faire mal.
Il sait qu'ici, enfin, il peut dormir.
Il savait toujours distinguer l'essentiel du superflu.
Il scrute avec une attention fiévreuse le paysage blanc.
Il se cachait dans les maquis.
Il se hâtait en balançant son feutre à bout de bras.
Il se hâte pour retrouver l'abri de la doline.
Il se hâte, parce qu'il sait que la nuit va venir, bientôt, et qu'il ne supportera plus le froid qui va tomber sur la terre.
Il se laisse faire voler par tout le monde.
Il se les est bien lavées avec le savon.
il se lève, plié en deux, alourdi, et il recommence à marcher sur le plateau calcaire.
Il se l'est fait voler par un visiteur.
Il se penche sur l'eau, en tremblant de fatigue, et il boit longuement, sans même se servir de ses mains.
Il se rêve en surveillant de cantine.
Il se revoyait dans son atelier du chemin de fer, giflant son chef, chassé de Lille, chassé de partout.
Il se roule sur le côté pour mieux la regarder s'en aller.
Il se sépare de lui-même.
Il se souvient peu à peu de la place des étoiles, autrefois, il les reconnaît une à une, sans savoir leur nom, ni rien d'elles.
Il se trouve au milieu de la rivière.
Il se trouve au milieu.
Il sent les souvenirs de la prison qui s'en vont de lui.
Il sert la pierre si fort qu'il gémit de douleur.
Il signe en tant que Président.
Il suffisait que je ferme les yeux pour retrouver mes premières visions d'enfance.
Il suffit de penser que l'acquisition d'un bien ou la fuite d'un mal est possible, pour être incité à la désirer.
Il suffit d'y penser, pour être incité à la désirer.
Il suffit d'y penser.
Il suit la route de lumière que l'enfant a tracée à travers les broussailles, jusqu'au bord de la falaise.
Il suit un chemin ancien qui traverse le plateau calcaire, puis il arrive devant un grand ravin qui est déjà dans l'ombre.
Il s'agit d'une banque, dont le groupe français ne détiendra plus que cinquante pour cent.
Il s'approchait de la bière quand je l'ai arrêté.
Il s'en est encore présenté deux hier.
Il s'en est passé des choses.
Il s'en justifie par la fatigue.
Il s'en méfie.
Il s'en passe.
Il s'en souvient bien.
Il s'en va.
Il s'en va.
Il s'est assis derrière son bureau, il a croisé ces petites jambes.
Il s'est assis près de moi.
Il s'est bien lavé les mains.
Il s'est bien lavées les mains.
Il s'est fait enlever par les deux filles.
Il s'est fait voler sa bourse par un visiteur.
Il s'est fait voler sa bourse.
Il s'est inscrit à TALN hier.
Il s'est interrompu et j'étais gêné parce que je sentais que je n'aurais pas dû dire cela.
Il s'est levé au petit matin.
Il s'est pris pour quelqu'un d'autre.
Il s'est pris pour un ami.
Il s'expliquait jusqu'à l'échappement de la pompe, cette respiration grosse et longue, soufflant sans relâche, qui était comme l'haleine engorgée du monstre.
Il s'inscrit sur la liste de la droite.
Il s'inspire également des dispositions de certaines constitutions nationales.
Il te ressemble.
Il te ressemble.
Il tombe de la neige.
Il touche à tous les points de la vallée, jusqu'à l'horizon.
Il traînait ses jambes raides par des rhumatismes, tandis que le gros cheval jaune repartait tout seul.
Il traîne son corps, marchant parfois à genoux, jusqu'à l'autre bout du plateau, là où il y a toute la lumière du soleil.
Il traîne son corps, marchant parfois à genoux, jusqu'à l'autre bout du plateau, là où il y a toute la lumière du soleil.
Il tremble en essayant de se redresser sur les coudes.
Il utilise des métaux tels le cuivre ou le fer.
Il va droit devant lui.
Il va falloir croiser les doigts.
Il veut me parler.
Il veut se lever, mais le poids de la pierre serrée contre son estomac le fait retomber.
Il vient à nouveau à Nantes.
Il voit les pierres rouges des ruines de Timgad, pareilles à des termitières brisées, et les palmiers des oasis, là où flotte la fine vapeur de l'eau, plus légère qu'une fumée.
Il voulait l'être depuis son enfance.
Il y a aussi cette douleur au fond de sa poitrine, une brûlure précise, qui lance des ondes comme la fièvre.
Il y a aussi cette douleur au fond de sa poitrine, une brûlure précise, qui lance des ondes comme la fièvre.
Il y a comme le signe de la peur, visible par instants, comme une aile d'épervier qui fait cligner le soleil.
Il y a de longs murs de pierres sèches qui vont jusqu'à l'autre bout du plateau, sans raison.
Il y a de quoi mieux décrire une histoire.
Il y a des arbustes tout autour de la bouche, comme une toison hérissée, inclinée par le vent.
Il y a des arbustes tout autour de la bouche, comme une toison hérissée, inclinée par le vent.
Il y a des arbustes tout autour de la bouche, comme une toison hérissée, inclinée par le vent.
Il y a des moucherons plats qui volent près des touffes d'euphorbe.
Il y a des pierres.
Il y a écrit "Paul Sanders".
Il y a eu du remue-ménage derrière les fenêtres, puis tout s'est calmé.
Il y a eu encore l'église et les villageois sur les trottoirs, les géraniums rouges sur les tombes du cimetière, l'évanouissement de Pérez (on eût dit un pantin disloqué), la terre couleur de sang qui roulait sur la bière de maman, la chair blanche des racines qui s'y mêlaient, encore du monde, des voix, le village, l'attente devant un café, l'incessant ronflement du moteur, et ma joie quand l'autobus est entré dans le nid de lumières d'Alger et que j'ai pensé que j'allais me coucher et dormir pendant douze heures.
Il y a là une majorité d'Occidenteaux, la troupe d'un opéra tibétain au complet, d'un côté les hommes, de l'autre les femmes, plus nombreuses.
Il y a le signe de la mort.
Il y a longtemps qu'il n'a pas mangé, et il n'a plus de forces pour gravir les éboulis.
Il y a longtemps qu'il n'a plus parlé.
Il y a plus d'eau que de terre sur notre planète.
Il y a plusieurs jours que je n'ai pas mangé.
Il y a quelqu'un.
Il y a seulement un peu le gémissement du vent qui souffle sur le haut-plateau calcaire, le vent qui va et vient comme une respiration glacée.
Il y a si longtemps de cela que Tayar ne sait plus pourquoi ils sont là, tous les deux, couchés dans la pierraille, immobiles, retenant leur souffle et guettant.
Il y a si longtemps de tout cela, que Tayar avait oublié comment c'était.
Il y a si longtemps que le jour brûle, sans s'éteindre, comme s'il ne devait jamais plus y avoir de nuit.
Il y a si longtemps qu'il n'a pas vu un visage humain.
Il y a si longtemps qu'il n'a ressenti une telle solitude que c'est un vertige.
Il y a tel hôtel à Mons, où, le samedi, les gens des petites villes voisines viennent exprès dîner, pour faire un repas délicat.
Il y a tout de même une façon saine de se distraire.
Il y a un concours tous les deux ans.
Il y a une dernière force en lui, parce qu'il veut voir.
Il y a une dernière force en lui, parce qu'il veut voir.
Il y a une équipe que j'ai participé à fonder.
Il y aura un classement en fin d'année.
Il y avait les Occidenteaux, d'un côté les hommes, de l'autre les femmes.
Il y avait longtemps que j'étais allé à la campagne et je sentais quel plaisir j'aurais pris à me promener s'il n'y avait pas eu maman.
Il y en a à qui il s'adresse souvent.
Il y en a cinq de bons.
Il y en a qui décident et d'autres pas.
Il y en a qui le peuvent et d'autres non.
Il y en a qui viennent.
Il y en a un qui vient.
Il y en avaient qui partaient.
Il y en avait des patriotes !
Il y est allé en Mai.
Il y est allé.
Il y est arrivé à l'heure.
Ils accueillent dans leur rangs les républicains espagnols qui ont fui le franquisme et la guerre civile.
Ils allaient par les chemins au travers des champs labourés.
Ils avaient l'un des meilleurs cuisiniers qui soit.
Ils avaient refermé la porte en douce derrière nous les civils.
Ils avaient tous beaucoup de peine pour moi et Céleste m'a dit : « On n'a qu'une mère ».
Ils avaient une même manière de juger qui avait pour effet - à moins que ce ne fût pour cause - une grande analogie dans la façon de s'exprimer.
Ils avancent lentement au fond de la vallée, sans s'arrêter, sans regarder en l'air.
Ils avancent sur le plateau calcaire, vers la doline déjà prise par l'ombre.
Ils brûlaient dans le ciel mort, pareils à des lunes fumeuses.
Ils brûlaient si haut dans le ciel mort, pareils à des lunes fumeuses.
Ils brûlaient si haut, pareils à des lunes fumeuses.
Ils brûlaient, pareils à des lunes fumeuses.
Ils cherchaient pendant une semaine surtout dans les quartiers nord un des deux évadés en bloquant systématiquement les entrées - sorties.
Ils choisissent les top cinq plus beaux parmi tous ses tableaux.
Ils comprennent les choses, eux.
Ils couraient, pieds nus.
Ils croient que tout leur est permis.
Ils étaient affaissés, mornes et silencieux.
Ils étaient délogés par les CRS.
Ils étaient en tout une dizaine, et ils glissaient en silence dans cette lumière aveuglante.
Ils étaient retrouvés à errer dans les rues.
Ils font causer les vieilles gens tout seuls, à haute voix.
Ils font comme ça : « Vous êtes folle ! qu'ils disent. Allez avec nous. »
Ils jouent avec une sorte de bilboquet.
Ils le regardent mourir lentement, tandis que le froid de la nuit revient peu à peu, dans leur dos, dans leurs cheveux, dans la terre entre leurs doigts.
Ils leur ont persuadé que l'occasion était bonne.
Ils l'ont échappé belle.
Ils l'ont été avant.
Ils l'ont été toujours.
Ils mangeaient vite, chacun tourné de son côté, sans rien dire.
Ils ne pouvaient pas aller plus loin à cause de la mer.
Ils ne se parlent pas, ils se hâtent et le bruit de leurs bottes dérange un instant le silence de la terre.
Ils ne s'en apercevaient pas tant ils étaient absorbés dans leur pensées.
Ils ont des uniformes, et l'un d'eux tient en laisse un grand chien fauve qui flaire les pierres et s'arrête parfois.
Ils ont fait en sorte qu'elle ne se rende compte de rien.
Ils ont marché longtemps à travers les broussailles, car les habits de l'oncle Raïs sont déchirés et couverts de poussière, et Tayar a les pieds ensanglantés.
Ils ont marché pendant des jours, ils fuient un danger que le jeune garçon ne comprend pas.
Ils parlaient un peu, de quoi?
Ils parlent une langue dont le lexique se résume à "peines", "mélancolie", "douleur".
Ils regardaient la bière ou leur canne, ou n'importe quoi, mais ils ne regardaient que cela.
Ils restaient couchés dans la pierraille, immobiles, retenant leur souffle et guettant.
Ils restent ouverts sur le cercle noir du cratère qui coupe le ciel.
Ils riaient.
Ils se croient tout permis.
Ils se laissaient glisser doucement, à plat ventre, sur les galets lisses.
Ils se seraient complu dans la dissection de ces membres roidis.
Ils se sont assis sans qu'aucune chaise grinçât.
Ils se sont concilié les faveurs du public.
Ils se sont crus des jurés chargés de condamner ou d'absoudre.
Ils se sont difficilement persuadés de nos malheurs.
Ils se sont donné une promesse de mariage.
Ils se sont donnés une promesse de mariage.
Ils se sont donné, l'un à l'autre, une promesse de mariage.
Ils se sont douté de la chose.
Ils se sont doutés de la chose.
Ils se sont échappés.
Ils se sont entraidés.
Ils se sont fait fort de passer cette épreuve.
Ils se sont faits déloger par les CRS.
Ils se sont imaginé que la chance durerait.
Ils se sont levés.
Ils se sont nui.
Ils se sont persuadés de notre innocence.
Ils se sont persuadés que l'occasion était bonne.
Ils se sont plu l'un à l'autre.
Ils se sont plu l'un à l'autre.
Ils se sont rendu compte de leur erreur.
Ils se sont suffi à eux-mêmes.
Ils se sont tout ôté à eux-mêmes.
Ils se sont tout ôtés à eux-mêmes.
Ils se taisaient quand nous passions.
Ils sont devenus si lointains, à présent, si petits, à peine des nids de fourmis, des nids de guêpes, que c'est même difficile de les imaginer.
ils sont en retard de deux heures quarante cinq minutes.
Ils sont payés 100 euros de l'heure.
Ils sont si loin qu'on ne voit pas leurs visages.
Ils s'en sont donné à coeur joie.
Ils s'étaient persuadé qu'on n'oserait les contredire.
Ils s'y lovaient, après avoir enlevé les silex et chassé les scorpions, et ils s'enveloppaient dans leurs bras, la tête appuyée contre l'épaule, tandis que la terre se refroidissait.
Ils s'y lovaient, après avoir enlevé les silex et chassé les scorpions, et ils s'enveloppaient dans leurs bras, la tête appuyée contre l'épaule, tandis que la terre se refroidissait.
Immédiatement, il a répondu : « Cinq ans » - comme s'il avait attendu depuis toujours ma demande.
Immobile et silencieux, le gros chat tigré guette la souris.
Immobile et silencieux, le gros chat tigré guette la souris.
Immobile, l'enfant regarde.
Instinctivement, il retrouve les gestes anciens, ceux qu'il avait oubliés en venant dans la ville, un peu penché en avant pour ne pas donner prise au vent, ni au regard, les bras serrés le long du corps, respirant par le nez pour ne pas dessécher la gorge, prêt à se tapir dans un trou du sol.
Ionesco se retire légèrement, semble vouloir se faire oublier, puis tentera de s'enfuir vers la porte.
Jamais elles n'ont lui avec tant d'éclat.
Jamais elles n'ont lui avec tant d'éclat.
Jamais ma soeur ne ferait cela.
Jamais mes hommes ne feraient cela.
Je comprends ce qu'il entend par là.
Je crains qu'elle ne le lui donne.
Je crains qu'elle ne se soit égarée.
Je crains qu'elle ne se soit éloignée.
Je crains qu'il ne les lui donne.
Je crois plutôt qu'ils me saluaient.
Je crois que j'ai somnolé un peu.
Je cuisine deux omelettes de blancs d'oeuf.
Je demande à Paul s'il a une voiture.
Je fais attention à la lumière.
Je fus tellement pris par ces vers que l'on m'avait donnés à apprendre, que je ne voulais plus lire les autres.
Je garde toujours le meilleur de tes cadeaux.
Je la laisse ouverte.
Je la regarde s'en aller.
Je laisse la porte ouverte.
Je le fais tout en sachant que cela ne sert à rien.
Je les ai aperçus il y a des années.
Je les fais fabriquer.
Je les voyais comme je n'ai jamais vu personne et pas un détail de leurs visage ou de leurs habits ne m'échappait.
Je lui ai demandé si on pouvait éteindre une des lampes.
Je lui ai dit combien je trouvais sa maison jolie.
Je lui ai dit : « Comment ? »
Je lui ai fait remarquer qu'en somme il était un pensionnaire.
Je lui ai même dit : « Ce n'est pas de ma faute ».
Je lui dis toujours que c'est meilleur pour la santé.
Je l'accostai pour me présenter, ce qui à l'évidence ne le surprit pas.
Je l'accostai pour me présenter, ce qui à l'évidence ne le surprit pas.
Je l'accostai pour me présenter, ce qui à l'évidence ne le surprit pas.
Je l'ai cherché du regard et j'ai vu qu'il avait quitté la route et pris à travers champs.
Je l'ai connu à ses tout débuts.
Je l'ai fait s'en débarrasser.
Je l'ai remercié.
Je l'ai supplié - en vain - de ne pas s'en défaire.
Je l'ai vu se sauver au dernier moment.
Je l'écoute.
Je mange au soleil.
Je me demandais si tu viendrais.
Je me demandais si tu viendrais.
Je me demande pourquoi tu viendras.
Je me demande si tu viendras.
Je me doutais bien que sa pensée était viciée.
Je me sens si légère.
Je me sentais un peu malade et j'aurais voulu partir.
Je me souviens de ses tout premiers pas dans la musique.
Je me souviens qu'à un moment j'ai ouvert les yeux et j'ai vu que les vieillards dormaient tassés sur eux-mêmes , à l'exception d'un seul qui, le menton sur le dos de ses mains agrippées à la canne, me regardait fixement comme s'il n'attendait que mon réveil.
Je me suis aperçu qu'il y avait déjà longtemps que la campagne bourdonnait du chant des insectes et de crépitements d'herbe.
Je me suis appuyée sur la table.
Je me suis crue à l'abri de l'outrage.
Je me suis levé sans rien dire et il m'a précédé vers la porte.
Je me suis pris des gâteaux.
Je me suis pris des gâteaux.
Je me suis retourné et j'ai vu le vieux Pérez à une cinquantaine de mètres derrière nous.
Je me suis retourné une fois de plus : Pérez m'a paru très loin, perdu dans une nuée de chaleur, puis je ne l'ai plus aperçu.
Je me suis retrouvé de par mes thématiques au coeur des aspects informatiques théoriques des systèmes complexes.
Je me suis retrouvé là de par mes thématiques.
Je me suis réveillé parce que j'avais de plus en plus mal aux reins.
Je m'en veux de l'avoir aidé.
Je m'en veux.
Je m'étais un peu tourné de son côté, et je le regardais lorsque le directeur m'a parlé de lui.
Je m'étonnais de voir mon père parler nuit après nuit.
Je ne laisse jamais le faire à personne.
Je ne le laisse jamais faire ça à personne !
Je ne l'ai pas vu depuis hier.
Je ne me le suis pas demandé.
Je ne me serais sans doute jamais levée, pas même pour une tranche de pain.
Je ne me serais sans doute jamais levée.
Je ne sais pas comment vous allez vous y prendre.
Je ne sais pas pourquoi nous avons attendu assez longtemps avant de nous mettre en marche.
Je ne sais pas quel geste j'ai fait, mais il est resté, debout derrière moi.
Je ne sais rien de toi.
Je ne sais rien de toi.
Je ne sais rien d'elle.
Je ne suis pas de mon temps.
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec vous.
Je ne veux plus aucune pomme.
Je ne vois personne.
Je ne vois plus aucune personne.
Je ne vois plus la personne.
Je ne vois plus personne.
Je ne vois plus personne.
Je ne vous attaque en rien.
Je ne vous attaque en rien.
Je ne voyais pas ce qu'elle faisait.
Je n'ai pas bien compris ce qu'il disait.
Je n'ai pas de temps à perdre.
Je n'ai pas dormi de la nuit.
Je n'ai pas entendu le nom de cette dame et j'ai compris seulement qu'elle était infirmière déléguée.
Je n'ai pas les bons types pour.
Je n'ai plus beaucoup fait attention à lui.
Je n'ai que dalle.
Je n'ai qu'à partir.
Je n'ai rien à faire.
Je n'ai rien de tout ça.
Je n'aimais pas faire de remarque.
Je n'aimais pas faire de remarque.
Je n'arrivais pas à savoir si nous devions venir.
Je n'arrivais pas à savoir si nous étions concernés.
Je n'avais encore jamais remarqué à quel point les vieilles femmes pouvaient avoir du ventre.
Je n'avais plus sommeil, mais j'étais fatigué et les reins me faisaient mal.
Je n'en ai pas le temps.
Je n'en sais rien.
Je n'en veux plus aucune.
Je n'en veux plus aucune.
Je n'en veux plus aucun.
Je n'obéis à personne.
Je n'obéis à personne.
Je n'obéis à personne.
Je parle de toi.
Je parle français.
Je pense à ceux et à celles qui sont dans la rue.
Je pense à ceux et à celles qui, par ce temps de froid glacial, sont dans la rue.
Je pense qu'il viendra.
Je pense qu'il viendra.
Je pourrais te donner les remarques dans ce message mais je préférerais que nous en discutions.
Je pourrais te donner les remarques dans ce message.
Je prendrai l'autobus à deux heures et j'arriverai dans l'après-midi.
Je regardais la campagne autour de moi.
Je regardais les jeunes gens - grands, petits, vifs, timides - en cercle autour de l'homme.
Je relativise dans le bien aussi bien que dans le mal.
Je relativise dans le bien autant que dans le mal.
Je relativise dans le bien comme dans le mal.
Je relativise dans le bien plus que dans le mal.
Je rends cette information publique.
Je rentre avec lui.
Je respirais l'odeur de la terre fraîche et je n'avais plus sommeil.
Je reste un peu, juste le temps de manger.
Je sais à qui la faute.
Je sais ce dont il est question.
Je sais ce que tu penses.
Je sais ce que tu xxx dans cette yyy.
Je sais ce qu'il n'a pas fait soi-même, et ce qu'a fait son voisin.
Je sais combien il y a de livres.
Je sais de quoi il est question.
Je sais de quoi il est question.
Je sais par qui elle se l'est faite voler.
Je sais par qui elle s'est fait avoir.
Je sais par qui il en a été privé.
Je sais que demain plus rien ne sera comme avant.
Je sais que demain plus rien ne sera comme avant.
Je sais que les travaux de la table ronde ivoirienne suivent le calendrier prévu et pourraient se terminer avant la date butoir du 24 janvier.
Je sais qui lui a xxx ça.
Je sais quoi faire.
Je sais sur quoi braquer mon fusil.
Je savais sur quoi m'être appuyé.
Je savais sur quoi surtout ne pas m'être appuyé.
Je souhaite que demain plus rien ne soit comme avant.
Je suis à toi.
Je suis à votre disposition dans mon bureau.
Je suis allé dans son bureau.
Je suis désolé de l'être mais c'est comme ça.
Je suis en train de préparer ma mission aux EU pour une conférence du 11 au 14 avril.
Je suis entré.
Je suis heureux de te voir.
Je suis sorti beaucoup trop tard du lit.
Je suis venu en vélo ce matin.
Je trouvais ce qu'il racontait juste et intéressant.
Je t'ai donné tout ce que je pouvais, ajouta ma mère, la voix étranglée.
Je vais me faire tuer par ma mère.
Je vais m'en méfier.
Je vais publier cet article quitte à perdre mon emploi.
Je veux lui dire que c'est ma faute.
Je veux réserver à peu près dix des cinquante meilleurs fauteuils d'orchestre.
Je vois sur qui le braquer.
Je vous jure, les vins rouges bordelais sont excellents.
Je vous laisse, monsieur Meursault.
Je vous trouve plus pessimiste qu'il y a quelques mois.
Jean avait de la pierre, il en a fabriqué deux maisons.
Jean avait pas mal de pierre, il en a fabriqué deux maisons.
Jean avait pas mal de pierre, il en a fabriqué deux maisons.
Jean, Paul et Sophie ont vu un homme.
Jean, Paul et Sophie ont vu un homme.
Je, soussignée Adèle Leduc, autorise Pierre Leduc à retirer le colis qui m'est adressé.
Justement la guerre approchait de nous deux sans qu'on s'en soit rendu compte et je n'avais pas la tête très solide.
J'ai à faire.
J'ai accueilli mes parents hier soir.
J'ai accueilli mes parents hier soir.
J'ai bientôt fini.
J'ai bu.
J'ai choisi le français et j'en ai écrit une grammaire première ébauche en trois mois.
J'ai combattu toute la nuit contre un rival féroce.
J'ai compris que c'était M. Pérez.
J'ai compris que Pérez qui connaissait le pays coupait au plus court pour nous rattraper.
J'ai constaté aussi que devant moi la route tournait.
J'ai couru pour ne pas manquer le départ.
J'ai cru qu'il me reprochait quelque chose et j'ai commencé à lui expliquer.
J'ai demandé à Paul s'il avait une voiture.
J'ai demandé deux jours de congé à mon patron et il ne pouvait pas me les refuser avec une excuse pareille.
J'ai dit au concierge, sans me retourner vers lui : « Il y a longtemps que vous êtes là ? »
J'ai dit non.
J'ai dit : « Je ne sais pas. »
J'ai dit : « Oui, monsieur le Directeur. »
J'ai dit : « Oui. »
J'ai dit « oui » pour n'avoir plus à parler.
J'ai dit « oui ».
J'ai dit « oui ».
J'ai donc dit à tous ces nouveaux penseurs d'aller voir ailleurs, s'il n'y avait pas d'autres esprits à écarter de la lumière.
J'ai dormi pendant presque tout le trajet.
J'ai dû lui trouver une chambre.
J'ai encore dit : « Oui. »
J'ai encore gardé quelques images de cette journée : par exemple, le visage de Pérez quand, pour la dernière fois, il nous a rejoints près du village.
J'ai encore pris du café au lait qui était très bon.
J'ai encore réfléchi un peu à ces choses, mais j'ai été distrait par une cloche qui sonnait à l'intérieur des bâtiments.
J'ai entendu en même temps le directeur me dire que la voiture attendait sur la route et le prêtre commencer ses prières.
J'ai envie de lui dire que c'est ma faute.
J'ai envie de lui dire que c'est ma faute.
J'ai envie de lui dire que c'est ma faute.
J'ai eu alors envie de fumer.
J'ai eu envie de lui dire que ce n'était pas ma faute.
J'ai eu envie de lui dire que ce n'était pas ma faute.
J'ai eu un moment l'impression ridicule qu'ils étaient là pour me juger.
J'ai fait le chemin à pied.
J'ai fait un peu plus de 50 kilomètres.
J'ai fait un peu plus de 50 kilomètres.
J'ai fini dans dix minutes.
J'ai mangé au restaurant, chez Céleste, comme d'habitude.
J'ai mangé tôt.
J'ai offert une cigarette au concierge et nous avons fumé.
J'ai pensé alors que je n'aurais pas dû lui dire cela.
J'ai pensé aux collègues du bureau.
J'ai peur de la voir s'enfoncer désespérément dans la déprime.
J'ai peur de voir Marie désespérément s'enfoncer dans la déprime.
J'ai peur de voir Marie le lui dire en face.
J'ai pris l'autobus à deux heures.
J'ai pris sur moi de faire le nécessaire.
J'ai pris un rendez-vous avec lui pour le lundi 7 Février à 14 heures et quart.
J'ai pris un rendez-vous pour le lundi 7 Février à 14 heures et quart.
J'ai recours à cette procédure.
J'ai reçu télégramme de l'asile : « Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués. »
J'ai réfléchi, cela n'avait aucune importance.
J'ai refusé de croire que ceux qui étaient partis dans les trains ne reviendraient pas.
J'ai regardé aussi le directeur.
J'ai regardé les horaires et ça ne me gêne pas de voyager tard le soir.
J'ai répondu : « Comme ça », parce que je ne savais pas le chiffre exact.
J'ai répondu : « Non. »
J'ai tenu ferme bien entendu.
J'ai tout lu, tout vu, tout bu.
J'ai tout lu.
J'ai tout oublié.
J'ai un doute quant à la date butoir pour rendre le projet.
J'ai voulu voir maman tout de suite.
J'ai vu Adam se sauver au dernier moment.
J'ai vu d'un coup que les vis de la bière étaient enfoncées et qu'il y avait quatre hommes noirs dans la pièce.
J'ai vu qu'il était habillé de noir avec un pantalon rayé.
J'ai 100 euros de moins que lui.
J'aime mieux ne pas y penser.
J'aimerais que tu viennes.
J'allais m'en aller.
J'arrive, le temps de me changer.
J'aurais voulu ne plus l'entendre.
J'avais aussi bonne mémoire qu'elle.
J'avais chaud sous mes vêtements sombres.
J'avais déjà été frappé par la façon qu'il avait de dire : « ils », « les autres », et plus rarement « les vieux », en parlant des pensionnaires dont certaines n'étaient pas plus âgés que lui.
J'avais déjà été frappé par la façon qu'il avait de dire : « ils ».
J'avais même l'impression que cette morte, couchée au milieu d'eux, ne signifiait rien à leurs yeux.
J'en ai été conscient.
J'en ai fait l'inventaire.
J'en ai lu les trois derniers.
J'en ai lu les trois derniers.
J'en ai plusieurs variétés.
J'en ai pour une minute.
J'en ai vu beaucoup comme ça.
J'en cuisine deux omelettes.
J'en sais rien.
J'en suis vraiment désolé.
J'en suis vraiment désolé.
J'en viens à me dire que c'est l'ordre des pronoms qui est incorrect.
J'envisage de prendre un avion à Roissy le 8 au matin, ce qui voudrait dire que je vais de Nantes à Paris le 7 au soir.
J'espère que d'ici la fin du mois nous aurons trouvé une solution.
J'espère que je vais bien manger ce soir.
J'étais au pas.
J'étais fatigué.
J'étais intervenu pour dire : « Mais non. Mais non. »
J'étais intervenu pour dire : « Mais non. Mais non. »
J'étais surpris de la rapidité avec laquelle le soleil montait dans le ciel.
J'étais très étonné parce que je ne la connaissais pas.
J'étais un peu étourdi parce qu'il a fallu que je monte chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard.
J'étais un peu perdu entre le ciel bleu et blanc et la monotonie de ces couleurs, noir gluant du goudron ouvert, noir terne des habits, noir laqué de la voiture.
J'y ai recours.
J'y fais attention.
J'y suis passé hier.
J'y suis passée hier.
Kadhafi utilisait les Noirs venus d'Afrique noirs payés une bouchée de pain.
La bataille s'est livrée ici.
La brûlure au centre de sa poitrine rayonne tel un soleil.
La brûlure au centre de sa poitrine rayonne tel un soleil.
La commission ne la lui a pas refusée.
La commission ne la lui a pas refusée.
La corbeille de feu, maintenant, éclairait en plein sa grosse tête, aux cheveux blancs et rares, à la face plate, d'une pâleur livide, maculée de taches bleuâtres.
La fable parlait du cheval s'étant voulu venger du cerf.
La faim cesse de le ronger, et sa poitrine respire librement, se gonfle d'un très long soupir.
La faim, la soif, la fatigue l'ont lavé de tout cela.
La faim, la soif, la fatigue l'ont lavé de tout cela.
La fatigue de la longue marche pèse sur lui, le fait tituber.
La femme pleurait toujours.
La fièvre bat dans ses tempes, ou bien est-ce le soleil de midi?
La fille avait un tout petit faible pour lui.
La foule, s'encombrant au même endroit sans en vouloir bouger, menaçait quelquefois de rompre la devanture de la pharmacie.
La fourmi court vers son visage, puis elle l'aperçoit, hésite, repart en sens inverse.
La France s'est assimilé les conquêtes artistiques de la Renaissance italienne.
La France s'est assimilée les conquêtes artistiques de la Renaissance italienne.
La garde est entrée à ce moment.
La garde était aussi au fond, le dos tourné.
La garde s'est levée et s'est dirigée vers la sortie.
La grammaire a subi une mise à jour très importante.
La grammaire (code illustré d'exemples) indique les règles du langage.
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La grande vallée ouverte conduit jusqu'à l'autre bout de la terre, plus loin que Timgad, plus loin que Lambessa.
La grotte s'élargissait de jour en jour.
La grotte s'élargissait de jour en jour.
La hauteur du mur est inférieur à deux mètres.
La joue gauche appuyée contre son épaule, les yeux fermés, il s'endort, pendant que la lumière rouge du jour nouveau apparaît devant lui, éclaire magnifiquement le haut-plateau solitaire.
La laisser le lui faire était ma première erreur.
La langue latine s'est parlée en Gaule.
La littérature s'est surtout voulu cela.
La livraison des commandes est assurée directement par le service de livraison du producteur.
La Loire est le plus long fleuve de France, avec une longueur de 1013 kilomètres.
La lumière décroît quand Tayar quitte le bord du ravin pour retourner en arrière.
La lumière du soleil de midi éclaire chaque pierre, chaque arbre, sans laisser d'ombre.
La lumière du soleil découpe sa silhouette contre le ciel, et Tayar ne peut pas voir son visage.
La lumière du soleil éblouissant frappe son visage et son corps, mais cela ne le réveille pas.
La lumière est dure comme la pierre, comme le ciel.
La lumière fait mal au fond de ses yeux, elle brise.
La lumière heurte le front de Tayar, freine sa progression.
La lumière jaillit.
La lumière ouvre sa route jusqu'à l'horizon, et c'est sur elle que Tayar avance, glisse.
La magnanimité méprise tout pour avoir tout.
La matière est chaude, à environ 3000 ° C et elle n'est faite que de particules microscopiques, des électrons et des protons qui, des millions d'années plus tard, s'assembleront en atomes lourds et molécules ...
La musique s'est arrêtée.
La nature fait bien les choses.
La nuit a passé.
La nuit noire est arrivée, pleine d'étoiles.
La nuit qui vient est très noire d'abord, engloutissant le plateau calcaire dans son froid.
La pauvreté vaut mieux qu'une telle richesse.
La peau de chèvre est sèche, plissée comme une mamelle morte.
La petite brise la glace.
La petite brise la glace.
La peur est partout ici, sur la montagne.
La pièce était pleine d'une belle lumière de fin d'après-midi.
La pierre est tellement serrée contre son diaphragme que Tayar peine à respirer.
La place, dès le matin, était encombrée par une file de charrettes qui, toutes à cul et les brancards en l'air, s'étendaient le long des maisons depuis l'église jusqu'à l'auberge.
La plage était comme éclairée par des projecteurs.
La pluie coulait sur cette maigre poitrine que Mathilde avait vu ruisseler d'eau.
La pluie est tombée, et puis encore de moins en moins et puis plus du tout d'encouragements, plus un seul, sur la route.
La pointe de la pierre entre dans sa chair.
La porte de branchages du corral est jetée à terre; il n'y a plus de moutons ni de chèvres.
La première lumière l'éveille de son rêve, et il voit, indistinctement d'abord, puis de plus en plus clairement, la silhouette de l'enfant qui lui ressemble.
La première surprise passée, il réagit avec vigueur.
La première : les résultats sont légèrement différents de ceux obtenus par le satellite précédent de la NASA, WMAP (Wilkinson Microwave Anisotropy Probe).
La principale menace qui pèse sur nous, ce ne sont pas les canons , ce sont les haricots.
La prochaine étape pourrait consister à étudier l'apprentissage des CDG qui mélangent ces deux constructions.
La qualité de l'image de ce bébé-Univers prise par le satellite Planck est dix fois plus grande que le dernier cliché disponible pris par la NASA en 2003.
La race, ce que t'appelles comme ça, c'est seulement ce grand ramassis de miteux dans mon genre, chassieux, puceux, transis, qui ont échoué ici poursuivis par la faim, la peste, les tumeurs et le froid, venus vaincus des quatre coins du monde.
La raison dont il a parlé n'est plus valable.
La raison pour laquelle tu viens m'est très claire.
La raison qui a été donnée n'est plus valable.
La raison qu'ils nous ont donnée n'est pas valable.
La route qui serpente au fond de la vallée l'a conduit jusqu'aux contreforts de la haute montagne.
La salle du tribunal est parée d'oriflammes marquées de croix gammées.
La scène était éclairée par une seule chandelle.
La sentence tombe le 28 janvier 1943 : la peine capitale est prononcée à l'encontre de 37 condamnés.
La silhouette reste un instant sur le tranchant du cratère, comme si l'enfant hésitait.
La société a fait sa contre-proposition.
La soif est très grande, elle est pareille à un frisson qui court sur la peau.
La soif et la faim sont des douleurs lancinantes.
La source affiche 0,9 % de part d'audience en janvier.
La source affiche 0,9 % de part d'audience en janvier.
La source affiche 0,9 % de part d'audience en janvier.
La sueur coulait sur mes joues.
La table sur laquelle j'écris est cassée.
La télé apprend des gros mots aux enfants.
La température est supérieure à 300 ° C.
La terre entre les cailloux est grise, blanche, couleur de salpêtre.
La terre entre les cailloux est grise, blanche, couleur de salpêtre.
La tête appuyée sur la terre, les cheveux balayés par le vent, il est immobile, comme s'il dormait.
La véritable éloquence consiste à dire tout ce qu'il faut, et à ne dire que ce qu'il faut.
La vérité n'est pas toujours bonne à dire.
La voiture, peu à peu, prenait de la vitesse et le vieillard perdait du terrain.
Laisse tomber.
Laisser le le faire à ma soeur était ma première erreur.
Laisser le le lui faire était ma première erreur.
Laisser Pierre faire mal à ma soeur était ma première erreur.
Laisse-moi faire.
Laquelle des deux vous voulez?
Là-bas il a rencontré Bill Clinton, le Président des EU.
Là-bas il a rencontré Clinton (le Président des EU de l'époque).
Là-bas il a rencontré le Président Bill Clinton.
Là-bas il a rencontré le Président Clinton.
Là-bas, à Montsou, la sucrerie Fauvelle marchait encore, mais la sucrerie Hoton venait de réduire son personnel, il n'y avait guère que la minoterie Dutilleul et la corderie Bleuze pour les câbles de mine, qui tinssent le coup.
Là-bas, en bas, dans la brume grise de la ville, il y a la peur, la haine, le dégoût.
Là-haut, il y a encore davantage de lumière.
Le bébé Univers n'a pas fini de crier.
Le bénéfice d'avoir tout perdu, c'est de n'avoir plus rien à perdre.
Le besoin de reconnaissance est un besoin fondamental de tous les êtres humains.
Le bon goût vient plus du jugement que de l'esprit.
Le ciel alors devenait intense, presque noir.
Le ciel contient tout, recouvre tout, et sous lui, le temps s'abolit en un vertige multiple.
Le ciel est bleu.
Le ciel est d'un bleu très pâle, presque blanc.
Le ciel était déjà plein de soleil.
Le ciel vide pèse lourd, la lumière aveugle et assoiffe.
Le clan des adultes se rassemble et désigne les enfants en âge de devenir guerriers.
Le CNT est une création de la France.
Le collectif Procès des 42, qui réunit notamment le comité départemental du Souvenir et la Fédération départementale des déportés, voit ainsi son action aboutir.
Le combattant brave la garde.
Le combattant brave la garde.
Le concierge a tourné le commutateur et j'ai été aveuglé par l'éclaboussement soudain de la lumière.
Le concierge a traversé la cour et m'a dit que le directeur me demandait.
Le concierge est venu alors de mon côté.
Le concierge m'a conduit chez lui et j'ai pu faire un peu de toilette.
Le concierge s'est penché vers elle, lui a parlé, mais elle a secoué la tête, a bredouillé quelque chose, et a continué de pleurer avec la même régularité.
le coron est tout près.
Le curé marchait en avant, puis la voiture.
Le dernier cas possible est si le mot couvrant n'a plus aucun subordonné sur la droite.
Le dernier cas possible est si le mot couvrant se trouve sur la droite.
Le directeur m'a encore parlé.
Le directeur m'a quitté : «Je vous laisse, monsieur Meursault. Je suis à votre disposition dans mon bureau. »
Le directeur s'est levé et a regardé par la fenêtre de son bureau.
Le feu est vorace, il dévore tout très vite, il crache sa fumée qui vacille dans la lumière.
Le fond de la doline est tapissé d'herbe douce qui garde la chaleur du jour comme une toison de bête.
Le fond de sa pensée, si j'ai bien compris, c'est que j'avais prémédité mon crime.
Le fond de sa pensée, si j'ai bien compris, c'est que j'avais prémédité mon crime.
Le fourre-tout sert à tout !
Le froid de la nuit l'a rendu lourd comme la pierre.
Le froid de la pierre le fait tressaillir, mais il serre très fort la pierre entre ses bras, et il appuie.
Le garçon enlève son anorak et il le pose sur le buste de Tayar, en passant les manches de chaque côté de son cou.
Le garçon est penché sur lui, ses yeux brillent dans son visage sombre, avec une lueur mystérieuse qui semble venir de l'intérieur.
Le garçon le regarde un bon moment, sans bouger, puis il fait le tour du cratère, sans se presser, les mains dans les poches.
Le garçon ne bouge pas, ne répond rien.
Le garçon ne dit plus rien.
Le garçon ne répond pas.
Le garçon regarde la pierre que Tayar tient serrée contre son ventre.
Le gros chat tigré guette la souris, immobile et silencieuse.
Le gros chat tigré guette la souris, immobile et silencieux.
Le gros chat tigré guette la souris, immobile et silencieux.
Le groupe gère l'exploitation ferroviaire ainsi que le transport de marchandises par train.
Le jeune à qui cela appartenait ne voulait rien confirmer.
Le jeune garçon est debout, en équilibre sur le bord du cratère, et la lumière du soleil fait paraître son visage plus sombre, presque noir.
Le jour comme la nuit, épier, scruter, oublier la peur qui serre le ventre, qui transfigure les ombres, rend les plantes griffues et le vent rugissant.
Le jour glissait sur la verrière.
Le jus coule dans la gorge de Tayar, et peu à peu les forces reviennent dans son corps.
Le jus de l'orange emplit sa bouche, réveille la vie dans son visage, dans ses entrailles.
Le laisser faire mal à ma soeur était ma première erreur.
Le laisser faire mal à ma soeur était ma première erreur.
Le laisser le faire à ma soeur était ma première erreur.
Le laisser le lui faire était ma première erreur.
Le lait aigre et doux lui donne tellement de forces qu'il se met à trembler.
Le leader de leur groupe avait été formel : pour faire une bonne visite, il fallait être matinal.
Le lendemain Gilles a donné presque deux fois plus de bonnes réponses.
Le lendemain Gilles a donné presque deux fois plus de bonnes réponses.
Le manoeuvre du culbuteur, gonflant le dos, n'avait pas même levé les yeux sur Étienne, et celui-ci allait ramasser son petit paquet tombé à terre, lorsqu'un accès de toux annonça le retour du charretier.
Le manoeuvre employé au culbuteur, un gaillard roux et efflanqué, ne se pressait guère, pesait sur le levier d'une main endormie.
Le manoeuvre, après avoir vidé les berlines, s'était assis à terre, heureux de l'accident ; et il gardait sa sauvagerie muette, il avait simplement levé de gros yeux éteints sur le charretier, comme gêné par tant de paroles.
Le mérite des hommes a sa saison, aussi bien que les fruits.
Le mérite des hommes a sa saison, aussi bien que les fruits.
Le modèle dont tu parles est trop cher.
Le palais des femmes se dressait au fond des cyprès - alignés comme deux murailles de bronze.
Le patient ne mangeait rien, juste une cuillerée de soupe par jour.
Le patient n'a rien mangé, juste une cuillerée de soupe.
Le patient n'a rien mangé, ne serait-ce qu'une cuillerée de soupe.
Le paysage de pierre autour de la maison s'est écarté à l'infini, le vent froid du désert passe sur le visage de l'homme immobile.
Le peloton est arrivé dix minutes plus tard.
Le petit s'en dort.
Le petit s'endort.
Le petit vieux, qui s'était recouvert, a de nouveau ôté son chapeau.
Le Phare titre après le verdict : « La civilisation occidentale épure... »
Le Phare, dans son édition des samedi 16 et dimanche 17 janvier 1943, titre : « Le procès de 42 terroristes arrêtés dans la région nantaise a commencé hier matin au palais de justice. »
Le philosophe chinois Mo Tseu (479-381 avant l'ère chrétienne) a écrit que pour vérifier la véracité d'une information, il faut d'abord identifier la source et se demander quelles sont les raisons avouées et inavouées de celui qui vous communique une information.
Le plateau calcaire est aride et sec, balayé par le vent et par la lumière.
Le plateau calcaire est solitaire sous le ciel bleu, le vent glacé siffle dans les buissons d'épines.
Le plus tôt sera le mieux.
Le plus tôt sera le mieux.
Le Président Bill Clinton l'a rencontré hier.
Le président leur demande alors s'ils ont quelque chose à déclarer.
Le Président, annonce-t-il, est déjà arrivé.
Le prêtre, ses suivants, le directeur et moi-même sommes sortis.
Le procès des « 42 » est mis en scène par les nazis comme un grand spectacle de propagande.
Le process dure à peine deux semaines.
Le public ne doit pas s'amuser au théâtre !
Le samedi, il était arrivé à Marchiennes, où l'on disait qu'il y avait du travail, aux Forges.
Le sergent, le capitaine et surtout le chef de division y étaient bien impliqués.
Le sergent, le capitaine et surtout le chef de division y étaient bien impliqués.
Le service de livraison est fermé.
Le seul îlot de silence était à côté de moi dans ce petit jeune homme et cette femme qui se regardaient.
Le silence est grand sur la vallée.
Le silence est grand.
Le silence est sans fin.
Le silence est si grand, si lourd, que Tayar n'entend pas le garçon qui vient vers lui.
Le silence revient sur le plateau calcaire.
Le silence, toujours, comme une menace.
Le soir était tombé brusquement.
Le soir, dans ce pays, devait être comme une trêve mélancolique.
Le soir, en s'en retournant, Charles reprit une à une les phrases qu'elle avait dites, tâchant de se les rappeler, d'en compléter le sens, afin de se faire la portion d'existence qu'elle avait vécu dans le temps qu'il ne la connaissait pas encore.
Le soir, en s'en retournant, Charles reprit une à une les phrases qu'elle avait dites, tâchant de se les rappeler, d'en compléter le sens, afin de se faire la portion d'existence qu'elle avait vécue dans le temps où il ne la connaissait pas encore.
Le soir, en s'en retournant, Charles reprit une à une les phrases qu'elle avait dites.
Le sol de terre battue est propre, avec les traces d'un feu ancien, dont il ne reste que quelques cendres.
Le soleil avait fait éclater le goudron.
Le soleil brûlait fort, raccourcissait les ombres.
Le soleil brûle et éblouit, mais Tayar voit enfin ce qu'il cherchait, l'immense vallée qui va jusqu'à l'autre bout du monde, là où chaque caillou, chaque plante, chaque buisson d'épines brille d'un éclat qui n'existe nulle part ailleurs, car la lumière vient d'eux et non du ciel.
Le soleil brûle et éblouit, mais Tayar voit enfin ce qu'il cherchait, l'immense vallée qui va jusqu'à l'autre bout du monde, là où chaque caillou, chaque plante, chaque buisson d'épines brille d'un éclat qui n'existe nulle part ailleurs, car la lumière vient d'eux et non du ciel.
Le soleil brûle sa nuque et son dos, mais le vent est froid, il agite les brins d'herbe et les feuilles des arbustes.
Le soleil brûle sa nuque, ses épaules, à travers ses vêtements déchirés.
Le soleil brûle son visage et ses mains.
Le soleil est brûlant, impitoyable.
Le soleil est descendu sur la ligne des montagnes, à l'horizon.
Le soleil est descendu vers l'horizon, maintenant, et Tayar recommence à marcher.
Le soleil était monté un peu plus dans le ciel : il commençait à chauffer mes pieds.
Le TGV de Lyon est en retard d'une demi-heure.
Le théâtre c'est pourtant quand on rigole.
Le théâtre, Monsieur, est une leçon sur un événement instructif, un événement plein d'enseignement.
Le théâtre, Monsieur, est une leçon sur un événement instructif, un événement plein d'enseignement.
Le train arrive à la gare à midi.
Le train est entré en gare sur la voie dix.
Le train y arrive à midi.
Le vent fait trembloter les broussailles, agite les feuilles calcinées des arbustes.
Le vent froid souffle avec plus de force, comme s'il venait de la nuit proche.
Le vent froid souffle, comme ici, et c'est à cause de lui que les bêtes se sont rassemblées contre l'écorce du vieil arbre foudroyé.
Le vent passe au-dessus du cratère, de grandes rafales qui viennent du fond de l'espace.
Le vent souffle toujours dans la même direction, en sifflant dans les branches de l'arbre sec.
Le vent, le froid de la nuit, le silence et la faim lui ont enlevé tout désir de vengeance.
Le Verbe était Dieu.
Le Verbe était tourné vers Dieu.
Le verdict décrit finalement la recette de la soupe cosmique.
Le verdict est tombé : la mère était reconnue coupable d'homicides involontaires.
Le vieux avait rougi et s'était excusé.
Le vieux cracha noir, puis répondit dans le vent : « Oh! ce ne sont pas les fabriques qui manquent. Fallait voir ça, il y a trois ou quatre ans ! Tout ronflait, on ne pouvait trouver des hommes, jamais on n'avait tant gagné... Et voilà qu'on se remet à se serrer le ventre. Une vraie pitié dans le pays, on renvoie le monde, les ateliers ferment les uns après les autres... Ce n'est peut-être pas la faute de l'empereur ; mais pourquoi va-t-il se battre en Amérique? Sans compter que les bêtes meurent du choléra, comme les gens. »
Le vieux eut un ricanement d'aise, et montrant le Voreux : « Oui, oui… On m'a retiré trois fois de là-dedans en morceaux, une fois avec tout le poil roussi, une autre avec de la terre jusque dans le gésier, la troisième avec le ventre gonflé d'eau comme une grenouille… Alors, quand ils ont vu que je ne voulais pas crever, ils m'ont appelé Bonnemort, pour rire. »
Le vieux fêtard, il ne rate aucune occasion.
Le vieux, cette fois, ne put répondre.
Le visage des garçons était presque noir, leurs yeux disparaissaient dans l'ombre des orbites.
Le visage des garçons était presque noir, leurs yeux disparaissaient dans l'ombre des orbites.
Le visage des garçons était presque noir.
Le Voreux, à présent, sortait du rêve.
Le xxx il remporte deux victoires de suite sur la dernière yyy dont on ne sait rien.
Le 15 janvier 1943 s'ouvre le procès dit des « 42 ».
Lentement, Bonnemort s'essuyait la bouche d'un revers de main.
Lentement, heure par heure, le soleil redescend vers l'horizon.
Lentement, l'enfant se tourne, il tend la main vers l'outre vide.
Lentement, on le vit sortir de l'ombre, suivi du cheval jaune, qui montait six nouvelles berlines pleines.
Lentement, pour ménager ses forces, Tayar monte vers le haut du plateau calcaire, vers l'espèce de falaise verticale qui fait comme une grande marche d'escalier.
Lentement, sans lâcher la pierre de la faim, Tayar quitte la borie, et il marche jusqu'au centre de la doline.
Lentement, Tayar se hisse au bord du cratère, là où il peut voir la route de lumière.
Les arbustes sont rares.
Les autres avaient l'air de ne pas l'entendre.
Les banques françaises attaquées plus que jamais : toute l'économie stagne.
Les banques françaises attaquées plus que jamais, toute l'économie stagne.
Les banques françaises attaquées plus que jamais, toute l'économie stagne.
Les bêtes sont en rond autour d'un arbre sec, comme si c'était lui qui était leur véritable maître et non les enfants en haillons qui les ont poursuivies à coups de pierres toute la journée.
Les bords de la doline sont encore dans la lumière douce du crépuscule.
Les broussailles font un cercle autour d'une dépression qu'on distingue à peine.
Les buissons épineux griffent ses jambes, déchirent la toile du pantalon gris.
Les cailloux déchirent ses avant-bras et ses genoux, meurtrissent sa poitrine et son visage, mais il n'y prend pas garde.
Les cailloux écorchent ses mains, déchirent ses vêtements, mais il ne sent rien.
Les cartes ont été envoyées, si savoureux que fût le message, aux destinataires.
Les cerises sont sucrées, comme plein d'autres fruits.
Les cerises sont, comme plein d'autres fruits, assez sucrées.
Les cerises, comme le sont plein d'autres fruits, sont sucrées.
Les cerises, comme plein d'autres fruits, sont sucrées.
Les chercheurs estiment aussi la vitesse avec laquelle les galaxies s'éloignent les unes des autres à quelque 66 kilomètres par seconde.
Les chèvres et les moutons avaient dévalé la pente caillouteuse vers l'oued, et le soleil était haut, comme aujourd'hui, dans le ciel sans nuages.
Les chiffres ça peut pas mentir.
Les cinq garçons ont eu le bac.
Les cinq meilleurs y étaient invités.
Les combats ont repris de plus belle.
Les condamnés chantent La Marseillaise et l'Internationale sous les coups des gendarmes allemands.
Les cratères des autres dolines font des taches sombres de loin en loin.
Les derniers seront les premiers.
Les deux garçons ôtaient leurs tuniques de laine usée, et ils se baignaient allongés dans l'eau claire du torrent qui coulait par dessus leurs épaules, qui entrait dans leur bouche et dans leurs oreilles.
Les deux garçons se baignaient allongés dans l'eau claire du torrent qui coulait par dessus leurs épaules.
Les deux petits couraient et gambadaient sur la pelouse.
Les directives, ils s'en sont données.
Les directives, ils s'en sont donné.
Les filles, il en a partout plein les magazines.
Les flammes l'éclairaient, il devait avoir vingt et un ans, très brun, joli homme, l'air fort malgré ses membres menus.
Les flammes l'éclairaient, il devait avoir 21 ans, très brun, joli homme, l'air fort malgré ses membres menus.
Les flammes l'éclairaient, il devait avoir 21 ans.
Les garçons remontaient la pente de la montagne, en chassant les bêtes devant eux à coups de pierres.
Les gens parlent de Wall Street comme s'il s'agissait d'une conspiration, de cinq types se réunissant dans une pièce pour comploter.
Les hommes étaient presque tous très maigres et tenaient des cannes.
Les hommes savent où ils vont, guidés par un jeune garçon qui marche devant eux en silence.
Les hommes se sont avancés vers la bière avec un drap.
Les hommes travaillent la terre, sans hâte ni frayeur.
Les insectes viennent mourir dans le feu, les longues fourmis volantes qui zèbrent l'air et grillent dans les flammes.
Les instruments du satellite Planck envoyé en 2009 à quelque 1,5 million de kilomètres de la Terre n'ont plus qu'à l'enregistrer.
Les loisirs, ce n'est pas de tout repos.
Les loisirs, ce n'est pas de tout repos.
Les longues fourmis volantes.
Les loups ne se dévorent pas entre eux.
Les montagnes de grès rose et de quartz étincellent comme pour une aurore.
Les mots en fait ne suffisent pas à décrire l'événement, car l'expansion correspond en réalité à une multiplication des distances par 10 puissance 25, un "un" suivi de 25 zéros...
Les mots en fait ne suffisent pas à décrire l'événement, car l'expansion correspond en réalité à une multiplication des distances par 10 puissance 25, un "un" suivi de 25 zéros...
Les mots étaient collés les uns aux autres dans ma bouche.
Les mots nous trahissent.
Les mots n'ayant pas le pouvoir de dévoiler ce sombre secret, mieux valait travailler.
Les mouches et les moucherons arrivaient déjà, comme nés des feuilles d'euphorbe, ils bourdonnaient autour des cheveux des enfants, ils piquaient l'arrière de leurs bras.
Les moutons et les chèvres remontaient vers l'amont du torrent, à la recherche de plantes fraîches.
Les murailles se sont écroulées.
Les otages fusillés en octobre 1941 étaient représentatifs de la société française de part leurs professions, leurs opinions politiques, leur âge, du jeune communiste de 17 ans - Guy Môquet - à l'ancien mutilé de guerre nantais, Léon Jost.
Les ouvriers de la coupe à terre avaient dû travailler tard, on sortaient encore les déblais inutiles.
Les pénitences qu'il lui a imposées s'avéraient trop lourdes.
Les pénitences qu'il s'est imposées s'avéraient trop lourdes pour lui.
Les pieds y enfonçaient et laissaient ouverte sa pulpe brillante.
Les portes résonnent comme ceci : pan-pan-pan.
Les portes résonnent toujours trois fois, comme ceci : pan! pan-pan!
Les premiers rayons du soleil éclairent les bords du cratère, les arbustes noirs qui tremblotent dans le vent.
Les protéines - combien en faudra-t-il ?
Les quelque 5 millions de pixels suffisent bien.
Les quelques 5 millions de pixels sont bien suffisants.
Les rafales s'étaient enragées, elles semblaient apporter la mort du travail, une disette qui tuerait beaucoup d'hommes.
Les réfugiés vivaient loin de nous.
Les réfugiés vivaient non loin de nous.
Les romantiques se sont plu à camper un Français du seizième siècle, élégant, sceptique, raffiné.
Les romantiques se sont plus à camper un Français du seizième siècle, élégant, sceptique, raffiné.
Les sentiments positifs (comme la joie ou l'amour) et négatifs (comme l'angoisse ou la haine) nous sont également nécessaires.
Les soldats l'ont tué près des ruines.
Les soldats marchent le long des fêlures de la terre, comme les fourmis.
Les soldats ont été faits prisonniers.
Les soldats sont comme les insectes : ils ne sont pas là, puis, tout d'un coup, ils sont là, sans qu'on ait pu comprendre d'où ils étaient sortis.
Les soupirs et les sanglots de la femme se faisaient plus rares.
Les spectateurs auront des notes.
Les ténèbres demeuraient profondes, mais la main du vieillard les avait comme emplies de grandes misères, que le jeune homme, inconsciemment, sentait à cette heure autour de lui, partout, dans l'étendu sans bornes.
Les travaux de la table ronde ivoirienne suivent le calendrier prévu et pourraient se terminer avant la date butoir du 24 janvier, a indiqué le porte-parole du Quai d'Orsay.
Les uns derrière les autres ?
Les Verts français sont comme pastèques : verts à l'extérieur et rouges à l'intérieur.
Les vins bordelais sont excellents.
Les vins rouges bordelais sont excellents.
Les vins rouges bordelais, ma foi, sont excellents.
Les vins rouges bordelais, ma foi, sont excellents.
Les vins rouges bordelais, quant à eux, sont excellents.
Les vins rouges de 2010 vont être excellents, je vous jure.
Les visions affluaient, nuit après nuit.
Les visions affluaient, s'enchaînant les unes aux autres.
Leur insignifiance, si elle le rassurait, lui faisait pourtant de la peine.
Leur leçons se sont fait entendre.
Leurs instincts se sont donné libre cours.
Leurs voix se perdaient, des bourrasques emportaient les mots dans un hurlement mélancolique.
Leurs yeux disparaissaient dans l'ombre des orbites.
Lévi, comme nous le rappelle l'agence de presse Russe RIA-Novosti, s'était trompé de la même manière en 1999, après l'attaque contre le Daguestan par Bassaïev.
Lévy va récidiver en été 2008, il va encore se tromper d'encourager le président Georgien Saakachvili à déclencher une guerre suicidaire contre la Russie.
Lorsque l'espérance est extrême, elle change de nature et se nomme sécurité ou assurance.
Lorsqu'il a communiqué au monde que Kadhafi utilisait les Noirs venus d'Afrique noirs payés une bouchée de pain, personne n'avait auparavant songé de lui expliquer que les tribus du sud de la Libye sont composées essentiellement de populations Noires.
Lorsqu'il a eu déjeuné, il est sorti.
Lorsqu'il eut déjeuné, il sortit.
Lorsqu'ils se sont assis, la plupart m'ont regardé et ont hoché la tête avec gêne, les lèvres toutes mangées par leur bouche sans dents, sans que je puisse savoir s'ils me saluaient ou s'il s'agissait d'un tic.
Lorsqu'un jour, le gardien m'a dit que j'étais là depuis cinq mois ,je l'ai cru, mais je ne l'ai pas compris.
Lui aussi il vient.
Lui aussi, il cherche, en flairant les pierres du ravin.
Lui était concierge, et, dans une certaine mesure, il avait des droits sur eux.
Lui, d'un bond se lève, reste un instant debout, en équilibre, les muscles bandés, prêt à s'enfuir.
Lui, il écrit très bien, pas l'autre.
L'accent du pays où l'on est né demeure dans l'esprit et dans le coeur, comme dans le langage.
L'accent du pays où l'on est né demeure dans l'esprit et dans le coeur, comme dans le langage.
L'accident s'est produit le lundi 12 octobre au soir.
L'accident s'est produit l'année dernière le lundi 12 octobre au soir.
L'air est froid ici, malgré le soleil qui éblouit.
L'air est froid, d'un froid sec qui fait mal.
L'appartement n'avait que deux pièces.
L'asile de vieillards est à Marengo, à quatre-vingts kilomètres d'Alger.
L'asile est à deux kilomètres du village.
L'augmentation varie entre 2,5 % et 3,5 %.
L'a-t-il vu ?
L'eau du torrent était belle, à la lumière.
L'eau est là, sûrement, quelque part.
L'eau froide lui a paru lourde, âpre, au goût de métal, mais elle lui a donné des forces nouvelles.
L'eau lui a paru lourde.
L'éclat de la lumière sur les murs blancs me fatiguait.
L'éclat du ciel était insoutenable.
L'économie anglaise affichait 2 % de déficit dans les années 2005-2007.
L'économie était florissante dans les années 2005 - 2007.
L'effort que j'ai dû faire aidait à les passer.
L'employé des pompes funèbres m'a dit alors quelque chose que je n'ai pas entendu.
L'enfant a disparu , en laissant derrière lui une traînée de lumière.
L'enfant attend, sans désespoir, couché sur la terre.
L'enfant est revenu, pour lui ouvrir le chemin, pour laisser son signal de lumière.
L'enfant lui ressemble, il est tout à fait comme un reflet de lui-même.
L'enfant ne peut pas se lever, ne peut pas appeler, il ne le faut pas.
L'enfant tremble, malgré le soleil.
L'engin est trop rapide pour être intercepté.
L'épouse qui a perdu son conjoint risque de n'avoir que les yeux pour pleurer.
L'équipe n'a pas non plus achevé l'analyse de ses propres données.
L'étendue du plateau calcaire est immense, le ciel bleu pâle à l'horizon, sombre comme la nuit au zénith.
L'histoire est donc loin d'être terminée.
L'homme avait à droite une palissade, quelque mur de grosses planches fermant une voie ferrée ; tandis qu'un talus d'herbe s'élevait à gauche, surmonté de pignons confus, d'une vision de village aux toitures basses et uniformes.
L'homme avait à droite une palissade, quelque mur de grosses planches fermant une voie ferrée.
L'homme criait de douleur.
L'homme était parti de Marchiennes vers deux heures.
L'homme était suivi de deux filles en tunique rouge.
L'homme, qui se sentait regardé d'un oeil méfiant, dit son nom tout de suite.
L'installation était ainsi faite : c'était tout ou rien.
L'instinct plus vieux que sa vie avertit Tayar qu'il va trouver l'eau, qu'elle l'attend.
L'instituteur doit former les acteurs.
L'intelligence militaire est une contradiction dans les termes.
L'oncle Raïs est parti hier, ou avant-hier, peut-être.
L'ONU dit n'avoir plus confiance en Bachar Al-Assad.
L'or ne lui appartenait pas.
L'ordonnateur nous donna nos places.
L'un de ceux-ci tenait un encensoir et le prêtre se baissait vers lui pour régler la longueur de la chaîne d'argent.
L'un des hommes qui entouraient la voiture s'était laissé dépasser aussi et marchait maintenant à mon niveau.
L'Univers est composé de 4,8 % de la matière ordinaire que sont nos atomes, de 25,8 % de matière dite noire, invisible aux téléscopes (et de nature encore inconnue) et de 69,4 % d'énergie noire, qui le pousse à grossir.
Ma foi, les vins rouges bordelais sont excellents.
Ma foi, les vins rouges bordelais sont excellents.
Madame Verdurin s'était écriée : «Je vous crois qu'elle est belle».
Madame Verdurin s'était écriée : «Je vous crois qu'elle est belle».
Mademoiselle, vous vous êtes trompée.
Maintenant à vous.
Maintenant il est debout de l'autre côté de la doline, à contre-jour.
Maintenant il sait bien qu'il ne peut plus s'en servir.
Maintenant, Étienne dominait le pays entier.
Maintenant, il est devant le haut-plateau calcaire, et le noir de la nuit devient gris peu à peu.
Maintenant, il n'y a plus qu'à regarder, à se laisser glisser sur la route étincelante.
Maintenant, il se souvient.
Maintenant, la pierre l'aide, elle lui donne sa force froide, elle efface la faim et la douleur.
Maintenant, tous les soirs, quand il l'avait ramenée chez elle, il fallait qu'il entrât.
Maintenant,il entendait les moulineurs pousser les trains sur les tréteaux, il distinguait des ombres vivantes culbutant les berlines, près de chaque feu.
Mais après tous ces jours enfermés dans la prison, après l'ombre de la cellule, les couloirs humides et puants, où l'air vibre sourdement dans la lueur des barres de néon, après tous les bruits de pas, les voix, les claquements de porte qui résonnent toujours trois fois, comme ceci : pan! pan-pan! Tayar aime cette dureté, ce silence de vent et de pierre, ce ciel immense et sans nuages où brûle un seul soleil.
Mais au mouvement de ses bras, je pouvais croire qu'elle tricotait.
Mais aussi de quoi plonger pour la première fois de l'autre côté du miroir et saisir à quoi a ressemblé le Big Bang, moment-clé de nos origines.
Mais ça n'est plus possible.
Mais ce n'est pas son oncle.
Mais ce que les paroles ne réussissent pas toujours à faire, la vie le fait.
Mais ces électrons jouent aussi avec les protons et finissent par se regrouper entre eux, privant les photons de leurs partenaires.
Mais c'est plus fort que toute la vie, cela revient en lui, le vide, le purifie comme la faim et la soif.
Mais c'était à cause de l'habitude.
Mais déjà il est au bord de la falaise.
Mais en l'espèce, il a accordé l'autorisation de suivre le convoi à un vieil ami de maman : « Thomas Pérez ».
Mais il a perdu le chemin.
Mais il est si fatigué que cela lui est égal, et il ne pose pas de questions.
Mais il le fera sans doute après-demain, quand il me verra en deuil.
Mais il le fera sans doute après-demain, quand il me verra en deuil.
Mais il m'a interrompu : « Vous n'avez pas à vous justifier, mon cher enfant. J'ai lu le dossier de votre mère. Vous ne pouviez subvenir à ses besoins. Il lui fallait une garde. Vos salaires sont modestes. Et tout compte fait, elle était plus heureuse ici. »
Mais il ne faut pas bouger, pas se lever.
Mais il ne faut pas bouger, pas se lever.
Mais il n'avait pas l'air content.
Mais il répondit non de la tête, violemment.
Mais je crois maintenant que c'était une impression fausse.
Mais je me suis arrêté parce que j'ai pensé que je l'avais déjà dit à mon patron.
Mais je ne l'écoutais presque plus.
Mais je n'avais pas faim.
Mais je voulais vous en informer.
Mais j'ai attendu dans la cour, sous un platane.
Mais j'ai hésité parce que je ne savais pas si je pouvais le faire devant maman.
Mais la maison est abandonnée.
Mais le concierge m'a dit qu'il fallait que je rencontre le directeur.
Mais le froid a tout effacé.
Mais le grand chien repart, en courant un peu en zigzag, entraînant derrière lui les hommes qui doivent courir aussi et, malgré la peur, Tayar a envie de rire.
Mais le silence se referme, éteint les bruits de la vie.
Mais le soleil est encore plus vide, plus grand, plus blanc.
Mais le soleil va vite, il descend vers la terre comme un vaisseau éblouissant
Mais le vent glacé le repousse, et il glisse lentement jusqu'au fond du cratère, il se recroqueville dans l'herbe humide.
Mais les six berlines étaient vides, il les suivit sans un claquement de fouet, les jambes raides par des rhumatismes; tandis que le gros cheval jaune repartait tout seul, tirait pesamment entre les rails, sous une nouvelle bourrasque, qui lui hérissait le poil.
Mais les six berlines étaient vides, il les suivit sans un claquement de fouet, les jambes raidies par des rhumatismes ; tandis que le gros cheval jaune repartait tout seul, tirait pesamment entre les rails, sous une nouvelle bourrasque, qui lui hérissait le poil.
Mais l'image s'efface tout de suite, le ciel et le vent la font disparaître.
Mais naturellement, ce n'était pas la même chose.
Mais pourquoi tapent-ils des pieds ?
Mais quand on considère, outre cela, s'il y a beaucoup d'apparence qu'on obtienne ce qu'on désire, ça excite en nous l'espérance.
Mais quand on considère, outre cela, s'il y a beaucoup ou peu d'apparence qu'on obtienne ce qu'on désire, ce qui nous représente qu'il y en a beaucoup, excite en nous l'espérance, et ce qui nous représente qu'il y en a peu, excite la crainte, dont la jalousie est une espèce.
Mais quand on considère, outre cela, s'il y a beaucoup ou peu d'apparence qu'on obtienne ce qu'on désire, ce qui nous représente qu'il y en a beaucoup, excite en nous l'espérance.
Mais quelle drôle d'idée elle a eue d'aller ensuite au Chat Noir.
Mais ses bras ne s'occupent pas de la douleur.
Mais tout est dans le "pratiquement".
Mais trop tard !
Mais voilà-t-y pas que juste devant le café où nous étions attablés un régiment se met à passer, et avec le colonel par-devant sur son cheval, et même qu'il avait l'air bien gentil et richement gaillard, le colonel !
Mais, à cause des rides, elles ne s'écoulaient pas.
Mais, au ras du sol, un autre spectacle venait de l'arrêter.
Malgré la sécheresse alentour, l'air semble humide ici, comme au fond d'une vallée.
Malgré l'anorak sur sa poitrine, Tayar sent le froid qui vient en lui, qui l'occupe peu à peu.
Maman, sans être athée, n'avait jamais pensé de son vivant à la religion.
Manger est bon, avoir mangé est meilleur.
Manifestement, celles postées en Grande-Bretagne, si savoureux que fût le message, avaient à un moment ou à un autre été éliminées.
Marie tenait fort sa tasse.
Marie tenait son joujou très fort.
Marie, aussi fragile soit-elle, s'est bien débrouillée.
Méfie-toi, Adam !
Même une montre cassée donne l'heure exacte deux fois par jour.
Merci de le reporter au lundi 7 Février à 14 heures vingt cinq.
Merci de me dire quand même quand est prévu mon exposé le 7.
Merci de ne pas vous y être déplacé.
Merci de revenir dans quelques jours.
Merci de vous en être débarrassé à temps.
Merci d'être passée.
Messieurs, je vous l'affirme, l'obscur est clair comme le mensonge est vérité.
Messieurs, peut-être, le théâtre est-il, simplement, le drame, une action, une action dans un temps et un lieu donnés ?
Mieux vaut en avoir à qui on peut faire confiance.
Mieux vaut en avoir à qui on peut faire confiance.
Mis à part le traditionnel fromage à raclette, quels autres fromages conviennent pour une raclette ?
Mis à part son attitude, il faut considérer ses propos.
Moi aussi je l'ai remarqué.
Moi aussi.
Moi j'aime les pommes.
Moi, ça va.
Moi, demain, je ne peux pas passer.
Moi, je ne fis qu'un bond d'enthousiasme.
Moi, je sentais le sang qui me battait aux tempes.
Moi, j'aime les pommes.
Moi, j'avais jamais rien dit.
Moi, j'écoutais et j'entendais qu'on me jugeait intelligent.
Moi, ma voiture, je la ménage bien.
Montre-moi la carte.
Montre-moi une phrase à rajouter.
Mû par la même force, Tayar continue d'avancer sur le plateau, loin de l'abri de la doline.
M. Morissot, horloger de son état, se promenait tristement par un clair matin de janvier.
Nadya est en visite courte au LINA.
Nantes, ville martyre depuis l'exécution des 50 otages en octobre 1941, en fait partie.
Ne cédez pas à la tentation de la bonté.
Ne dis pas un mot à personne.
Ne parle pas la bouche pleine!
Ne pas bouger, Aazi, pour que les chiens des soldats ne l'entendent pas.
Ne pas bouger, ne pas se lever.
Ne pas parler, ne pas appeler surtout, Aazi, mais attendre là, couché sur la terre, caché dans les rochers et les broussailles.
Ne te prends pas la tête.
Ne traîne pas comme ça, c'est agaçant.
Ne t'en fais pas, Adam.
Ne t'en vas pas, Ève !
Ne t-en fais pas, Adam.
Ne t-en vas pas, Ève !
Ni Ève, ni Adam, ni même Serpent n'étaient là.
Ni l'un, ni l'autre ne sont des imposteurs.
Ni toi, ni moi ne pouvons y aller.
Nom de Dieu !
Nom d'un chien !
Non loin de notre carré de tentes , les réfugiés vivaient dans la tristesse.
Non ! Ça non !
Non ! Pas ça !
Non, jamais je ne lui dirai.
Notre façon de nous divertir est devenue tout à fait anachronique.
Nous allons toutefois aller plus loin et montrer que certains langages particuliers ne sont pas hors-contexte.
Nous avons pensé que vous pourrez ainsi veiller la disparue.
Nous avons suivi les porteurs et nous sommes sortis de l'asile.
Nous avons tous pris du café, servi par le concierge.
Nous avons traversé une cour où il y avait beaucoup de vieillards, bavardant par petits groupes.
Nous étions en train de nous séparer.
Nous lui avons assuré des vivres pour six mois.
Nous mangions tous sans parler.
Nous ne savons rien de Marc, pas même son nom de famille.
Nous nous séparons de cette maison.
Nous nous situons dans le cadre de l'acquisition grammaticale symbolique, à partir d'exemples positifs, cadre dans lequel le modèle de Gold (1967) est utilisé classiquement.
Nous nous sommes aperçu de notre erreur.
Nous nous sommes aperçus de notre erreur.
Nous nous sommes assuré des vivres pour six mois.
Nous nous sommes assuré des vivres pour six mois.
Nous nous sommes assurés de cette nouvelle.
Nous nous sommes dégagés de toute responsabilité.
Nous nous sommes mis en marche.
Nous nous sommes trompés sur l'étendue de notre sujet.
Nous n'allons pas le prendre.
Nous n'avons pas encore découvert les récréations spécifiques de notre temps.
Nous n'étions donc plus rien qu'entre nous ?
Nous sommes descendus.
Nous sommes restés silencieux assez longtemps.
Nous sommes restés un long moment ainsi.
Nous tenons à ce que nos promesses se réalisent.
Nous tenons à ce que nos promesses se réalisent.
Nous verrons par la suite s'il est vraiment sincère.
Nous vous présentons les deux meilleurs parmi les vingt candidats.
Nous vous rappellerons d'ici quelques jours.
Nous, critiques et docteurs, nous formons les instituteurs.
Nul de grand ne se fait sans passion.
Nul ne peut l'excuser.
Nul ne peut t'excuser.
Nul ne peut y entrer !
Nul n'est censé ignorer la loi.
Nul parmi eux n'est bon.
Nul parmi eux n'est bon.
Nul parmi les officiers présents n'a jamais vu cela.
Nul parmi les vivants n'a droit à tes hommages !
Nulle étoile, nulle galaxie, pas le moindre caillou.
N'as-tu pas trop bu ?
N'empêche que c'est vrai!
N'est-ce pas?
N'était-ce pas un cri de famine que roulait le vent de mars, au travers de cette campagne nue ?
N'y vas pas !
Oh !
On a bien de la peine à rompre, quand on ne s'aime plus.
On a de tout avec l'argent, hormis des coeurs et des bons citoyens.
On a ses doits autour du cou, toujours, ça gêne pour parler, faut faire bien attention si on tient à pouvoir manger ...
On a tout hormis des fruits.
On a tout hormis des fruits.
On a trouvé une crique belle comme le paradis.
On attend l'abrogation explicite de cette loi.
On attribue aux différentes variétés de fruits des propriétés différentes.
On attribue aux différentes variétés de fruits des propriétés différentes.
On aurait dit un jacassement assourdi de perruches.
On commence à s'y faire !
On croit toujours plus qu'on ne croit.
On dirait que toutes les tempêtes possibles se sont succédé très vite dans la première moitié de notre existence.
On dirait que toutes les tempêtes possibles se sont succédées très vite dans la première moitié de notre existence.
On entend le bruit strident des insectes.
On entendait seulement sortir de la fosse le bruit lointain d'un marteau, tapant sur de la tôle.
On est en bas dans les cales à souffler de la gueule, puants, suintants des rouspignolles, et puis voilà !
On est nés fidèles, on en crève nous autres.
On était du même avis sur presque tout.
On était fait, comme les rats.
On les laissait seulement veiller : « C'est une question d'humanité », a-t-il remarqué.
On les lui a enlevées quand il est entré en prison.
On l'a tranquillement laissé filer.
On l'a trouvé plusieurs kilomètres plus loin au sud.
On l'aurait bien étonné en lui disant qu'il finirait concierge à l'asile de Marengo.
On me juge intelligent.
On m'a retiré trois fois de là-dedans en morceaux, une fois avec tout le poil roussi, une autre avec de la terre jusque dans le gésier, la troisième avec le ventre gonflé d'eau comme une grenouille…
On ne l'a pas vue, elle.
On ne pouvait pas ne pas l'aimer.
On ne s'est pas fait à l'idée de courir derrière le corbillard.
On ne t'a pas demandé la rançon, que je sache.
On ne va pas prendre le train.
On ne voyait que la blancheur du bandeau dans son visage.
On nous fait monter sur le pont.
On n'a plus qu'à recommencer.
On parle peu quand la vanité ne fait pas parler.
On peut tout acquérir dans la solitude, hormis du caractère.
On peut y voir tous les rois de France qui se sont succédé sur le trône.
On pourrait tous les citer.
On pouvait toujours culbuter celles-là : un accident arrivé à la cage d'extraction, un écrou cassé, allait arrêter le travail pendant un grand quart d'heure.
On renvoie le monde, les ateliers ferment les uns après les autres...
On sait à qui on peut laisser le soin de faire les dégâts.
On sait par qui il se la fait voler.
On sait par qui il se la fait voler.
On sait par qui Pierre a été volé.
On sait par qui Pierre a été volé.
On sait que seuls viendraient en licence trois les bons en informatique.
On sait que seuls viendraient en licence trois les bons en informatique.
On sait qui on peut laisser faire les dégâts.
On sait qu'on a trouvé quelqu'un de spécial quand on peut la boucler et partager un silence agréable.
On se distrait en apprenant.
On se fait toujours des idées exagérées de ce qu'on ne connaît pas.
On se fait toujours des idées exagérées de ce qu'on ne connaît pas.
On se maquille, on se pare.
On se rencontre donc place Clichy.
On sollicite la confédération totale de ces crédits.
On s'aperçoit à peine des variations de saisons mais, en été, la mousson fait monter l'humidité jusqu'à cent pour cent pendant toute la canicule.
On s'est séparés à regret.
On travaille ! qu'ils disent.
On va les aborder, les saligauds qui sont sur la patrie n° 2, et on va leur faire sauter la caisse !
On va les aborder, les saligauds qui sont sur la patrie n° 2.
On va leur faire sauter la caisse !
On vous la donnera demain.
On voyait seulement les vis brillantes, à peine enfoncées, se détacher sur les planches passées au brou de noix.
On y trouve aussi une partition récente à récupérer de l'ONPL signée par lui.
Ou bien au bar en face de la gare, ils boivent des cafés et des demis, en l'attendant.
Ou bien des injures, parce qu'il s'est brûlé en jetant une branche trop près de la flamme.
Ou bien un voile de sang couvre l'espace, fait briller les épines des buissons de lueurs meurtrières.
Ou bien un voile de sang couvre l'espace, fait briller les épines des buissons de lueurs meurtrières.
Où en sommes-nous ?
Où mettrait-elle la clé?
Où mettrait-elle la clé?
Ou parfois, la brûlure d'un taon qui se posait légèrement sur leurs épaules.
Ou peut-être hier, je ne sais pas.
Où tu veux en venir ?
Oui, c'est cela, ils ont préparé la souricière, ils attendent quelque part, dans la rue, embusqués dans une camionnette.
Oui, c'était bien une fosse, les rares lanternes éclairaient le carreau, une porte brusquement ouverte lui avait permis d'entrevoir les foyers des générateurs, dans une clarté vive.
Oui, disait le vieillard, ça finirait par mal tourner, car il n'était pas Dieu permis de jeter tant de chrétiens à la rue.
Outre la température, elle a en effet aussi enregistré une propriété du rayonnement, appelée polarisation, qui pourrait encore améliorer nos connaissances sur l'inflation.
Par ailleurs, cela lui coûtera cher.
Par définition, ces perturbations sont de nature quantique, l'adjectif idoine pour décrire l'infiniment petit.
Par instants, il croit voir sa silhouette immobile contre le ciel, avec son visage noirci et ses cheveux couleur d'herbe brillant à la lumière.
Par instants, le ciel semble se vider, comme si venait la nuit, une nuit terrible qui ne finirait plus.
Par moments il l'oublie.
Par qui t'as xxx cette yyy ?
Parfois il se fait voler sa bourse par un visiteur.
Parfois il se fait voler sa bourse.
Parfois il se la fait voler par un visiteur.
Parfois très méchante.
Parfois, il s'arrête, le nez en l'air, comme s'il avait senti quelque chose, et Tayar pense qu'il va regarder dans leur direction, aboyer.
Parle-lui-en, Adam !
Parlons-en, Adam !
Parmi ces combattants de l'ombre qui se dressent contre l'ennemi, il y a des réseaux communistes des Francs-Tireurs et Partisans, les FTP.
Pars vite !
Partout, il y a les murs de pierre sèche.
Pas un bateau n'y passe.
Pas un oiseau, pas un animal terrestre.
Passaient des oiseaux, très vite, par groupes, en piaillant, et son frère se levait sans bruit, cherchait à voir où ils allaient se poser.
Passe-moi celui-là.
Paul a été carrément deux fois meilleur des élèves.
Paul a un vélo presque aussi bon que celui d'Adam.
Paul annonce : « Le Président est arrivé ».
Paul annonce : « Le Président est arrivé ».
Paul apprend le dessin à ma fille.
Paul avait besoin de cette table.
Paul avait besoin de tout.
Paul donne du pain à sa voisine.
Paul en est devenu carrément deux fois meilleur.
Paul en parle à Adam.
Paul est allé en Italie.
Paul est arrivé à la gare à l'heure.
Paul est devenu carrément deux fois meilleur.
Paul est meilleur qu'Adam.
Paul est tombé malade.
Paul fait apprendre cette méthode à ses étudiants.
Paul lui en parle encore et encore.
Paul lui parle souvent d'Eve.
Paul l'a acheté hier, cassé le soir même et fait réparer aujourd'hui.
Paul l'a acheté hier, cassé le soir même et fait réparer aujourd'hui.
Paul nous a demandé des fleurs deux fois par jour.
Paul nous a demandé des fleurs deux fois.
Paul parle d'Ève à Adam.
Paul presse l'élève de terminer son devoir.
Pellerin y habite, mais son entourage refuse de commenter : « Ce n'est pas à l'ordre du jour... »
Pendant la querelle des trois docteurs, Ionesco se retire légèrement, semble vouloir se faire oublier, puis, sur la pointe des pieds, tentera de s'enfuir vers la porte.
Pendant quelques secondes, Tayar pense qu'il voudrait tuer le garçon qui le regarde.
Pendant tout ce temps, le concierge a parlé et ensuite, j'ai vu le directeur : il m'a reçu dans son bureau.
Pensez-vous qu'il faille savoir se servir de logiciels pour être agriculteur?
Pensons-y ensemble, Adam.
Personne ne doit venir maintenant, plus personne.
Personne ne l'égale.
Personne ne peut y entrer.
Personne ne viendra le chercher.
Personne n'a encore vu ces ondes dites gravitationnelles, mais la collaboration Planck dans un an espère soit les voir pour la première fois , soit mieux les cerner.
Personne n'a su le découvrir, ni même ne l'a cherché.
Personne n'avait grâce à ses yeux.
Personne n'est épargné.
Personne n'y entre !
Personne n'y entre !
Personne.
Petite, Alain l'a considérée intelligente.
Petit, Alain était considéré intelligent.
Peu après, l'un des vieillards s'est réveillé et il a beaucoup toussé.
Peu après, une des femmes s'est mise à pleurer.
Peu de villes en France connaissent une guérilla urbaine menée contre l'occupant.
Peut-être bien que cet homme est absurde.
Peut-être même qu'il y a des chiens qui aboient, dans les fermes de la vallée, et Tayar pense que c'est contre lui qu'ils aboient, comme autrefois.
Peut-être même qu'il y a des chiens qui aboient.
Peut-être que c'est la douleur qui revient dans son corps, maintenant qu'il a perdu la pierre de la faim.
Peut-être que les soldats vont venir, maintenant, cherchant sa piste dans les plaques de sable, cherchant les branches brisées, les pierres bougées, les petits éboulis.
Peut-être que les soldats vont venir, maintenant, cherchant sa piste dans les plaques de sable, cherchant les branches brisées, les pierres bougées, les petits éboulis.
Peut-être qu'il aurait dû venir ici, tout de suite.
Pierre a été volé avant de sortir de la gare.
Pierre et Jean se sont disputé la première place.
Pierre et Paul se sont battus, puis se sont réconciliés.
Pierre et Paul se sont battus, puis se sont réconciliés.
Planck ne se contente pas de rendre publics 29 articles d'analyses accompagnés de ces fameuses photos.
Plus aucun bateau ne passe dans ce port.
Plus aucun bateau n'y passe.
Plus de raison de se priver.
Plus de raisons de se priver.
Plus loin, il y a l'arête rocheuse des montagnes, et peut-être, plongée dans la nuit déjà, marquée d'étoiles lointaines qui scintillent au fond de l'ombre, la vallée du Loup.
Plus on l'écoutait, plus on le comprenait.
Plus personne ne peut y entrer.
Plus rien au monde ne peut t'excuser !
Plus rien au monde ne peut t'excuser !
Plus rien ne le sépare du ciel.
Plus rien ne le sépare du ciel.
Plus tôt sera mieux.
Plusieurs langues, telles que le grec, le latin, l'allemand, etc., divisent les noms en trois genres.
Point n'est besoin d'espérer.
Point n'est besoin.
Pour Alain, une telle lettre a été écrite la semaine dernière.
Pour Alain, une telle lettre a été écrite la semaine dernière.
Pour ce faire, nous utiliserons la caractérisation des langages hors-contexte en termes de grammaires hors-contexte.
Pour ces travaux, le syndic a demandé mille euros par foyer.
Pour des riens, il vous étrangle ...
Pour la première fois, en janvier 2003, un hommage officiel est rendu aux 37 résistants communistes fusillés en 1943.
Pour le moment, c'est comme si maman n'était pas morte.
Pour le temps à prévoir : cela ressemble à trois heures par page.
Pour le temps à prévoir : cela ressemble à trois quart d'heure - une heure par page.
Pour que cette zone ne devienne pas insalubre, la seule solution c'est de travailler le sel.
Pour quoi faire ?
Pour se reposer, Tayar s'allonge sur la terre, il regarde le ciel.
Pour vaincre sa fatigue et sa solitude, Tayar chantonne un peu, du fond de sa gorge, comme il faisait, autrefois, quand il était replié en chien de fusil contre un rocher, sur les pentes du mont Chelia.
Pour Yakouba, c'est un grand jour.
Pourquoi n'y ai-je pas pensé ?
Pourtant je ne les entendais pas et j'avais peine à croire à leur réalité.
Pourtant je n'osais pas le lui dire.
Pourtant, le procès va tomber petit à petit dans l'oubli lorsque la paix revient.
Pourtant, ses yeux sont ouverts et la sclérotique brille dans la lumière.
Prends-en un peu.
Près de la bière, il y avait une infirmière arabe en sarrau blanc, un foulard de couleur vive sur la tête.
Près de la borie en ruine, il y a l'abreuvoir pour les moutons.
Président Bill Clinton, soyez le bien venu à bord !
Presque jamais les hommes ne s'étaient complus à un aspect aussi barbare de la destinée et de la force.
Presque jamais les hommes ne s'étaient complus à un aspect aussi barbare de la destinée et de la force.
Presque toutes les femmes portaient un tablier et le cordon qui les serrait à la taille, faisait encore ressortir leur ventre bombé.
Puis il épluche l'orange, et il lui donne un quartier.
Puis il m'a dit : « Je suppose que vous voulez voir votre mère. »
Puis il m'a serré la main qu'il a gardée si longtemps que je ne savais trop comment la retirer.
Puis il retourne se coucher au fond de la borie.
Puis il se souvient qu'il n'a plus d'allumettes.
Puis il s'accroupit, le dos appuyé contre le rocher, les bras enroulés autour du corps pour ne pas perdre sa chaleur.
Puis il s'est assis en face de moi, de l'autre côté de maman.
Puis il vomit, parce qu'il y a trop longtemps qu'il n'a mangé ni bu.
Puis ils se séchaient debout au soleil, son frère la main sur son sexe nouvellement circoncis.
Puis je me suis souvenu qu'avant de me conduire chez le directeur , il m'avait parlé de maman.
Puis j'ai encore dormi.
Puis le parti communiste préfère mettre en avant également les 27 martyrs de Châteaubriant, exécutés parmi les 50 otages d'octobre 1941.
Puis nous l'avons perdu.
Puis nous nous sommes rangés pour laisser passer le corps.
Puis une grande fourmi noire, qui court sur la terre poudreuse.
Puis vient la lueur du lever de lune, vers l'est, une large tache blanche qui grandit dans le ciel.
Puisque je te tiens, dis-le moi.
Puisque je te tiens, dis-le moi.
Puis, d'un coup, sans que Tayar ait pu comprendre comment, il a disparu.
Puis, d'un geste large, il indiqua, au nord, tout une moitié de l'horizon : les ateliers de construction Sonneville n'avaient pas reçu les deux tiers de leurs commandes habituelles ; sur les trois haut fourneaux des Forges de Marchiennes, deux seulement étaient allumés : enfin, à la verrière Gagebois, une grève menaçait, car on parlait d'une réduction de salaire.
Puis, Étienne demanda, en montrant le tas sombre des constructions, au pied du terri : « C'est une fosse, n'est-ce pas ? »
Puis, Étienne demanda, en montrant le tas sombre des constructions, au pied du terril : C'est une fosse, n'est-ce pas?
Puis, quand il put parler : « Non, non, je me suis enrhumé, l'autre mois. Jamais je ne toussais, à présent je ne peux plus me débarasser ... Et le drôle, c'est que je crache, c'est que je crache ... »
Puis, quand le feu est grand et fort, qu'il a dévoré toute la provision de branches, les deux enfants s'asseyent devant lui, du côté où ne vient pas la fumée, et ils le regardent mourir lentement, tandis que le froid de la nuit revient peu à peu, dans leur dos, dans leurs cheveux, dans la terre entre leurs doigts.
Puis, quand le feu est grand et fort, qu'il a dévoré toute la provision de branches, les deux enfants s'asseyent devant lui, du côté où ne vient pas la fumée.
Puis-je vous voir un instant ?
Quand elle est partie, le concierge a parlé : « Je vais vous laisser seul. »
Quand elle était à la maison, maman passait son temps à me suivre des yeux en silence.
Quand elle n'est plus qu'à quelques pas de lui, elle écarte son voile et son visage apparaît, si beau, lisse comme du cuivre.
Quand il dort, il est pareil aux pierres grises qui l'entourent.
Quand il était avec son frère, et qu'ils gardaient ensemble les troupeaux, il marchait ici, ici même.
Quand il eut toussé, la gorge arrachée par un raclement profond, il cracha au pied de la corbeille, et la terre noircit.
Quand il fait très froid, non plus, il n'y a personne dans les rues ; c'est lui, même que je m'en souviens, qui m'avait dit à ce propos : « Les gens de Paris ont l'air toujours d'être occupés, mais en fait, ils se promènent du matin au soir ; la preuve, c'est que lorsqu'il ne fait pas bon à se promener, trop froid ou trop chaud, on ne les voit plus ; ils sont tous dedans à prendre des cafés-crème et des bocks. C'est ainsi ! Siècle de vitesse ! qu'ils disent. Où ça ? Grands changements ! qu'ils racontent. Comment ça ? Rien n'est changé en vérité. Ils continuent à s'admirer et c'est tout. Et ça n'est pas nouveau non plus. Des mots, et encore pas beaucoup, même parmi les mots, qui sont changés ! Deux ou trois par-ci, par-là, des petits ... »
Quand il le reconnaît, Tayar sent une ivresse étrange, qui efface toute douleur.
Quand il ouvre les yeux, il voit d'un coup toute cette blancheur, le soleil qui étincelle sur les roches calcaires.
Quand il regarde, il sent un vertige s'emparer de lui.
Quand il voit que Tayar ne peut plus bouger, il rompt un peu de pain et il met un morceau dans la bouche de l'homme.
Quand je suis parti, ils m'ont accompagné à la porte.
Quand je suis sorti, le jour était complètement levé.
Quand la flamme jaillit entre les doigts habiles de l'enfant, vibrante, joyeuse, pareille à un animal sauvage, Tayar regarde de toutes ses forces.
Quand la nuit commence à tomber, Tayar aperçoit la doline.
Quand le garçon est à quelques pas de lui, il s'arrête.
Quand le soir revenait, et que le soleil n'était plus très loin des collines, les garçons remontaient la pente de la montagne, en chassant les bêtes devant eux à coups de pierres.
Quand le soleil est à nouveau dans le ciel sans nuages, Tayar s'assoit au bord du cratère.
Quand le soleil était à la moitié de sa montée au zénith, l'aîné des garçons sortait les provisions de la besace en cuir : le pain sec et lourd, les dattes et les figues séchées, le fromage salé, l'outre en peau de chèvre pleine de beurre rance.
Quand nous sommes arrivés, le prêtre s'est relevé.
Quand on est pas sages, il serre ...
Quarante neuf chefs d'accusation sont retenus contre les inculpés comparaissant devant le tribunal militaire allemand.
Que ce soient les sentiments positifs ou négatifs, ce n'est ni avec notre cerveau ni avec notre coeur physique que nous les éprouvons, mais avec notre plexus solaire.
Que ce soient les sentiments positifs ou négatifs, les deux nous sont nécessaires.
Que ce soient les sentiments positifs (comme la joie, l'amour, l'enthousiasme) ou négatifs (comme l'angoisse, la haine, la jalousie), ce n'est ni avec notre cerveau ni avec notre coeur physique que nous les éprouvons, mais avec notre plexus solaire.
Que ce soient les sentiments positifs (comme la joie, l'amour, l'enthousiasme) ou négatifs (comme l'angoisse, la haine, la jalousie), ce n'est ni avec notre cerveau, ni avec notre coeur physique que nous les éprouvons, mais avec notre plexus solaire.
Que ce soient les sentiments positifs (comme la joie, l'amour, l'enthousiasme) ou négatifs (comme l'angoisse, la haine, la jalousie), ils nous sont tous nécessaires.
Que ce soient les sentiments positifs (comme la joie, l'amour, l'enthousiasme) ou négatifs, ils nous sont tous nécessaires.
Que fait-il ?
Que faut-il faire?
Que la lumière soit !
Que leur faut-il encore !
Que lui ai-je fait couper ?
Que lui fais-je couper ?
Que nul parmi vous ne retourne chez lui bredouille !
Que sais-tu de cette affaire ?
Que sont devenues les filles ?
Que t'es belle !
Que veulent-ils, que cherchent-ils?
Que voulez-vous ?
Quelle pointure vous faites ?
Quelques gouttes de sueur perlaient sur son front, mais il ne les essuyait pas.
Quelques milliardièmes de milliardièmes de milliardièmes de seconde après le Big Bang (le chiffre précis n'est pas encore connu!), l'Univers passe d'une tête d'épingle à sa taille presque actuelle.
Qui a bu boira.
Qui a bu, boira.
Qui aime bien châtie bien.
Qui cela aurait-il pu être ?
Qui cela peut-il être ?
Qui est le meilleur candidat à même de le battre ?
Qui est-ce ?
Qui sait ce qui nous attend encore.
Qu'allait-il faire ainsi par les chemins, sans but, ne sachant seulement où s'abriter contre la bise ?
Qu'allait-il faire ?
Qu'a-t-il fait ?
Qu'en est-il ?
Qu'est ce que c'est que cette voiture?
Qu'est ce que c'est !!!
Qu'est ce que c'est ?
Qu'est ce que je lui ai fait couper ?
Qu'est ce que je lui fais couper ?
Qu'est ce que tu fais ?
Qu'est ce que t'en sais ?
Qu'est ce que vous me voulez ?
Qu'est ce que vous me voulez ?
Qu'est ce qu'il a fait ?
Qu'est ce qu'il est devenu ?
Qu'est-ce que ça veut dire?
Qu'est-ce que ça veut dire?
Qu'est-ce que je peux être con !
Qu'est-ce que tu xxx à Yyy le zzz ?
Qu'est-ce qu'il a bien pu se passer entre eux ?
Qu'est-ce qu'il est devenu ?
Qu'est-il devenu ?
Qu'il ait une voiture usée, n'était pas bien vu par tout le monde.
Qu'on vous entende de loin !
Rapidement, c'est à leur martyr que l-on rend hommage.
Rassuré, le charretier hochait la tête.
Redis-le-moi encore une fois.
Regarde bien devant toi.
Renard écrivait de la prose à un moment où il semblait que le roman fût en bout de course, où le grand projet descriptif et analytique des romanistes célèbres avait épuisé la réalité et n'avait rien laissé à faire à la fiction.
Rennes est à environ 100 km au nord de Nantes.
Rennes est à environ 100 km au nord de Nantes.
Rennes est à une heure de route de Nantes.
Rennes est à une heure de route de Nantes.
Rennes est à une heure de route.
Reste à déduire de ce vacarme combien il y a de personnes, combien d'hommes et de femmes, ou l'heure qu'il est ...
Retrouvez confiance en vous.
Rien au monde ne peut l'excuser.
Rien de grand ne se fait sans passion.
Rien de grand ne se fait sans passion.
Rien ne bouge.
Rien ne peut l'excuser, ne serait-ce que l'ignorance.
Rien ne peut l'excuser, ne serait-ce que l'ignorance.
Rien que le vent qui passe en sifflant à travers les branches des buissons d'épines.
Rien !
Rien, plus un sou, pas même une croûte !
Rien, plus un sou, pas même une croûte : qu'allait-il faire ainsi par les chemins, sans but, ne sachant seulement où s'abriter contre la bise ?
Rien.
Ringard comme il était, Paul avait peur de l'informatique.
Sa bourse s'est fait voler.
Sa femme lui avait dit alors : « Tais-toi, ce ne sont pas des choses à raconter à monsieur. »
Sa gaieté redoubla, un grincement de poulie mal graissée, qui finit par dégénérer en un accès terrible de toux.
Sa maison est deux fois plus grande que la mienne.
Sa maison était à environ 300 mètres de l'église.
Sa maison était à 300 mètres de l'église.
Sa maison était à 300 mètres de l'église.
Sa respiration siffle dans ses poumons, il y a une sorte de voile rouge qui ondule au bas de ses yeux, tout près de la terre.
Salut, Danièle et Anatol.
Salut, Danièle et Anatol.
Sans cesse, apparaissent de nouvelles figures, de nouvelles étoiles.
Sans comprendre comment, il est debout sur le haut-plateau calcaire, il sent le vent puissant sur son visage.
Sans comprendre comment, il est debout sur le haut-plateau calcaire, il sent le vent puissant sur son visage.
Sans compter que les bêtes meurent du choléra, comme les gens.
Sans compter que les bêtes meurent du choléra, comme les gens.
Sans fermer les yeux, il se fige dans un sommeil glacé, qui ralentit son coeur et son souffle.
Sans nul doute, on le rencontrera demain.
Savez-vous qui a dit cela bien avant Aristote ?
Savez-vous qui a dit cela bien avant Aristote ?
Ses cheveux blancs assez fins laissaient passer de curieuses oreilles ballantes et mal ourlées dont la couleur rouge sang dans ce visage blafard me frappa.
Ses cheveux bougent dans le vent, noirs et brillants comme l'herbe.
Ses cheveux ont la couleur de l'herbe brûlée.
Ses compagnons devinrent des guerriers respectés de tous.
Ses copains se sont tués dans cet accident.
Ses lèvres minces sont serrées dans une expression de mutisme.
Ses lèvres tremblaient au-dessous d'un nez truffé de points noirs.
Ses mains tremblent quand il se penche pour entrer à l'intérieur de la hutte de pierre.
Ses parents se sont trompés.
Ses réactions sont très peu variées.
Ses yeux embués regardent fixement au-dessus de lui, les pierres aiguës et les branches des buissons d'épines, contre le ciel blanc.
Ses yeux ne se ferment pas.
Ses yeux se mouillent de larmes, et pour la première fois depuis des jours, il ne sent plus la faim, ni le froid.
Ses yeux surtout sont comme le feu, comme s'il y avait au fond des étincelles qui brillaient dans la nuit.
Seul membre du gouvernement à ne jamais s'être frotté au suffrage universel, la ministre déléguée aux PME, à l'Innovation et à l'Économie numérique (photo) n'exclut pas de se présenter aux municipales de 2014.
Seul son cheval repartit.
Seule me pousse une vaine, une stupide, une détestable curiosité.
Seulement cinq d'entre eux ont eu le bac.
Seulement la tache vert sombre de leurs uniformes, et leurs fusils-mitrailleurs.
Seuls ses yeux peuvent regarder, appeler au secours.
Si bien que nous sommes finalement aussi les enfants de fluctuations quantiques.
Si donc ! qu'il y en a une !
Si le début du film peut paraître lent et assez bon enfant, c'est pour mieux réussir sa transition vers l'univers sombre de la seconde partie du récit.
Si l'on ne peut varier intelligemment les manifestations du public, mieux vaut qu'il n'en ait plus du tout.
Si notre ami nous dit « au revoir » nous serons seuls au monde.
Si poli qu'il soit, Jorge a poussé un coup de gueule.
Si Tayar descend du haut de la montagne, s'il s'approche de l'oued pour boire, le grand chien va se précipiter sur lui en hurlant, et les soldats seront là, derrière lui, pendant que le chien le dévorera.
Si une image vaut mille mots, celle rendue publique jeudi 21 mars par une équipe européenne d'astrophysiciens en vaut encore dix fois plus.
Si une image vaut mille mots, celle rendue publique jeudi 21 mars par une équipe européenne d'astrophysiciens en vaut encore dix fois plus.
Si vous ne dites rien, c'est en quelque sorte que vous approuvez ce qu'il dit.
Six d'entre eux ont pu se réfugier sur l'autre rive.
Six d'entre eux, seulement blessés, ont pu se réfugier sur l' autre rive de la Nipoué en Côte d'Ivoire, avant d' être transférés à Man dans un hôpital.
Soit tu me tues sans gloire et tu passes pour un homme aux yeux de tes frères, soit tu me laisses la vie sauve et à tes propres yeux tu sors grandi, mais banni, tu le seras par tes pairs.
Soldats gratuits, héros pour tout le monde et singes parlants, mots qui souffrent, on est nous les mignons du Roi Misère.
Son attitude mise à part, il faut considérer ses propos.
Son cheval repart seul.
Son corps est long et maigre, dans les vêtements trop larges.
Son frère rit, parle fort.
Son frère se levait sans bruit, cherchait à voir où ils allaient se poser.
Son instinct l'avertit qu'il y a de l'eau, quelque part, au sommet.
Son objectif est de terroriser la population, car la Résistance intensifie son action dans le département.
Son oncle Raïs lui en parlait, il se souvient, il lui montrait la pierre et il riait, et il savait que ça n'était pas une pierre comme les autres.
Son rêve était de lui faire couper les cheveux.
Son visage est très brun, ses yeux noirs ont l'éclat du métal.
Son visage osseux est couleur de terre, ses cheveux noirs bougent sur son front dans les remous du vent.
Sophie a réservé toutes les cinq meilleures petites places.
Sous l'égide de l'Agence spatiale européenne, ces chercheurs viennent en effet de prendre une photo qui nous ramène 13,8 milliards d'années en arrière.
Sous un soleil de plomb, marcher, franchir les ravins, contourner les collines, se sentir rocher, forcément, herbe, bien sûr, vent, certainement, eau, très peu.
Soyons-en sûr, Ève.
Soyons-en sûr, Ève.
Sur l'une d'elles, il a empilé des tasses autour d'une cafetière.
Swann consacre sa vie aux satisfactions quotidiennes.
Swann la trouve belle.
Swann leur consacre sa vie.
Swann l'a trouvée très belle.
Swann trouve belle cette femme.
Swann trouve cette femme belle.
Swann, lui, ne cherchait pas à trouver jolies les femmes avec qui il passait son temps, mais à passer son temps avec les femmes qu'il avait d'abord trouvées jolies.
Swann, lui, ne cherchait pas à trouver jolies les femmes avec qui il passait son temps.
S'ennuyer, c'est se divertir.
S'étant rencontrées hier, elles ont fait sa connaissance.
S'il vient, alors je t'appelle.
S'il vient, je t'appelle.
S'il vous plaît, donnez-m'en d'autres.
Tandis qu'il parlait, des morceaux de houille enflammés, qui par moments, tombaient de la corbeille, allumaient sa face blême d'un reflet sanglant.
Tandis qu'il s'approche, Tayar voit que cette ouverture est très grande, pareille à un cratère.
Tant pis, soyons niais.
Tayar a envie de rire quand il pense aux flics embusqués à l'attendre.
Tayar a traversé le torrent un peu avant le pont, et il a escaladé les anciennes terrasses d'oliviers jusqu'à ce qu'il trouve la route étroite qui grimpe en lacets vers le sommet de la montagne.
Tayar aime cette dureté, ce silence de vent et de pierre, ce ciel immense et sans nuages où brûle un seul soleil.
Tayar avance, ivre de sommeil.
Tayar cache sa tête entre ses bras, couché sur la terre qui le brûle.
Tayar cherche autour de lui, pour deviner s'il y a de l'eau quelque part.
Tayar comprend tout à coup que son oncle Raïs est mort.
Tayar crie, et sa voix s'éraille :«Où vas-tu? Ohé! Viens!»
Tayar défait les boutons de sa chemise-veste réglementaire, et il appuie la pointe de la pierre sur sa peau, là où palpite le noeud de la douleur, tout près de son coeur.
Tayar descend au fond de la doline, il ne voit qu'elle : la grande flaque noire qui renvoie la lumière du ciel, immobile comme un miroir.
Tayar dit non en secouant la tête.
Tayar dort sans bouger, comme autrefois, dans les monts du Chélia, caché avec son frère dans les blocs de rochers.
Tayar écoute le vent, comme s'il était sur un bateau en route vers l'inconnu.
Tayar essaie de parler, mais sa voix est si faible qu'il est le seul à l'entendre.
Tayar est content de la voir.
Tayar est penché en avant, il regarde le vide de toutes ses forces.
Tayar ferme les yeux, un instant.
Tayar frissonne, il secoue la tête avec violence, pour chasser l'image de la montagne.
Tayar hoche la tête en mangeant.
Tayar la regarde avec attention, comme si elle était le dernier être vivant près de lui.
Tayar le perçoit pour la première fois.
Tayar le regarde approcher avec angoisse.
Tayar le voit.
Tayar les suit avec peine.
Tayar l'entend distinctement, elle chante clair comme un oiseau, elle est belle et pure.
Tayar mange encore du pain, il suce les quartiers d'orange et recrache la peau.
Tayar marche dans la direction du soleil, ébloui, trébuchant sur les pierres.
Tayar marche lentement jusqu'au bassin, il boit à nouveau l'eau noire, souillée de terre.
Tayar ne bouge pas, pour ne pas déplacer la pierre de la faim.
Tayar ne voit plus le soleil qui descend vers les montagnes, ni l'ombre qui noie la vallée.
Tayar n'en a jamais vu d'aussi grand.
Tayar n'est vêtu que du pantalon de toile grise et de la chemise-veste réglementaires.
Tayar pense à la mer, là-bas, tout en bas, aux jardins endormis, aux immeubles.
Tayar pense à la mer, là-bas, tout en bas, aux jardins endormis, aux immeubles.
Tayar pense à Mariem qui s'est cachée dans une chambre d'hôtel, parce qu'elle croit qu'il va venir, pour se venger, pour la tuer avec son couteau à cran d'arrêt.
Tayar perçoit ce silence, tandis qu'il reste allongé sur le plateau calcaire.
Tayar recommence à marcher.
Tayar regarde la route d'étoiles qui traverse le ciel noir, il écoute leur chant strident, léger, qui s'éparpille dans le vide.
Tayar regarde le jeune garçon qui lui ressemble, debout de l'autre côté de la doline.
Tayar regarde le visage de son frère.
Tayar regarde toute cette poussière avec une attention douloureuse, et chaque pierre, chaque parcelle des murs de boue, chaque branche morte réveille en lui une douleur ancienne.
Tayar respire lentement, pour briser les tremblements nerveux de son corps, pour arrêter sa mâchoire qui claque.
Tayar reste longtemps recroquevillé, sans bouger, à regarder les étoiles.
Tayar rêve du feu, les yeux ouverts sur la nuit.
Tayar sait que lorsqu'il aura disparu de l'autre côté de la montagne de Thiey et de l'Audibergue, la nuit tombera d'un seul coup.
Tayar sait que s'il ne trouve pas un peu d'eau maintenant, il ne pourra plus marcher.
Tayar sait qu'il ne doit pas parler.
Tayar sait qu'il n'a pas besoin de parler, ni de bouger.
Tayar sait qu'il n'a plus de visage, plus de corps, mais qu'il est devenu un point immobile sur la terre froide, dans la nuit.
Tayar se couche au fond de la doline, sur l'herbe comme de la mousse.
Tayar se lève, titube.
Tayar se retourne sur le ventre, il regarde la terre et les broussailles, autour de lui.
Tayar se réveille avant le midi.
Tayar se sent loin des hommes.
Tayar sent chaque muscle de son corps qui souffre.
Tayar sent le bonheur en lui, tandis qu'il contemple la vallée sans ombre.
Tayar sent le vertige, et il descend vers le fond de la doline.
Tayar sent les larmes couler sur ses joues.
Tayar s'approche de la borie, il regarde la porte basse qui s'ouvre sur l'ombre.
Tayar s'assoit à l'entrée de la borie, penché en avant à cause de la pierre de la faim.
Tayar s'assoit un instant sur ses talons, pour se reposer, et ses mains touchent les cailloux déjà froids.
Tayar s'immobilise, recroquevillé contre les rochers, il attend que le silence revienne.
Tayar voudrait lui dire de venir, lui faire signe, comme hier, mais il ne peut plus bouger.
Tayar voudrait poser la question à son oncle, mais il n'ose pas parler, même en chuchotant.
Tayar, la tête appuyée dans l'herbe, les regarde avec plaisir.
Tayar, redressé dans un effort qui fait jaillir la sueur sur son visage, qui brûle l'intérieur de sa poitrine, regarde l'enfant qui court sur le bord du cratère, léger comme un cabri.
Tel homme est ingrat, qui est moins coupable de son ingratitude que celui qui lui a fait du bien.
Tel homme est ingrat, qui est moins coupable de son ingratitude que celui qui lui a fait du bien.
Tenez !
Toi, comme moi, nous sommes très bien là.
Toi, Ève, est-ce que tu t'en vas ?
Toi, Ève, est-ce que tu t-en vas ?
Toi, Ève, tu t'en vas ?
Toi, Ève, tu t-en vas ?
Toi, mon vieux, tu vas me le payer.
Toi, ne t'en vas-tu pas, Ève ?
Toi, ne t-en vas-tu pas, Ève ?
Toi, tu comprends tout.
Toi, tu comprends tout.
Toujours à cause de l'habitude.
Toujours accuser le logiciel, c'est un peu facile.
Tournant le dos au brasier, le charretier était debout, un vieillard vêtu d'un tricot de laine violette, coiffé d'une casquette en poil de lapin ; pendant que son cheval, un gros cheval jaune, attendait, dans une immobilité de pierre, qu'on eût vidé les six berlines montées par lui.
Tous ceux qui envisagent de partir pour ce pays lointain - quel est son nom déjà ? - nous abandonnent.
Tous deux, l'oncle Raïs et l'enfant, regardent intensément quelques points noirs bizarres qui avancent en bas de la montagne, le long du lit de l'oued : des hommes.
Tous en choeur !
Tous les ans nous avons à peu près au dessus de vingt et au dessous de cinquante abstentions.
Tous les cinq ont eu leur bac.
Tout autre est implicitement l'approche des participants au séminaire auquel il a été fait allusion.
Tout cela, le soleil, l'odeur de cuir et de crottin de la voiture, celle du vernis et celle de l'encens, la fatigue d'une nuit d'insomnie, me troublait le regard et les idées.
Tout disparut.
Tout d'un coup, il voit autre chose.
Tout en étant très important, ce problème reste non résolu.
Tout en l'examinant, il songeait à lui, à son existence de vagabond, depuis huit jours qu'il cherchait une place ; il se revoyait dans son atelier du chemin de fer, giflant son chef, chassé de Lille, chassé de partout ; le samedi, il était arrivé à Marchiennes, où l'on disait qu'il y avait du travail, aux Forges ; et rien, ni aux Forges, ni chez Sonneville, il avait dû passer le dimanche caché sous les bois d'un chantier de charronnage, dont le surveillant venait de l'expulser à deux heures de la nuit.
Tout en l'examinant, il songeait à lui, à son existence de vagabond, depuis huit jours qu'il cherchait une place.
Tout en l'examinant, il songeait à lui.
Tout est dans le "pratiquement".
Tout le jour, Tayar guette le bord du cratère, là où le jeune garçon est apparu.
Tout le monde avait un vélo sauf moi.
Tout le monde en parle.
Tout le monde s'y met.
Tout le monde, sauf moi, avait un vélo.
Tout ronflait, on ne pouvait trouver des hommes, jamais on n'avait tant gagné...
Tout spectateur sera tenu de venir voir plusieurs fois la même pièce, l'apprendre par coeur.
Tout s'anéantissait au fond de l'inconnu des nuits obscures, il n'apercevait, très loin, que les hauts fourneaux et les fours à coke.
Tout s'est passé ensuite avec tant de précipitation, de certitude et de naturel, que je ne me souviens plus de rien.
Toute la presse parle de ce scandale.
Toutes avaient été envoyées de l'étranger.
Très affaiblie, la diva aux pieds nus Cesaria Evora a tiré vendredi sa révérence à l'âge de 70 ans.
Très peu le sont.
Très vite, la nuit s'était épaissie au-dessus de la verrière.
Trois autres départs se sont ajoutés à ces deux-là.
Trois autres départs s'ajoutent à ces deux-là.
Tu dois aller au lycée et non t'amuser.
Tu lui avais tout de même bien promis qu'elle hériterait de ton commerce.
Tu m'en veux pour le retard ?
Tu m'en veux ?
Tu n'aurais donc aucun mal à venir à bout de mes forces.
Tu sais quelle est la différence entre un con et un voleur ?
Tu t'en vas, Ève ?
Tu t-en vas, Ève ?
T'as de quoi manger tous les jours ; alors, ferme-la !
T'as de quoi noter ?
T'en auras bientôt la preuve.
T'es rien Ferdinand ! qu'il me crie, lui Arthur en retour, vexé par l'effet de mon héroïsme.
Un chemin creux s'enfonçait.
Un dernier mot : votre mère a, paraît-il, exprimé souvent à ses compagnons le désir d'être enterrée religieusement.
Un flic et un con, ça s'appelle pléonasme.
Un grand silence accueillit Yakouba.
Un jour est différent des autres jours.
Un jour, j'ai vu le soleil se coucher quarante-quatre fois.
Un nouveau sentiment désagréable le tourmentait : le manque d'assurance.
Un petit malin, dans tous les cas, vous voyez ça d'ici, et tout ce qu'il y avait d'avancé dans les opinions.
Un petit paquet, noué dans un mouchoir à carreaux, le gênait beaucoup ; et il le serrait contre ses flancs, tantôt d'un coude, tantôt de l'autre, pour glisser au fond de ses poches les deux mains à la fois, des mains gourdes que les lanières du vent d'est faisaient saigner.
Un peu après, il m'a demandé : « C'est votre mère qui est là ? »
Un peu avant l'aube Tayar arrive devant la haute montagne.
Un premier-ministre, ça ferme sa gueule, ça démissionne.
Un raclement monta de sa gorge, il cracha noir.
Un regard si profond qu'on aurait pu lire dans ses yeux.
Un silence se fit.
Un violent accès de toux l'étranglait.
Un voleur, de temps en temps, ça se repose.
Un voleur, de temps en temps, ça se repose.
Un voleur, de temps en temps, ça se repose.
Une abeille aussi, que le vent emporte.
Une autre, enfin, travaille sur les recettes annexes que dégageront les terminaux de Sangatte et de Folkestone.
Une chose seulement : à l'entrée du village, l'infirmière déléguée m'a parlé.
Une crise de toux l'interrompit encore.
Une fois arrivée sur place, elle s'est mise à le harceler.
Une fois arrivé, il s'est calmé.
Une fois dedans, tourne à gauche.
Une lettre était envoyée la semaine dernière aux employés.
Une nouvelle bourrasque lui hérissait le poil.
Une rafale leur coupa la parole.
Une seule idée occupait sa tête vide d'ouvrier sans travail et sans gîte, l'espoir que le froid serait moins vif après le lever du jour.
Une table, elle l'a trouvée en chêne, comme elle voulait.
Une table, elle l'a trouvée en chêne, comme elle voulait.
Une table, elle l'a trouvée, en chêne comme elle voulait.
Une table, elle l'a trouvée, en chêne comme elle voulait.
Une table, elle l'a trouvée, en chêne, comme elle voulait.
Utilise ta tête!
Vas te faire xxx avec ton yyy de con !
Vas te faire xxx avec ton yyy système de con !
Vas t'en !
Vas-t-en, Ève !
Vas-y voir.
Vas-y, Ève !
Vaut mieux en avoir à qui on peut faire confiance.
Vaut mieux en avoir à qui on peut faire confiance.
Venait après le roi un écuyer couvert de poussière.
Venait après le roi un écuyer couvert de poussière.
Venez le sept au soir.
Venez le sept au soir.
Vernie, oblongue et brillante, elle faisait penser à un plumier.
Veux-tu sortir ?
Viennent les étoiles, faiblement, puis de plus en plus brillantes.
Vieux gaillard, il court après chaque jupe.
Villepin en veut à Chirac, mais débat avec Hollande.
Vingt-cinq condamnés seront fusillés le 13 février puis trois le 7 mai 1943.
Virginie s'était imaginé que c'était elle, dans sa loge, qu'on applaudissait.
Virginie s'était imaginée que c'était elle, dans sa loge, qu'on applaudissait.
Virginie s'était imaginée que c'était elle, dans sa loge, qu'on applaudissait.
Vive la Patrie n° 1 !
Vivre, c'est agir.
Voici ce qu'il est devenu.
Voici les deux plus beaux de ses tableaux.
Voilà ce qu'il m'a répondu.
Voilà qui est fait.
Voilà tout ce que tu aimes, y compris des feuilletés aux prunes.
Voilà.
Voulez-vous regarder les photos que vous avez prises ?
Voulez-vous vous asseoir ?
Voulez-vous vous asseoir.
Vous avez deux disques pour le prix d'un.
Vous en avez cuisinées une bonne douzaine ?
Vous êtes-vous complu à ces pensées ?
Vous êtes-vous complue à ces pensées ?
Vous êtes-vous intéressé à sa femme ?
Vous leur dites de se bouger le cul !
Vous méritez même pas que je m'énerve.
Vous ne pouvez plus vous passer de nous.
Vous n'aviez pas à lui répondre de la sorte.
Vous pouvez changer le programme de fidélité uniquement avant le départ de l'avion.
Vous risquez de n' avoir plus que trois cheveux sur le caillou à la quarantaine ou la cinquantaine !
Vous savez bien que seuls les bons en informatique viennent en licence trois.
Vous savez bien qu'en licence trois viendraient seuls les bons en informatique.
Vous savez ce qu'il est devenu ?
Vous savez ce qu'il est devenu ?
Vous savez quelle heure il est ?
Vous savez quelle heure il est ?
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Vous voyez comme il a déjà profité de nos dissensions.
Vous y irez en vélo.
Vous y trouverez un vélo de route.
Wall Street est un casino dont les propriétaires peuvent voir les cartes de tout le monde.
Xxx pense qu'il viendra nous yyy zzz.
Xxx pense qu'il viendra nous yyy zzz.
Y en avait plus qu'il y en avait encore des rues, et puis dedans des civils et leurs femmes qui nous poussaient des encouragements, et qui lançaient des fleurs, des terrasses, devant les gares, des pleines églises.
Y en avait plus qu'il y en avait encore des rues.
Y étaient impliqués le sergent, le capitaine, mais surtout pas le chef de division.
Y étaient impliqués le sergent, le capitaine, mais surtout pas le chef de division.
" Le Président donne son accord, dit Paul, pour arrêter l'opération ".
" Le Président est arrivé ", a annoncé Paul.
" Le Président est arrivé ", annonce Paul.
" Premier pas ! Deuxième pas ! Pas en arrière ! " dictait le souffleur.
"Ça m'est très utile" dit-il.
"Ce n'est rien", dit Tayar.
"Cette grosse dose d'information va occuper la communauté pendant au moins dix ans", anticipe Jean-Philippe Uzan de l'Institut d'astrophysique de Paris et qui n'a pas participé à la réunion.
"C'est comme si les amplitudes des vagues de notre image situées très loin l'une de l'autre étaient plus faibles qu'attendu", estime Jean-Loup Puget.
"Dans les semaines à venir, des dizaines d'articles fleuriront pour tenter d'expliquer le phénomène", prévoit Alain Riazuelo.
"Dans les semaines à venir, des dizaines d'articles fleuriront pour tenter d'expliquer le phénomène", prévoit Alain Riazuelo.
"Le taux d'expansion de l'Univers que nous trouvons est plus faible et nous avons quelques pourcents de plus de matière noire et ordinaire, mais nous trouvons finalement le même âge pour l'Univers - 13,8 milliards d'années", constate Jean-Loup Puget.
"Le travail doit se poursuivre mais d'ores et déjà la coïncidence entre notre carte des grandes structures et celles obtenues par d'autres observations est remarquable", constate Alain Riazuelo.
"Les détails du fond diffus permettent même de voir comment cette inflation s'est terminée", rappelle François Bouchet.
"Les quelque 5 millions de pixels de l'image sont finalement transformés en six paramètres qui décrivent l'Univers et son évolution", explique François Bouchet, du CNRS, l'un des responsables de la mission.
"L'inflation, c'est un peu ce qui fait bang dans Big Bang", ironise Benjamin Wandelt, à l'INstitut d'astrophysique de Paris.
"Nous avons aussi éliminé pas mal de modèles sans inflation", confirme Benjamin Wandelt, qui a testé bon nombre d'hypothèses alternatives.
"Or, honorable Norbert David, la seule solution pour que cette zone ne devienne pas insalubre, c'est de travailler le sel".
"Planck est capable de repérer des cailloux d'un millimètre au sommet d'une montagne de 1000 mètres de haut", compare Jean-Loup Puget, de l'Institut d'astrophysique spatiale d'Orsay et du CNRS, responsable d'un des instruments de Planck.
"Une collègue, pour illustrer la qualité de ce travail, a réalisé trois photos de son enfant. L'une, très floue, correspondant à la précision de ce temps. L'autre, plus nette, où l'on reconnaît le bébé, avec la précision d'il y a dix ans. Et enfin, la dernière, avec la qualité d'aujourd'hui, sur laquelle on distingue le nom sur le bracelet!", explique Alain Riazuelo de l'Institut d'astrophysique de Paris et du CNRS.
"Viens, Aazi, dit-il, aide-moi".
- Arthur, l'amour c'est l'infini mis à la portée des caniches et j'ai ma dignité moi ! que je lui réponds.
- Bardamu, qu'il me fait alors gravement et un peu triste, nos pères nous valaient bien, n'en dis pas de mal !...
- Bonjour, dit-il en s'approchant d'une des corbeilles.
- C'est pas vrai !
- C'est tout à fait comme ça ! que m'approuva Arthur, décidément devenu facile à convaincre.
- C'est un surnom ? demanda Étienne étonné.
- C'est vrai, t'as raison en somme, que j'ai convenu, conciliant, mais enfin, on est tous assis sur une grande galère, on rame tous à tour de bras, tu peux pas venir me dire le contraire !...
- Haineux et dociles, violés, volés, étripés et couillons toujours, ils nous valaient bien !
- Il y a des fabriques à Montsou ?
- Il y a l'amour, Bardamu !
- Je me nomme Étienne Lantier, je suis machineur...
- Je suis membre de la communauté des élus, dis-je, surpris par cette phrase.
- Je suis membre de la communauté des élus, dis-je, surpris par cette phrase.
- Je suis membre de la communauté des élus, dis-je, surpris par cette phrase.
- J' vais voir si c'est ainsi ! que je crie à Arthur, et me voici parti m'engager, et au pas de course encore.
- Ni de chaussettes, ni de maîtres, ni d'opinions, ou bien si tard, que ça n'en vaut plus la peine.
- Nous ne changeons pas !
- On verra bien, eh navet ! que j'ai même encore eu le temps de lui crier avant qu'on tourne la rue avec le régiment derrière le colonel et sa musique.
- Oui, une fosse, le Voreux...
- Parlons-en de toi !
- Si donc ! qu'il y en a une !
- Ton petit morceau ne tient pas devant la vie, j'en suis, moi, pour l'ordre établi et je n'aime pas la politique.
- Tu l'as dit, bouffi, que je suis anarchiste !
- Tu peux le dire !
- T'as raison, Arthur, pour ça t'as raison !
- T'es rien cxxx Ferdinand ! qu'il me crie, lui Arthur en retour, vexé sans aucun doute par l'effet de mon héroïsme sur tout le monde qui nous regardait.
- T'es un anarchiste et puis voilà tout !
37 seront condamnés à mort.
37 seront condamnés à mort.
« Au tribunal allemand, je n'ai aucune déclaration à faire », dit à ses bourreaux le métallo nantais Louis Le Paih.
« Bonjour », dit-il en s'approchant d'une des corbeilles.
« Bonjour », répondit le vieux.
« Cette terrasse, qu'il commence, c'est pour les oeufs à la coque ! Viens par ici ! »
« Comment tu t'appelles?»
« C'est un honneur pour un Français que de mourir sous les balles allemandes », déclare Auguste Chauvin, également ouvrier des Batignolles.
« De 1947 à 1977, les municipalités Orrion puis Morice occulteront cet épisode noir de la Seconde Guerre mondiale. Rien à Nantes ne viendra le rappeler. À Rezé en revanche, les 13 fusillés originaires de la commune seront commémorés sans interruption. Une plaque à l'entrée du cimetière Saint-Paul porte leurs noms », poursuit Marc Grandgiens.
« Du travail pour un machineur, non, non... Il s'en est encore présenté deux hier. Il n'y a rien. »
« Elle était vieille ? »
« En résumé, que je me suis dit alors quand j'ai vu comment ça tournait c'est plus drôle ! C'est tout à recommencer ! »
« En résumé, que je me suis dit alors quand j'ai vu comment ça tournait c'est plus drôle ! »
« Est-ce que c'est du sang ? » demanda Étienne, osant enfin le questionner.
« Et ça vous fait tousser aussi ? » dit Étienne.
« Il y a des fabriques à Montsou ? » demanda le jeune homme.
« Il y a longtemps, reprit-il, que vous travaillez à la mine ? »
« Ils me disent de me reposer, continua-t-il. Moi, je ne veux pas, ils me croient trop bête ! J'irai bien deux années, jusqu'à ma soixantaine, pour avoir la pension de cent quatre-vingt francs. Si je leur souhaitais le bonsoir aujourd'hui, ils m'accorderaient tout de suite celle de cent cinquante. Ils sont malins, les bougres ! D'ailleurs, je suis solide, à part les jambes. C'est, voyez-vous, l'eau qui m'est entrée sous la peau, à force d'être arrosé dans les tailles. Il y a des jours où je ne peux pas remuer une patte sans crier. »
« Je me nomme Étienne Lantier, je suis machineur... Il n'y a pas de travail ici ? »
« Je sais, je sais, répétait le jeune homme à chaque indication. J'en viens. - Nous autres, ça va jusqu'à présent, ajouta le charretier. Les fosses ont pourtant diminué leur extraction. Et regardez, en face, à la Victoire, il n'y a aussi que deux batteries de fours à coke qui flambent. »
« J'y suis, j'y reste ! » que je me dis.
« La charge émotionnelle, les enjeux de mémoire n'étaient pas du tout les mêmes. L'exécution des 50 otages avait eu un retentissement international. De Gaulle avait réagi immédiatement sur les ondes de la BBC et l'auteur allemand Thomas Mann y avait prononcé une allocution sur cet épisode tragique. », souligne Marc Grandgiens, historien et documentaliste, auteur en 2003 d'un film documentaire sur le procès des « 42 ».
« Le Président est arrivé », a annoncé Paul.
« Le Président est arrivé », annonce Paul.
« Le Président est arrivé », annonce Paul.
« Le Président signe l'ordre, dit le porte-parole, d'arrêter l'opération ».
« Le Président, annonce-t-il, est déjà arrivé ».
« Le Président, annonce-t-il, est déjà arrivé ».
« Longtemps, ah ! oui !... Je n'avais pas huit ans, lorsque je suis descendu, tenez ! juste dans le Voreux, et j'en ai cinquante-huit, à cette heure. Calculez un peu… J'ai tout fait là-dedans, galibot d'abord, puis herscheur, quand j'ai eu la force de rouler, puis haveur pendant dix-huit ans. Ensuite, à cause de mes sacrées jambes, ils m'ont mis de la coupe à terre, remblayeur, raccommodeur, jusqu'au moment où il leur a fallu me sortir du fond, parce que le médecin disait que j'allais y rester. Alors, il y a cinq années de cela, ils m'ont fait charretier… Hein ? c'est joli, cinquante ans de mine, dont quarante-cinq au fond ! »
« Moi, dit-il, je suis de Montsou, je m'appelle Bonnemort. »
« Non, je suis du Midi », répondit le jeune homme.
« On n'a pas de la viande tous les jours. - Encore si l'on avait du pain ! - C'est vrai, si l'on avait du pain seulement ! »
« Oui, une fosse, le Voreux... Tenez ! le coron est tout près. »
« Restons pas dehors ! qu'il me dit. Rentrons ! »
« Tenez ! reprit très haut le charretier en se tournant vers le midi. Montsou est là... »
« Tiens, voilà un maître journal, Le Temps ! » qu'il me taquine Arthur Ganate, à ce propos.
« Tu as la nuit pour réfléchir ».
« Tu as la nuit pour réfléchir. »
« Vous avez faim?»
« Vous avez froid?»
« Vous êtes peut-être de la Belgique ? » reprit derrière Étienne le charretier, qui était revenu.
« Y en a pas deux comme lui pour défendre la race française ! Elle en a bien besoin la race française, vu qu'elle n'existe pas ! » que j'ai répondu moi pour montrer que j'étais documenté, et du tac au tac.
«Ce n'est rien», dit Tayar.
«Comme tu peux le voir, je suis blessé ».
«Comment tu t'appelles?» dit Tayar.
«C'est un truc pour ne pas sentir la faim.»
«J'ai dormi ici, dit Tayar. Tu n'as rien à manger? J'ai faim.»
«Ne fais pas de bruit, Aazi, regarde ...»
«Pourquoi vous avez ça?»
«Viens, Aazi, dit-il, aide-moi».
«Vous êtes blessé?» demande de nouveau le garçon.

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